alexametrics
mercredi 08 mai 2024
Heure de Tunis : 02:25
Dernières news
Najla Bouden : Les zones frontalières communes avec l’Algérie seront un pont de développement
16/12/2021 | 19:29
1 min
Najla Bouden : Les zones frontalières communes avec l’Algérie seront un pont de développement

 

La cheffe du gouvernement, Najla Bouden, a indiqué, dans une déclaration accordée, ce jeudi 16 décembre 2021, aux médias, que la visite officielle effectuée par le président algérien, Abdelmadjid Tebboune, a été un succès à tout point de vue.

Elle a affirmé que les deux pays œuvrent à plus de coordination et de concentration, en particulier sur des questions telles que le développement des zones frontalières communes comme un pont économique et social.

 

Najla Bouden a salué la signature de 27 accords et protocoles d'accord entre les ministères tunisiens et algériens, pour consolider les relations entre les deux pays.

 

« J'ai rencontré le président algérien et nous avons évoqué les acquis de cette visite, qui correspondent aux aspirations des deux peuples. J'ai écouté avec intérêt les analyses du président algérien, qui s'inscrivent dans la vision tunisienne et reflètent une vision commune et un désir sincère d'élever les relations bilatérales à des niveaux supérieurs. Nous aspirons à la poursuite de la coordination et de la concertation, notamment dans l'aménagement des zones frontalières communes entre la Tunisie et l'Algérie, afin qu'elles se transforment en zones de développement et de prospérité » a-t-elle poursuivi.

 

M.B.Z

 

 

16/12/2021 | 19:29
1 min
sur le fil
Tous les Articles
Suivez-nous
Commentaires
BOUHELA
Bouden
a posté le 16-12-2021 à 20:14
Mon Dieu! Quelle catastrophe! Avec cette déclaration très laborieuse, hachée, pénible à suivre, presque gênante à écouter, nous sommes devenus réellement la risée du monde entier. Niveau quasi-nul en langue arabe! Où est-ce que Bouden a étudié ? Là où la langue arabe n'est pas du tout enseignée, sans doute. Rien que pour ça, Saied aurait dû la disqualifier dès le début de son casting. En effet, on ne peut pas prétendre être chef du gouvernement tunisien si on ne maîtrise pas, au moins moyennement, la langue arabe. A moins que Saied n'ait voulu jeter cette très respectable et fort bien instruite dame en pâture car personne ne peut croire que ce détail lui ait vraiment échappé. Sinon, ce serait encore plus grave et plus irresponsable. Et dire que notre pays grouille de cadres aussi compétents, aussi valeureux, mais, néanmoins, maîtrisant correctement notre langue officielle, l'arabe. Meskina Tounès! Rabbi maâna!
zedache
l'acculturation continue à faire son oeuvre
a posté le à 10:23
Depuis toujours, le projet d'une certaine catégorie d'acculturés tunisiens à la francophonie, devenus par la force des choses francophiles, est d'écarter la Tunisie de son environnement naturel arabe pour l'amarrer à la France et à l'Europe. Feu Mohammed Bouden, proviseur du Lycée de Bizerte, puis d'Al Alaoui, professeur d'histoire, était un excellent arabisant. La braise donnant de la cendre, sa fille, Najla Bouden, élève des écoles françaises de Tunisie, où l'arabe était traité en langue étrangère, est le résultat concret de ce projet de déculturation-acculturation, qui continue à faire son chemin dans les média privés, où l'on ne parle plus qu'une affreuse langue hybride franco-arabe, ne respectant ni la langue de Molière, ni celle d'El Moutanabbi. Dans l'entourage de Najla Bouden, on lit plus volontiers Albert Camus, penseur du colonialisme, chantre du rejet de l'Arabe (voir L'Etranger), Jean-Paul Sartre, soutien du projet sioniste d'établissement d'Israël sur les décombres de la Palestine arabe (voir spécial Temps Modernes), ou Simone de Beauvoir (voir le 2eme sexe), démolisseuse de la famille telle que nous la concevons et la pratiquons encore en Tunisie, avant Abou El-Kacem El-Chabbi, Nizar Qabbani, Nagib Mahfoudh, ou Aboul Kacem Saad-Allah. Najla Bouden, hélas !, ne s'exprime pas correctement en arabe parce qu'elle ne le connaît pas, ne le pratique pas au quotidien et qu'elle le méprise vraisemblablement. Il se dit même qu'elle exige que les notes, fiches et rapports qui lui sont destinés dans l'exercice de ses nouvelles fonctions de Première ministre soient rédigés en français ! Après des années de flottement, les Chinois sont revenus des lubies de certains de leurs intellectuels qui voulaient imposer l'anglais avant le mandarin, sous prétexte que "peu importe que le chat soit blanc ou noir pourvu qu'il attrape la souris", comme le professait Deng Xiaoping. Les Japonais ont su préserver leur langue nationale, ainsi que les Coréens des deux Corées, les Indonésiens, les Malaysiens et bien d'autres nations d'Asie et d'Europe en plein développement. Feu Mohammed Mzali aurait voulu emprunter le même chemin en rétablissant l'arabe au coeur de notre système éducatif, mais il fut balayé par une déferlante francophile. Au crépuscule du bourguibisme, c'est encore l'élève du Lycée Carnot, en rupture avec Essadikia, Bourguiba, qui lui a servi d'alibi.
Ali
Bof
a posté le à 20:37
Si Elle réussira à faire les réformes nécessaires en mettant un coup d'arrêt à la gabegie rampante, alors peu importe si elle parle bien ou mal l'arabe.
BOUHELA
Bof
a posté le à 21:21
Merci de corriger: "si elle réussit à...". Mais non, elle nous fait honte quand elle parle si mal notre langue, voyons!
zozo Zohra
Bouden
a posté le à 20:26
Semble être une femme très timide. On sent qu'elle est gênée, dès qu'elle parle en public.
chen
Vive les timides
a posté le à 00:24
Sa timidité est un gage de sérieux. N'avons nous pas fait le plein accablant et assommant de grandes gueules et de braillards acariâtres platoniques par le passé ?
zozo Zohra
Chen
a posté le à 10:14
Absolument, ras-le-bol de grosse gueule.
Peut être qu'il lui faudrait un coaching petite formation de prise de parole en public pour la rassurer.
Ca se fait à tous les niveaux