un cadre qui force le respect? un magma de singes en rut de hyènes mâles et d'hystériques à quelles que exceptions près et sans oublier les cancres qu'on peut accommoder à toutes les sauces

...

Que des handicapés à Carthage, dommage!

C´est là où elle a montré son insuffisance rhétorique et son manque pour ne pas dire sa maitrise de la situation en montrant être un peu plus polie et éduquée. Elle a réagi comme une femme, et la dernière, de la rue pour intimider l´autre. Elle a oublié seulement qu´elle est « députée » et soi-disant « représentante » du peuple. C´est là où elle a perdu de sa notoriété morale autant que députée et avocate. Le choix de son discours correspond bien à un discours commun de la rue. Et cela explique bien ses origines : une femme agressive, impulsive et sans conscience morale pour le respect du cadre où elle est : c´était l´assemblée nationale. Cette femme ne respecte rien et d´ailleurs comme beaucoup d´autres qui y participent ici à ce forum. Leur devise est l´insulte et la culpabilisation de l´autre.


Je comprends ta façon de l´idolâtrer et de l´estimer car elle incarne en elle-même ton agressivité et ta haine pour les autres. Avec une grande gueule on ira pas loin'?' en face il y a le mur

Abir à Mechichi : « N'aies crainte, petit ! Je ne t'abandonnerai pas et je ne les laisserai pas te dévorer 01/09/2020

J'ai écouté Abir Moussi : Un cours magistral dans une classe de cancres qui écoutaient, apprenaient, enviaient, se sentant si minus de ne pouvoir l'égaler.
Une classe soudainement assagie qui écoutait religieusement en présence d'un inspecteur meddeb, perché sur son estrade qui ne pigeait rien à des propos hors du temps pour lui , trop modernes, ne sentant ni la naphtaline des mosquées , ni la poussière du rob3 el Khali et le swek de bentou koulayb.
Une classe où Abir Moussi grondait un élève qu'elle croyait studieux et intelligent, le tapait sur les doigts de ne pas voler de ses propres ailes, d'être trop sage, manquant de personnalité, cédant aux cancres , lui montrant où est ce qu'il a fauté, le corrigeant , lui vulgarisant les difficultés qui l'attendent de ceux qui le notent pour mieux s'en débarrasser.
Pour conclure sur un ton rassurant à cet élève studieux mais peureux qui écoutait, effrayé le nid à crabe dans lequel il s'est jeté « N'aies crainte, petit. ! Je ne t'abandonnerai pas et je ne les laisserai pas te dévorer »

Fadhi Ch'ghol
CE TEXTE PEUT T'OUVRIR LA TETE POUR DIGERER ABIR MOUSSI .
je n'ajoute rien .

vous auriez pu chercher un autre argument plus crédible par rapport à ce "victimisme" primaire véritable tarte à la crème offerte au public chaque fois qu'une responsable ou toute femme publique est critiquée ou mise en cause.... de plus ressasser cette complainte à tout bout de champ risque à force de s'avérer contre productif résultant -paradoxalement -à accréditer l'idée qu'une femme exerçant des responsabilité ou même toute profession que ce soit serait " incapable" de commettre des erreurs alors qu'elle en le droit tout comme ses partenaires masculins , bafouant ainsi notamment le droit à l'erreur... exposé ainsi cela peut paraître idiot mais à mon humble avis c'est juste une façon "simplette "de rappeler que seuls les arguments sérieux atteignent leur but.

la famille Enneifer, se trouve à Tunis et à Sfax ...
elle est originaire de Andalus, après l'expulsion d'Espagne vers 1600 AD.
cette famille est originaire de Sham ( Syrie, Liban ). après le coup des Abbassi vers 750 AD, ils se sont installés en Andalus.
ils sont pour la plupart blancs, comme la majorité des originaire de Sham.

Ces deux honorables femmes sont devenues le cauchemar vivant de Ghannouchi et ses sbires....ils font tout pour salir leur image et les provoquer en menant des campagnes calomnieuses contre eux...mais ils n arriveront jamais,les deux bonnes femmes sont batit du meme gabarit,imperturbables et ont une longue haleine auxquelles les islamistes n apparaisses que comme petites natures..Sacree Abir...sacree Nadia...fiere de nos femmes attrayantes,intelligentes et combatives....

Alors tu pratiques la politique de l´autruche, tu ne vas pas me dire que Abir n´a pas travaillé pour Leila et Zaba quand´ils étaient au palais. De près ou de loin elle était toujours dans la cour du palais sinon dans les alentours.

Le président lui-même n'a aucun droit de s'ingérer dans les affaires du gouvernement, son entourage encore moins. Il a juste le droit d'être consulté pour la défense et les AE mais Kais Saied voulait utiliser la faiblesse des partis pour imposer un système présidentiel, contre l'esprit de la coalition et son entourage comme Akacha le pousse dans cette direction au lieu de le raisonner.