Le limogeage du PDG de Tunisair, Elyes Mnakbi est parue officiellement, ce jeudi 9 juillet 2020, au Jort, à la suite de la polémique ayant suivi cette décision prise par le ministre d’Etat, ministre du Transport et de la Logistique Anouar Maârouf.
En effet, le lundi 6 juillet dernier, le PDG de Tunisair Elyes Mnakbi a été limogé, sur décision du ministre d'Etat du Transport et de la Logistique Anouar Maârouf. Il a été remplacé par Belgacem Tayaâ en tant qu’administrateur délégué le temps qu’un nouveau PDG soit nommé.
Sauf que cette décision avait été contestée par Elyes Mnakbi, qui a considéré que seul le chef du gouvernement est habilité à le limoger.
Quant au secrétaire général de l’UGTT, Noureddine Taboubi, il a qualifié de scandaleux le limogeage du président directeur général de Tunisair, Elyes Mnakbi sur décision du ministre d'Etat du Transport et de la Logistique.
S.H
Bien dit. Vous avez tout résumé.
Ce fut le coup de grâce qui fut assené à tunisair, avec l'aimable coopération du pseudo-meilleur PDG de la planète, à savoir la traitresse Ben Rajb.
Pourtant, les pecnots qui menèrent (cpr et les chameliers) cette surcharge de personnel, furent les premiers à accuser l'ensemble des gouvernements précédents, de favoritisme et de clientélisme.
Curieusement, c'est aussi à la même époque, que la pandémie de vols de bagages vit le jour.
Cela prouve le haut niveau de qualification de ces recrues.
Toutes les administrations subirent le même sort.
Comme quoi, il ne faut jamais dire : Fontaine, je ne boirai pas de ton eau.
Salutations
1. Ouvrir son capital ne signifie pas vendre Tunisair, l'Etat devant rester toujours l'actionnaire principal à plus de 50% et donc majoritaire au comité d'entreprise de la compagnie.
2 . L"autre solution" est que l'Etat renfloue les caisses de Tunisair. Et là ça sera aux contribuables de payer la note par au prix d'une l'inflation vite incontrôlable, une dévaluation du dinar, une politique d'austérité, un gel des salaires, une augmentation des impôts et du coût de la vie.
La balle est bien entendu dans le camp de nos responsables élus et désignés pour cela.
. Ouvrir son capital ne signifie pas vendre Tunisair, l'e
Il est temps de s'en débarrasser et tourner sa page sombre pour toujours au profit des compagnies Low-Cost infiniment plus rentables pour nos aéroports et nos TRE
Vivement l'Open -Sky
Tunisair est un handicap pour le pays.
Trop d'employés : l'un des taux d'employés par avion le plus haut au monde pour un résultat catastrophique (on comprend quant on sait comment son recruté les employés de TA). Selon des audits, plus de la moitié des employés sont inutiles.
Un monopole dans le transport aérien qui empêche en réalité le secteur du tourisme de réellement se développer.
Il faut vraiment se débarrasser rapidement et coûte que coûte de TA. Le contribuable est déjà étouffé et a d'autres choses a supporter.
Nul doute qu'à minima elle est bourré d'incompétents et au pire elle est en train d'être coulée volontairement..