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L’UGTT craint la mainmise du pouvoir sur les médias publics
15/07/2018 | 11:30
1 min
L’UGTT craint la mainmise du pouvoir sur les médias publics

 

 

Le bureau exécutif de l’UGTT rendu public un communiqué, hier samedi 14 juillet 2018, exprimant ses craintes par rapport aux tentatives visant à avoir la mainmise sur les médias, plus particulièrement, sur les médias publics.

 

Le bureau exécutif de l’UGTT a dénoncé, dans ce contexte, le harcèlement subi par SNIPE-La Presse, à travers les ordres reçus et le licenciement du journaliste Khalil Rekik pour ses articles et ses positions audacieuses.

 

Rappelons que le licenciement du journaliste Khalil Rekik par le nouveau PDG de la Presse a suscité l’indignation du comité de rédaction de « Assahafa Al Yaoum », considérant qu’il s’agit d’une décision injustifiée et unilatérale. Le comité de la rédaction, estime que Khalil Rekik a été viré à cause de ses articles et de ses critiques virulentes envers le gouvernement.

 

S.H

15/07/2018 | 11:30
1 min
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Commentaires (5)

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Fatma Fitouri
| 15-07-2018 19:16
Le syndicat des journalistes doivent agir tous ensemble pour mettre fin a ces exces pour baillonner la liberte d expression par la finance douteuse au service du pouvoir.

Aksel
| 15-07-2018 18:33
Ce que je conseille a taboubi. C'est de surveiller ses. arrières les islamotueurs visent l'UGTT ils ont déjà leur cheval de Troie au syndicat de l'éducation nationale .
Alors chacun fait son travail et les chèvres seront bien gardées Ferstehen.

Mohamed Obey
| 15-07-2018 17:55
Le limogeage du vaillant journaliste Khalil R'kik est un scandale et un crime commis contre la seule chose positive engendrée par la soi-disant révolution du 14 Janvier 2011. Ce limogeage est-il le préambule à un bâillonnement des bouches pour longtemps!

tounsi
| 15-07-2018 14:14
ils doivent toujours avoir un os sous les dents

Ali Baba au Rhum
| 15-07-2018 11:47
Quand un journaliste critique, il est viré; c'est comme ça dans tous les pays du monde. Et quand un syndicat obtient une augmentation, il lache la bride au gouvernement, du moins pour un temps