alexametrics
mercredi 07 mai 2025
Heure de Tunis : 13:36
Dernières news
Machrouû Tounes appelle à la création d'un front progressiste
20/12/2017 | 12:58
1 min
Machrouû Tounes appelle à la création d'un front progressiste

 

Machrouû Tounes a réitéré l’appel qu’il a lancé depuis des mois, à toutes les forces nationales progressistes tunisiennes sans exception, y compris Nidaa Tounes, à se réunir autour d’un plan d’action commune, dans un communiqué rendu public aujourd’hui mercredi le 20 décembre 2017.

 

Cet appel vise à trouver un terrain d’entente entre ces différentes forces en vue de réaliser l’équilibre politique et sauver la situation sociale et économique du pays, et ce à condition que les parties concernées fassent preuve de sérieux dans leur lutte contre la corruption.

 

En outre, toutes les parties impliquées devraient faire les révisions nécessaires au niveau des programmes et des personnes, tout en révisant certains choix engendrés par des décisions politiques erronées.

 

Le MPT a par ailleurs, rappelé qu’il entretenait des discussions depuis un moment, avec un grand nombre de partis et de personnalités politiques, et ce dans l’objectif d’unir les rangs.

Il a également, exprimé sa volonté de s’ouvrir sur d’autres forces politiques.

 

B.L

 

20/12/2017 | 12:58
1 min
Suivez-nous

Commentaires (20)

Commenter

abidou
| 21-12-2017 13:48
Pour s'opposer a la Troika il faut un Binome Marzuok + Abir avec eventuellement Afak Tunis , puis ce qu'on peut des autres Partis . C'est le dernier moment pour s' unir contre la '' pieuvre '' Demain ca sera un irreversible '' trop trop tard '' . Maintenant ou jamais car cette pieuvre ne subsiste encore que chez nous .

Leila Ben Salem
| 21-12-2017 09:51
Il n y a pas d autres solutions car avec cette dispersion de partis de meme tendance politique n aura aucun avenir tant que vous ne fusionnez pas dans un seul parti,nommez le comme vous voulez
en Union pour la Tunisie....nommez un collectif de sages pour entreprendre les negociations et preparer le terrain

Mohamed 1
| 20-12-2017 20:43
La mise d'une certaine distance avec nahdha résoudra en partie le problème. Sans une union sérieuse et humble, exempte de prétention malvenue, point de salut.
Un seul parti est la meilleure solution, mais toute forme d'union est préférable à la désunion catastrophique.
Le front est également une solution, mais au vu de l'extrême désinvolture affichée à l'égard d'une éventuelle scission, ce front éclatera rapidement même à l'occasion d'un simple éternuement.
Déjà au sein d'un seul parti, il s'est avéré compliqué de calmer les fougueuses ambitions qui ne se donnent aucune limite, même pas celle de la victoire de l'adversaire.
BCE devrait sonner la fin de la récréation. En mettant tout son talent, il devrait trouver facilement la meilleure façon de reformer une union solide et redoutable entre des frères qui s'entre-déchirent.
Sinon, préparez vos mouchoirs. Pour pleurer pas sur nida, mais sur la Tunisie.

renardine
| 20-12-2017 20:24
Il fallait aller vers l'essentiel dès le début de la prise du pouvoir par Nidaa,à savoir purger l'état des intrus d'ennahdha et compagnie ,faire le procès des partis islamistes et les dissoudre car ils ont implanté dans le pays le terrorisme.Et passser à une vraie restructuration de l'économie du pays.Tout le reste est une mascarade des partis qui s'effritent et qui ont prouvé leur absence du moindre signe de patriotisme. Aujourd'hui, les tunisiens n'ont que faire de ces marionnettes.Il faut tout balayer et recommencer et BCE doit le faire en commençant par dissoudre l'assemblée et le gouvernement ;instaurer un vrai couvre feu sur tout le territoire et arrêter tous les islamistes sans exceptions.C'est ainsi que le pays retrouvera son équilibre

Amilcar
| 20-12-2017 19:38
Les arabes se sont mis d'accord pour ne jamais se mettre d'accord.

Avec les égos qu'ont nos hommes politiques qui veulent tous être chef et ne sont pas adeptes du compromis la tâche est quasi-impossible à réaliser et c'est pourtant le seul salut dont le pays a besoin

Le Patriote
| 20-12-2017 17:42
Un front de plusieurs partis n ira pas loin,au bout de quelques mois si ce n est quelques semaines il implosera suite a des gueguerres internes.Ya Marzouk la fusion entre des partis progressistes pour former un seul parti puissant et homogene est la meilleure solution.Il ne sert a rien de diriger des partis de la meme sensibilite politique,eparpilles,ignores,sans veritable assise populaire dans l espoir de participer un jour a gouverner...que du temps perdu,qui coute enormement cher au pays.La Tunisie n a pas besoin de cette multitude de partis,chaque homme politique a cree son parti et s est instaure grand chef ...et apres...???Le resultat honteux et deprimant des elections partielles d Allemagne,doit chatouiller vos dignites et reveiller vos consciences si vous en avez encore
vous les chefs de partis.....ignoble.

Leila Ben Salem
| 20-12-2017 17:27
Tu as parfaitement raison,Abir reste ce qu elle est,une patriote destourienne pur sang,honnete et sincere.La soutenir doit etre la priorite de tous les patriotes qui aiment notre Patrie la TUNISIE.

ben
| 20-12-2017 17:16
Pour les forces progressistes, après le séisme qui vient d'avoir lieu et la cuisante défaite des vestiges de Nida, le temps presse. Cela passe par une décision courageuse que nous attendons ce week end; il faut virer de Nida Hafedh et sa clique. Il y va de l'avenir de la Tunisie progressiste. IL EST GRAND TEMPS POUR QUE LES FEMMES ET LES HOMMES DE CE PARTI PRENNENT LEURS RESPONSABILITES.

Hatem
| 20-12-2017 16:26
Il faut cesser de lancer des appels de ce type et travailler de façon concrète en allant taper à la porte des différents parties pour se présenter uni lors des prochaines élections.

Une alliance se construit en amont du scrutin et non pas après comme ce fut le cas des accords de Carthage.

Daly
| 20-12-2017 15:41
Ca implique que l'alternance politique se fera entre progressistes et islamistes.
C'est la continuité d'une guerre idéologique sans fin qui passe l'économie au second rang.
Le résultat ne peut être qu'une nouvelle révolution vu que notre situation économique est pire qu'en 2010
Ennahda doit être un parti d'extrême droite et non pas la première force politique.