Les élections municipales, (il reste près de 4 mois en plus des années passées)
Les règles d'héritage
Les règles d'égalité homme-femme
La propreté
Le pélerinage (?)
Etc.
Quels sont ces autres chats ???
Invité de la matinale d’Express FM ce mercredi 23 août 2017, Issam Chebbi, le secrétaire général d’Al Joumhouri, a déclaré que la Tunisie n’est pas prête à accueillir correctement les élections municipales prévues le 17 décembre 2017 et que le « réaménagement ministériel » annoncé par le chef du gouvernement, Youssef Chahed, est « urgent ».
« Nous ne sommes pas prêts à accueillir les élections les plus prestigieuses du pays ! La date annoncée du 17 décembre 2017 n’est pas adéquate. J’en appelle à la sagesse du président de la République qui doit prendre en considération les intérêts supérieurs du pays et rouvrir le dialogue sur la date de la tenue des élections municipales » a martelé Issam Chebbi. Pour lui, trois raisons principales expliquent la ruine de ces élections si leur date n’est pas reportée : « la non adoption du code des collectivités locales, la vacance à la présidence del’Instance supérieure indépendante pour les élections (ISIE) et les lacunes persistantes au sein des tribunaux administratifs qui ne pourront pas plaider les possibles recours durant ces élections ».
Il a également exprimé son étonnement par rapport aux déclarations du ministre des Affaires locales et de l’Environnement, Riadh Mouakher, qui a déclaré hier, mardi 22 août 2017, sur les ondes d’Express FM que « si le code des collectivités locales n’est pas adopté à temps par les députés à l’ARP ce n’est pas la fin du monde ! ».A ce sujet, il a avancé que si ce code n’est pas adopté alors les élections municipales se tiendront « sous le régime de la loi de 1975 soit une loi vielle de 50 ans ». « Qu’en est-il alors du renouveau engagé par la transition démocratique ? » s’est interrogé le secrétaire général d’Al Jomhouri.
Dénonçant un « laxisme et une cacophonie qui nuiront à l’efficacité des élections municipales », Issam Chebbi a poursuivi en indiquant que l’adoption du code des collectivités locales était une promesse faite par « le gouvernement et l’ISIE » et que le problème essentiel réside dans le fait que les députés de l’ARP sont en vacances. « La Tunisie se risque dans l’aventure si la date de la tenue des élections municipales n’est pas reportée, mais nous nous y préparons et nous sommes en train de mettre en place des alliances constructives pour un renouveau politique tunisien » a-t-il annoncé.
Dans un second temps, Issam Chebbi a évoqué l’urgence d’un futur remaniement ministériel du gouvernement de Youssef Chahed soulignant qu’il faudrait plutôt parler « de réaménagement que de remaniement ». Il a soutenu que le parti Al Jomhouri soutient « Youssef Chahed et le gouvernement numéro 2 d’union nationale ». Selon lui, les premiers critères dont devront être dotés les futurs ministres sont l’intégrité et « les mains propres ».
K.H
Invité de la matinale d’Express FM ce mercredi 23 août 2017, Issam Chebbi, le secrétaire général d’Al Joumhouri, a déclaré que la Tunisie n’est pas prête à accueillir correctement les élections municipales prévues le 17 décembre 2017 et que le « réaménagement ministériel » annoncé par le chef du gouvernement, Youssef Chahed, est « urgent ».
« Nous ne sommes pas prêts à accueillir les élections les plus prestigieuses du pays ! La date annoncée du 17 décembre 2017 n’est pas adéquate. J’en appelle à la sagesse du président de la République qui doit prendre en considération les intérêts supérieurs du pays et rouvrir le dialogue sur la date de la tenue des élections municipales » a martelé Issam Chebbi. Pour lui, trois raisons principales expliquent la ruine de ces élections si leur date n’est pas reportée : « la non adoption du code des collectivités locales, la vacance à la présidence del’Instance supérieure indépendante pour les élections (ISIE) et les lacunes persistantes au sein des tribunaux administratifs qui ne pourront pas plaider les possibles recours durant ces élections ».
Il a également exprimé son étonnement par rapport aux déclarations du ministre des Affaires locales et de l’Environnement, Riadh Mouakher, qui a déclaré hier, mardi 22 août 2017, sur les ondes d’Express FM que « si le code des collectivités locales n’est pas adopté à temps par les députés à l’ARP ce n’est pas la fin du monde ! ».A ce sujet, il a avancé que si ce code n’est pas adopté alors les élections municipales se tiendront « sous le régime de la loi de 1975 soit une loi vielle de 50 ans ». « Qu’en est-il alors du renouveau engagé par la transition démocratique ? » s’est interrogé le secrétaire général d’Al Jomhouri.
Dénonçant un « laxisme et une cacophonie qui nuiront à l’efficacité des élections municipales », Issam Chebbi a poursuivi en indiquant que l’adoption du code des collectivités locales était une promesse faite par « le gouvernement et l’ISIE » et que le problème essentiel réside dans le fait que les députés de l’ARP sont en vacances. « La Tunisie se risque dans l’aventure si la date de la tenue des élections municipales n’est pas reportée, mais nous nous y préparons et nous sommes en train de mettre en place des alliances constructives pour un renouveau politique tunisien » a-t-il annoncé.
Dans un second temps, Issam Chebbi a évoqué l’urgence d’un futur remaniement ministériel du gouvernement de Youssef Chahed soulignant qu’il faudrait plutôt parler « de réaménagement que de remaniement ». Il a soutenu que le parti Al Jomhouri soutient « Youssef Chahed et le gouvernement numéro 2 d’union nationale ». Selon lui, les premiers critères dont devront être dotés les futurs ministres sont l’intégrité et « les mains propres ».
K.H