Monsieur B Ticha je vous hais

Le conseiller présidentiel chargé des relations avec l'ARP et les partis politiques, Noureddine Ben Ticha, a réagi aux propos de la députée d’Attayar, Samia Abbou, selon lesquels «Béji Caïd Essebsi a prouvé qu’il est le président d’une mafia et non pas le président de la République».
M. Ben Ticha a estimé, dans son intervention dans l’émission La Matinale de Hamza Belloumi sur Shems Fm ce jeudi 11 mai 2017, que ces propos ne sont pas ceux d’une «personne responsable», en rappelant les propos du président de la République lors de son discours de la veille et dans lesquels il a affirmé qu’«on pouvait se critiquer, mais avec un niveau politique plus élevé».
Il souligne, en outre, que «si la personne qui accuse le président de la République était convaincue de ce qu’elle avance, elle aurait eu recours à la justice et démontrerait ses dires !»
Le conseiller a martelé que les citoyens et les médias devaient demander à Samia Abbou les preuves de ce qu’elle avance parce que ses accusations sont extrêmement graves. Et de poursuivre en affirmant que plusieurs personnes se croyant révolutionnaires sont en train de bafouer l’éthique. Il a évoqué, dans ce cadre, un incident qui lui est arrivé la semaine dernière à l’Ariana, où une de ses photos a été placardée avec un "Wanted" et "Blanchisseur de la corruption", par le mouvement Manich Msameh.
Noureddine Ben Ticha considère que le comportement de ce groupe démontre, dans un premier lieu, qu’il n’a pas un minimum d’éthique politique, et dans second lieu, qu’il est incapable de prendre ses responsabilités. Pour lui, Manich Msameh se comporte de la même façon que les Ligues de protection de la révolution.
I.N
Commentaires (20)
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Monsieur B Ticha je vous hais
Question
Ok c'est bien de vouloir remettre de l'ordre sur les sites de production en envoyant l'armée ! Et pour les corrompus, les mafieux, les criminels et leurs bandent, on envoi qui ? Je veux dire que fait on ?
abus des notables
Je trouve que le pouvoir actuel exerce une sorte d'abus de pouvoir sur le peuple de Tunisie. La culture du notable disposant des gens à sa guise perdure depuis trop longtemps et plus le temps passe et ça ne s'arrange pas. Il est grand temps que le peuple s'affranchisse de ces notables verreux qui prennent les gens pour des cons.
Les impolis sudistes doivent réintégrer leur région.
Nest-ce donc pas la meilleure méthode de gravir les échelons sociaux sans peine ? Donc autant essayer comme ont pu réussir des intrus à la politique par des coups de bluff ou entraînés par coïncidence par les vrais compétents ou même les vrais nationalistes surtout pour ceux qui sont décédés entre temps et qui ont laissé le champ libre, comme les arnaqueurs et escrocs, par des preuves à l'appui, et non pas
par des accusations mensongères improvisees de nahdha et leurs associés qu'ils ont connu à Londres lorsqu'ils se firent réfugiés par erreur et ce en par la duperie en faisant croire aux britanniques que ce sont des opposants au régime et non des roublards en quête de hold-up des biens et surtout de l'argent de la Tunisie. Cet argent fut d'ailleurs dévalisé dès leur venue et ce en s'accaparant des 2012 de milliers de milliards à partir des caisses de l'état.
Ces méthodes arnaques deviennent monnaie courante, et tout le monde et toutes les régions, arguant la misère alors que parmi eux on compte plusieurs milliardaires, se permettent ainsi de provoquer des chantages et des conditions ou des réserves, d'autant plus que des membres de l'ARP osent insulter les citoyens, les ministres (récemment une femme ministre fut victime lors d'une séance à l'ARP), et même hier le Président de la République.
Les impolis et HAFTARICH de nahdha sont habitués.
Samia Abbou met le point sur le "i", mais c'est Beji Caïd Essebsi qui n'est pas habitué à entendre les critiques et les insultes.
Béji Caïd Essebsi et ses conseillers ne sont forts que contre les faibles. Au lieu de protéger la loi et de n'y toucher à rien de ce que toutes les démocraties de ce monde encadrent définitivement sous la sentence de l'impossibilité de prescription ni d'amnistie, ils veulent rendre la monnaie à ceux qui leur financèrent leurs élections de 2014, en les amnistiant par la force de leur mentalité «azlamiste».
Que l'armée se positionne pour protéger les sites économiques du pays sans la moindre propagande, c'est absolument dans la règle des logiques démocratiques. Mais que le président de la République d'un régime parlementaire d'une République démocratique y fasse des menaces contre son peuple, par la même armée qui a sauvé ce même peuple de la dictature des anciens régimes de Bourguiba et de Ben Ali, sous lesquels Béji Caïd Essebsi avait travaillé par sa conviction «démocratique», ça dépasse toute attente d'un président nonagénaire que le peuple tunisien le choisit plutôt pour la lucidité de son âge que pour autre chose.
Il utilise à présent cette même «conviction démocratique» pour menacer les Tunisiens par une phrase hautaine à la «Saffah Sissi» : «hein ! On ne joue pas avec l'armée. N'est-ce pas?».
Non, Si Ben Ticha ! Béji Caïd Essebsi aurait d'abord dû ordonner à l'armée tunisienne d'ouvrir ses tribunaux, pour poursuivre en justice militaire cette même Mafia de criminels qu'il fait tout son possible pour amnistier par sa ruse de la «réconciliation économique».
Les propos de Samia Abbou ne sont en aucun cas irresponsables. Les vrais irresponsables sont ceux qui prennent encore le peuple tunisien pour de cons. Ceux qui n'acceptent pas la vérité. Ceux dont le profit personnel les aveugle. Ceux qui ne prennent pas exemple de leurs antécédents. Bourguiba avait vécu le même sort de la destitution du Bey. Ben Ali a vécu la colère du peuple Tunisien. L'armée tunisienne a protégé la Révolution tunisienne du 14 janvier 2011. Pourquoi ne pas l'envoyer protéger les sites vitaux de la République sans menacer ce même peuple à qui appartient cette même armée?
Est-ce que les menaces de Béji Caïd Essebsi aux Tunisiens par la force armée de sa «propre armée», appartiennent à l'esprit malade de ce que les dictateurs déchus appelaient «Heybèt Eddawla»?
Et quelles menaces armées prépare-t-il contre ceux qui s'opposent à sa propre «réconciliation économique»?
Il y a enrichissement facile et grade facile en Tunisie.
Nest-ce donc pas la meilleure méthode les échelons sociaux sans peine ? Donc autant essayer comme ont pu réussir des intrus à la politique par des coups de bluff ou entraînés par coïncidence par les vrais compétents ou même les vrais nationalistes surtout pour ceux qui sont décédés entre temps et qui ont laissé le champ libre, comme les arnaqueurs et escrocs (par des preuves à l'appui et par des accusations mensongères improvisees) de nahdha et leurs associés qu'ils ont connu à Londres lorsqu'ils se firent réfugiés par erreur et ce dupant et en faisant croire aux britanniques que ce sont des opposants au régime et non des roublards en quête de hold-up des biens et surtout de l'argent de la Tunisie, cette dernière fut d'ailleurs accompli dès leur venue et ce en s'accaparant des 2012 de milliers de milliards à partir des caisses de l'état.
Ces méthodes arnaques deviennent monnaie courante, et tout le monde et toutes régions, arguant la misère , alors que parmi eux on compte plusieurs milliardaires, se permettent ainsi de provoquer des chantages et des conditions ou réservés, d'autant plus que des membres de l'ARP sans plaidoyer osent insulter les citoyens, les ministres (récemment une femme minidtre), et même le Président de la République.
Qu'attend la présidence pour la Trainée en justice?
Son remède: un ZABA au pouvoir pour qu'elle ne la ramène plus elle et ses semblables!!!