Un accident grave au niveau de l'entrée du parc du Belvédère s'est produit ce samedi 11 mars 2017. Plusieurs personnes ont été renversées par un camion. Un bilan du ministère de la Santé, fait état d’un mort et de 11 blessés dont 3 enfants.
Un communiqué du ministère de l'Intérieur donne les détails de cet accident. Ainsi, on apprend qu’une collision a eu lieu entre un camion et un véhicule de la municipalité. Selon les premières investigations, l'accident est dû à la perte de contrôle du camion par son conducteur.
Les blessés ont été transférés à l’hôpital Charles Nicolle, l’hôpital de la Rabta, Habib Thameur et l’hôpital de Ben Arous. Le ministère de la Santé a mis en place une cellule de soutien psychologique pour les blessés et leurs familles. Omar Mansour, gouverneur de Tunis s’est déplacé sur les lieux de l’accident pour suivre les opérations d’évacuation.
K.H
Accident au parc du Belvédère : Un mort et 11 blessés dont 3 enfants
Un accident grave au niveau de l'entrée du parc du Belvédère s'est produit ce samedi 11 mars 2017. Plusieurs personnes ont été renversées par un camion. Un bilan du ministère de la Santé, fait état d’un mort et de 11 blessés dont 3 enfants.
Un communiqué du ministère de l'Intérieur donne les détails de cet accident. Ainsi, on apprend qu’une collision a eu lieu entre un camion et un véhicule de la municipalité. Selon les premières investigations, l'accident est dû à la perte de contrôle du camion par son conducteur.
Les blessés ont été transférés à l’hôpital Charles Nicolle, l’hôpital de la Rabta, Habib Thameur et l’hôpital de Ben Arous. Le ministère de la Santé a mis en place une cellule de soutien psychologique pour les blessés et leurs familles. Omar Mansour, gouverneur de Tunis s’est déplacé sur les lieux de l’accident pour suivre les opérations d’évacuation.
Même en empêchant les camions de circuler à Tunis (la seule ville concernée par ce fléau et un peu moins Sfax), il n'y a plus aucun centimètre carré rien que pour marcher et non pas pour circuler dans des véhicules ni même une poussette de bébé.
Sans exagération aucune, pratiquement toute la population (à part ceux qui ont un peu de respect à leurs villes dans lesquelles ils ne veulent plus y habiter ; c'est devenu même une dégradation pour eux d'y habiter) ils veulent tous habiter Tunis.
On finira très bientôt à contracter des assurances pour les piétons qui marchent à Tunis.
La solution pour résoudre ce fléau tunisois ne peut se résoudre par aucun quel que soit son niveau d'instruction.
Tunis capput.
Les camions ne devraient-ils pas circuler en dans les grandes agglomérations, tel le grand Tunis, que la nuit en dehors du coup de feu de la circulation piétonne et automobile ?! De toute façon, il fut un temps ainsi ! Ces camions de moyen et gros calibres, auxquels s'ajoutent les camions de ramassages des ordures qui devraient ne circuler que de nuit et les cars crasseux et autres mastodontes, rendent la circulation impossible et la vie citadine impossible, sinon bien dure.
Ce sont actes prémédités (sabotages) pour que nahdha démontre que la municipalité doit être sous leur gouvernance.
Or, c'est bien simple, comme pour toutes les municipalités en Tunisie, même dans le monde et comme depuis toujours, chaque municipalité doit être gérée par ses originaires et ceux qui connaissent tant ses habitants que ses inconvénients et ses avantages.
Or, depuis peu de temps, soit depuis 2011 à ce jour, nous assistons à une débandade et à des interventions du moins que l'on puisse dire des ridicules et caricaturales.
En conséquence, avant d'entamer ces élections, en parlant de Tunis et ses banlieues bien sûr, car pour les autres à part les membres affamés qui cherchent à s'impliquer en tout, ce sera presque de simples formalités.
Donc que nahdha sache que les manigances qu'ils préparent auront des répercussions néfastes tant pour Tunis que pour la Tunisie.
Même en impliquant leurs kamikazes pour des menaces et des chantages cela ne leur servira à rien.
A moins d'une ultime solution que pour les quatre gouvernorat de Tunis (la ville tant convoitée et la destinée pour la colonisation par nahdha, et par voie de conséquence de la part de quelques sudistes récalcitrants et perturbateurs (hormis les sudistes honorables et honnetes) qui détestent et remuent leur région et ne veulent la développer que pour ceux qui sont restés ou pour leur prochaine génération ; donc ils préconisent de devenir maître de tout sans rien lâcher, le beurre et l'argent du beurre. Ainsi leurs idées malveillantes envers les originaires de quelques grandes villes seront toutes à leur disposition, ainsi la présumée révolution serait d'après ce qu'il pensent une victoire sur "lancienne"population et démontraient de ce fait à Ben Ali et essentiellement aux crapules du RCD comment l'arnaque de ladite "ère nouvelle "pouvait réussir.
en tunisie on a plus de sens interdit la tunisie est devenue un pays des hors la loi j ai degoutè la tunisie on se sent plus en securitè un pere de famille mort le chaffard va surement ecopè 15 jours d arret rien que pour sa securitè en tunisie c est l engin qui est responsable de l accident mortel ce n est pas le chaffeur au contraire il faut indemniser ce chaffeur parcequ il a eu peur au moment de l accident ya touwansa rana wallina nsakhfou
Au gouvernement qui se plaignait du déficit budgétaire, il suffisait de sanctionner les infractions au code de la route par des amendes de 2000 à 4000 dinars (au lieu des 60 dinars actuels. Le résultat ne se fera pas attendre, croyez moi!!!!!!
Voilà ce qui nous attend ! Il ne faut pas être dupe il va falloir frapper dur, ce laissé aller est intolérable, vraiment c'est la gabegie on est exténué par cette passivité des pouvoirs publics,cette sauvagerie aveugle !
Voyez nos routes,notre comportement face au code de la route,tant qu'on n'a pas mis l'appareil répressif, ils ne se conformeront jamais !
Mr le ministre de l'intérieur votre démission trop arrogante, vous êtes en charge de nous protéger ne nous laisser pas massacrer par ces assassins de la route,ces hors la loi ,taper au porte monnaie, vous faites d'un coup deux objectifs :
1) baisse des accidents de la route.
2) avec l'argent des contraventions, remédier au infrastructures du pays.(Manai)