Le syndicaliste sécuritaire Issam Dardouri vient d'être libéré aujourd'hui, samedi 4 mars 2017. Il est placé en liberté conditionelle après avoir purgé 8 mois de prison de la peine d'un an de prison ferme qui a été prononcée contre lui.
Le 23 novembre 2016, la chambre criminelle près le tribunal de première instance de Sousse a condamné Issam Dardouri à un an de prison ferme en vertu de l'article 86 du code des télécommunications. Ledit article énonce ce qui suit : "Est puni d'un emprisonnement de un an à deux ans et d'une amende de cent à mille dinars quiconque sciemment nuit aux tiers ou perturbe leur quiétude à travers les réseaux publics des télécommunications".
Le syndicaliste sécuritaire Issam Dardouri vient d'être libéré aujourd'hui, samedi 4 mars 2017. Il est placé en liberté conditionelle après avoir purgé 8 mois de prison de la peine d'un an de prison ferme qui a été prononcée contre lui.
Le 23 novembre 2016, la chambre criminelle près le tribunal de première instance de Sousse a condamné Issam Dardouri à un an de prison ferme en vertu de l'article 86 du code des télécommunications. Ledit article énonce ce qui suit : "Est puni d'un emprisonnement de un an à deux ans et d'une amende de cent à mille dinars quiconque sciemment nuit aux tiers ou perturbe leur quiétude à travers les réseaux publics des télécommunications".
Article 86 du code des télécommunications : "Est puni d'un emprisonnement de un an à deux ans et d'une amende de cent à mille dinars quiconque sciemment nuit aux tiers ou perturbe leur quiétude à travers les réseaux publics des télécommunications". Nous sommes en démocratie ou pas, ça c'est un article qui aurait été normal en Corée du Nord mais pas en Tunisie. Bizarre.
Bonne nouvelle pour le grand homme Issam el watani et honte aux traîtres qui ont causé à Issam et plein d'autres des injustices,mais après le mauvais temps,c'est sûr le beau ce montrera et ils payeront le pots cassés!!!!!!
L'injustice perdure doublant d'ampleur depuis la révolte de la brouette.
Des procès inéquitables, des dossiers montés de toutes pièces.
L'affaire de DARDOURI s'inscrit dans cet ordre des choses.
Laissez ce bonhomme en paix vous lui avez assez fait de mal tout autant que sa famille.
