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Lamia Zribi : Nous avons pensé écrire à Fitch Ratings pour leur donner les chiffres actuels de la Tunisie
15/02/2017 | 11:09
1 min
Lamia Zribi : Nous avons pensé écrire à Fitch Ratings pour leur donner les chiffres actuels de la Tunisie

« La décision de l’agence de notation, Fitch Ratings, de dégrader la note de la dette tunisienne la faisant passer de BB- à B+ est fondée sur les chiffres de août 2016. L’agence n’a pas mis à jour ces chiffres et n’a donc pas pris en considération l’amélioration de la situation touristique, de la production de phosphate, les réformes entreprises et les intentions d‘investissements issues de la conférence sur l’investissement Tunisia 2020 qui s’est tenue les 29 et le 30 novembre 2016 ». C’est ce qu’a déclaré la ministre des Finances, Lamia Zribi, ce mercredi 15 février 2017 sur la Radio Nationale ajoutant : « Nous avons pensé écrire à l’agence de notation pour leur faire part de ces éléments ».

 

Lamia Zribi s’est également exprimée sur la sortie de la Tunisie sur le marché européen mentionnant que la dégradation de la note tunisienne est inopportune et a changé la donne en influençant  le comportement des investisseurs. Elle a ajouté que « même si cette baisse était intervenue plus tard, elle demeurerait inopportune ».Par ailleurs, la ministre a donné des précisions sur le timing choisi pour opérer cette sortie sur le marché européen en précisant que « la sortie sur le marché européen ne s’est pas faite fin 2016 car les banques nous ont conseillé d’attendre. L’investiture de Donald Trump et le sujet du Brexit ont fait que nous avons attendu début 2017 pour entamer cette sortie. De plus l’Egypte, le Nigéria, l’Argentine et la Turquie avaient déjà effectué leurs sorties, il était donc préférable d’attendre début 2017 ».

 

K.H

15/02/2017 | 11:09
1 min
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Commentaires (16)

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Clive
| 20-02-2017 02:29
Donc la principale info est qu'«Ils ont pensé écrire à l'agence de notation pour leur faire part de ces éléments», si ça aurait pu améliorer la note pourquoi ne l'ont-ils pas fait? Et si c'était trop tard pour changer quoi que ce soit pourquoi Mme la ministre ne le précise-t-elle pas?

Mouatan Salah
| 16-02-2017 08:57
Grave Grave Grave de ne pas avoir transmis toutes ces nouvelles informations de la part d'une Minsitre

Gentelman
| 16-02-2017 08:18
@rationnel. Dette non investissable donc spéculative donc c'est l'incertitude et donc c'est la prudence!

Adnène
| 15-02-2017 19:30
Elle divague,tenir des propos insensé sur la façon de procéder d'un agence de rating est significatif qu'elle n'a aucune idée des mécanismes de la finance mondiale. Elle aurait mieux fait de s'abstenir de parler .....encore un responsable tunisien qui ne brille pas par une compétence particulière et se trouve à un niveau de décision.

Léon
| 15-02-2017 19:10
La Baraka chère Madame, la Baraka! Vous savez ce que c'est? C'est ce qui fait qu'avec tous les moyens du monde vous perdez, et c'est ce qui fait qu'avec mille fois moins de moyens d'autres réussissent.
Dieu l'accorde à qui il veut. Savez-vous que Dieu lit dans les coeurs chère Madame. Ce qu'il a dû lire dans le coeur de Ben Ali doit être complètement opposé à ce qu'il a lu dans le coeur des merdolutionnaires, malgré leur instruction (donc leur supposée bonne tête), et les nobles bannières derrière lesquelles ils ont caché leur haines diverses (droits de l'homme, libertés, dignité.....).
Ils ont dupé le monde entier, sauf qu'ils ne peuvent pas duper Dieu. Je crois même qu'ils se sont "dupés" eux-mêmes pour pouvoir se regarder dans une glace en prétendant voir autre chose que des haineux et des traitres.
L'être humain est l'une des rares créatures capable de se mentir, car tout être humain est doté d'une boussole qui lui dicte le bien et le mal. Ils savaient pertinemment que ce qu'ils faisaient à leur pays était mauvais et ce qu'ils faisaient à leurs dirigeants est inqualifiable.
Alors si vous voulez de la Baraka, allez la chercher chez Ben Ali. De plus, cela fait six années qu'il est l'invité du pays de Dieu, et doit donc déborder de Baraka. Bien plus qu'avant. De quoi redresser à lui seul le pays qui pullule de traitres et de haineux.

Harvard, chère Madame, y Merci (et vive Toumia et Mehrzia et tous vos excellents élus à la baraka intarissable).

Léon, Min Joundi Tounis Al Awfiya;
Résistant Souverainiste.

VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES.

Frédéric CEAI
| 15-02-2017 18:34
Et que vaudrait la note de FITCH sans la garantie US de paiement en dernier ressort des emprunts de la Tunisie ???

Cette garantie US s'apparente à un "protectorat économique américain".

Tunisienne
| 15-02-2017 18:18



c'est que Fitch rating a une dent contre notre pays si prospère ! Et c'est d'autant plus incompréhensible que la Tunisie vit vraiment un miracle économique depuis août 2016 !



Citoyen_H
| 15-02-2017 17:54

pour avoir pactiser avec les chameliers affamés traitres imposteurs, destructeurs de nations.

Arrêtons de nous voiler la face, et prenons le taureau par les cornes.

Récupérons ce que ces escrocs se sont attribués, en volant l'argent du peuple, durant leur mandat (2011-2014) et renvoyons les à leur habitat naturel.
Cela sera positivement perçu par toutes les agences de notations et de tous les investisseurs de la planète.





el manchou
| 15-02-2017 17:12
La dame croit que Fitch prend juste des chiffres pas à jour et publie une note, elle croit que c'est l'école des fans ?
Fitch a des analystes qui ont analysé les vrais chiffres et conclu que le Tunistan post-Brouette ne vaut pas plus qu'un clou rouillé.

Ils s'en tapent des intentions, des conférences bidons et de la mendicité agressive que vous et vos collègues de ce gouvernement fantoche exercez auprès de l'Europe et des états-unis.

Fitch juge sur des faits et ont conclu que vos méfaits ont défait l'économie.

Tt
| 15-02-2017 14:47
Fitch veut que vous couler