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Interdiction de circulation à l'avenue Habib Bourguiba à partir de vendredi 13 janvier à 18h
12/01/2017 | 19:10
1 min
Interdiction de circulation à l'avenue Habib Bourguiba à partir de vendredi 13 janvier à 18h

Le ministère de l’Intérieur a indiqué dans un communiqué publié ce jeudi 12 janvier 2017, qu’à l’occasion de la célébration du sixième anniversaire de la révolution, le 14 janvier, à l’Avenue Habib Bourguiba, la circulation y sera interdite.

La direction de la police routière précise qu’aucun véhicule ne pourra circuler de l’avenue Ennasr jusqu’aux croisements des avenues Habib Bourguiba et de la République à partir du vendredi 13 janvier à 18h et jusqu’au samedi 14 janvier 2017 à la fin des festivités.

 

Le parking de l’avenue Mohamed V a été mis à la disposition des automobilistes, la partie allant du croisement Ghana-Mohamed V à la place de la révolution étant destinée aux piétons, précise le communiqué.

Les commerçants sont, par ailleurs, appelés à se fournir avant que cet avis ne prenne effet.

 

 

12/01/2017 | 19:10
1 min
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Commentaires (31)

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Gg
| 13-01-2017 19:53
Je me le demande aussi !
Bonne année à toi :-)

HatemC
| 13-01-2017 19:23
ce malheureux est une calamité .. me demande comment il vit ... ce taré .. HC

Gg
| 13-01-2017 18:56
"Heureuse fête de la Révolution tunisienne à tous les «Mollahs», à tous les «islamistes», à tous les «Hajjis», à tous les «Omraïstes», à tous les «Muslimistes», à tous les «Saoudistes», à tous les «Qataristes», à tous les «al Jaïch al-Horriste», à tous les «Palestinistes», à tous les «Arabistes» et à tous nos «frèristes»."

Tu as oublié les crétinistes, dont tu es le cheik ou le calife ou l'émir incontesté!
HHhhhhh

TeTeM
| 13-01-2017 18:51
La révolution ne nous a pas apporté que la liberté d'expression. Il me plait de croire qu'elle nous a peut être épargné d'un coup d'état sanglant ou d'une Guerre Civile. Ben Ali n'est pas éternel et à un moment ou un autre, il aurait fallu le remplacer. Cela aurait pu bien se passer ou pas! La révolution était sans doute un moindre mal et aurait même pu être une belle expérience si 30 % d'entre nous n'avais pas offert leur suffrage à la Nahda. Cela aurait pu être une belle expérience si nous savions que notre liberté s'arrete là où celle des autres commences. Cela aurait pu être magnifique si nous savions faire preuve de civisme et que nous ne fassions pas passer nos petits intérêts personnels avant ceux de la Nation.

Fort heureusement rien n'es perdu. Le pouvoir appartient au peuple et les festivités du 14-01 nous donne l'occasion de rappeler, nos très chers élus, à leur devoir!

- Exigeons la tenue d'élection municipale dans les plus brefs délais et l'établissement d'un calendrier électoral clair et lisible

- Exigeons la fin de l'anarchie et le rétablissement de l'autorité de l'état

- Exigeons la bonne application des Lois en vigueur

- Exigeons le respect des institutions de l'Etat de ceux qui en sont les garants...

Si on obtient déjà ça, ça sera pas mal!

TeTeM
| 13-01-2017 18:50
Juste au cas où ça vous aurez échappé, la Tunisie c'est nous! Les Tunisiens c'est nous! Et la situation actuelle de la Tunisie c'est encore nous?

Révolution Islamiste? Non! C'est une insulte à l'Histoire. Résident à l'étranger j'ai la chance de percevoir les changements radicaux qui se produisent en Tunisie et qui sont pour vous invisible car progressive.

Laissez-moi donc-vous rafraichir la mémoire. Nous sommes en 2011, Ben Ali règne sans partage sur la Tunisie depuis 24 années et sa belle-famille a mis l'économie Tunisienne sous son aile! Pas de grosses affaires sans les Trabelsi.

Ben Ali, qui aurait pu quitter le pouvoir en héro, a fait amender la constitution afin de pouvoir briguer son mandat actuel. Quitter le pouvoir, ce n'est d'ailleurs pas vraiment dans ses projets immédiats!

La crise est mondiale et n'épargne personne. Et bien naturellement, notre petite Tunisie est touché elle aussi même si elle ne s'en tire encore pas trop mal. Reste que les chômeurs diplômés sont nombreux.

Si jusqu'en 2008, nul n'osait parler de Ben Ali, la donne change en 2009-2010... La grogne monte, les langues se libèrent... Ben Ali ne fait plus peur mais ça, le Palais de Carthage ne le perçoit pas ! Ajoutez à cela un pincé de régionalisme alimenté par un développement du territoire assez inégale, il est vrai!

La poudre était là prête à exploser ! Bouazizi n'a été qu'une allumette qui a mis le feu à la poudre!

Abel Chater
| 13-01-2017 18:27
On est à la 7ème année de la Révolution tunisienne du 14 janvier 2011. On est à la 7ème année de notre transition démocratique. On est à la 7ème année de notre deuxième République démocratique tunisienne de régime parlementaire. On est à la 7ème année sans "yahya Boutbila" et sans "berrouh beddèm nefdik ya Zalèm". On est à la 7ème année qu'aucun dictateur n'a humilié le peuple tunisien, le faisant sortir dans les rues pour applaudir le passage de son cortège, en criant comme des Apaches contre une journée payée par les contribuables. On est à la 7ème année où les institutions de l'état roulent autour de leurs propres axes et par leur propre énergie. On est à la 7ème année qu'on n'a plus de «gourou», de «zaïm», de «denfir», de «marabout», de «Pharaon», de «guide et de berger», de «père de la Nation», ni de «Klugscheisser». On est à la 7ème année, où nous commençons à appartenir aux vrais êtres humains.
Malgré tout, les ennemis de la Révolution tunisienne ne cessent de verser leurs larmes de crocodile, pour nous pleurer notre liberté qu'on ne la mérite pas ; qu'on n'est pas encore prêts pour sa pratique ; qu'on aurait dû rester sous leur tutelle pour d'autres siècles à venir ; qu'on aurait dû rester leurs esclaves et les esclaves de leurs deux dictateurs déchus Bourguiba et Ben Ali, afin qu'on n'ait plus de poux et qu'on aille davantage à l'école où la recherche scientifique est encore au point mort.
Les pauvres, ils ont tellement pleuré, qu'ils ne remarquent même pas qu'ils vieillissent eux aussi, jusqu'à ne plus se souvenir de la fuite de leur gourou et de leur propre fuite, où ils ne commencèrent à sortir de leurs cachettes, qu'après au moins deux longues années, de crainte d'être rattrapés par leur passé macabre.
Il n'y avait pas eu de Révolution tunisienne nous disent-ils maintenant. Il n'y a eu que leur fuite pour ne pas être punis par le peuple tunisien.
Vive la Révolution tunisienne. Vive la deuxième République tunisienne de régime parlementaire. Vive la Tunisie arabe et musulmane.
Allahou Akbar.

TeTeM
| 13-01-2017 18:14
Je n'ai pas envie de fêter quoi que ce soit avec un individu aussi ignoble que toi!

Puis, c'est la fête des Tunisiens, pas des Palestiniens, donc laisse les là où ils sont....

TeTeM
| 13-01-2017 18:08
En lisant votre réponse, un truc m'a traversé l'esprit => " donc construisons la Tunisie sans Tunisien"...

Ghazi
| 13-01-2017 14:48
Une mamie tunisienne (Fokhar Bikri) dit à son petit-fils de 6 ans :
- Puisque c'est ton jour d'anniversaire, je vais te faire une '3assida' avec 6 bougies !

- Tu sais, Mamie, ce que je préférerais, c'est que tu me fasses 6 'S7afi 3assida' avec une seule bougie !

- Et pourquoi tu ça ?

- J'ai la Diarrhée Mamie et le Zgougou 'Cimente' un peu...et je n'ai pas besoin plus qu'une seule bougie !! Pour m'aider...

Bonne fête du 6

JOHN WAYNE
| 13-01-2017 11:59
Votre révolution a échoué!
Vous êtes un peuple traitre et primitif.
Vous préférez détruire à bâtir, salir à assainir, et vendre votre pays plutôt que de le protéger de ses ennemis.
Vous êtes un peuple lamentable, stupide, arrogant, et pitoyable.
Votre mentalité coloniale et soumise aux Européens et aux sionistes de ce bas monde a fait que la Nation Tunisienne érigée dans la gloire par des Hommes et des Femmes que vous déshonorez, est en danger de perdition.
Car un siècle de Nationalisme et de Patriotisme n'a pu avoir raison de votre sous-développement et de votre soumission à l'occident.
Mais il y a aussi ce fléau nomme l'Islam qui vous imprègne et qui ajoute à votre déchéance en peuple qui aujourd'hui est balloté et mené à l'abime par des sionistes plus intelligents dont vous êtes les larbins et les serviteurs.
Amendée en une secte sanguinaire et cruelle par des chameliers pédophiles et des colonialistes ségrégationnistes, cette religion est devenue votre alibi le plus fort au sous-développement, à la paresse, et a votre aspect destructeur qui fait qu'aujourd'hui la Nation Tunisienne n'est plus qu'une esclave à vendre à ses Maitres.
Vous êtes passés en une nuit de peuple digne a l'identité et a l'histoire brodées d'honneur, a un amalgame de va nu pieds que des émirs du Golfe et des banquiers sionistes nourrissent par des cadeaux et des offrandes.
Vous n'êtes plus guère qu'un peuple de prostituées affamées entretenu par des occidentaux et des bédouins plus riches et plus puissants.
Mon nom est JOHN WAYNE.
Je suis un orphelin de Bourguiba et un flic de Ben Ali.
Je puise ma gloire et ma fierté dans quatre décennies au moins passées à servir la Nation Tunisienne et à la défendre contre ses ennemis sionistes et leurs chiens dressés islamistes.
Je suis un Nationaliste laïque et ma seule religion est l'hymne National.
Mes héros sont Bourguiba, Nasser, Kadhafi, Ben Ali, et Saddam Hussein.
Tous ces Hommes qui ont tenté de procurer la vraie dignité à des peuples comme vous qui n'en valait pas la peine.
Tous ces hommes qui ont refusé de se soumettre quand vous avez baissé la tête et la culotte.
Ceux qui sont morts sans se rendre dans la souffrance quand vous avez vendu votre Nation pour des objets de luxe et des billets de banque aussi sals que vos esprits et vos corps.
Ceux qui sont déjà au paradis quand vous goutez a l'enfer sur terre.
Pas besoin de prix Nobel sionistes, ni d'argent du Qatar, ni de flatteries sionistes pour moi.
Mes richesses sont le Patriotisme de Bourguiba et l'intelligence de Ben Ali.
C'est ce qui fait de moi un être libre et digne quand vous n'êtes plus que des bêtes errantes.

F.M. Alias JOHN WAYNE
Ancien Élevé au Collège Sadiki.
Diplômé d'Histoire et de Sciences Politiques de l'Université Paris-Sorbonne.
Ancien Fonctionnaire aux Ministères des Affaires Etrangères et de l'Intérieur Tunisiens des gouvernements d'Habib Bourguiba et de Zine El Abidine Ben Ali.
Diplomate de carrière et spécialiste de la sécurité et du renseignement.