POUR CE QUI EST DE ENNAHDHA : BEUÂRK !!
(désolé, le seul nom de ce parti, m'a fait dégueuler mon repas de midi) !
Le dirigeant au sein du parti islamiste Ennahdha et député de l’ARP, Abdellatif Mekki était l’invité de Shems FM ce mardi 20 septembre 2016 pour parler des divergences qui l’opposent aujourd’hui à Rached Ghannouchi, de la corruption et des moyens de la combattre.
« Je pense que le parti Ennahdha est un grand parti, il devrait néanmoins faire comme de nombreux autres grands partis et élire un bureau politique qui participera à l’exercice du pouvoir. Rached Ghannouchi n’est pas d’accord avec cette idée » a expliqué M. Mekki.
Il a par la suite rappelé les deux discours, celui de M. Essid et celui de Youssef Chahed concernant la corruption qui mine l’administration et le pays en général et qui ont tous deux dit que : «combattre la corruption s’avère être beaucoup plus difficile que combattre le terrorisme ».
Le dirigeant au sein du parti islamiste a relevé également le fait qu’une entité publique pour combattre la corruption est un bon moyen pour faire que les marchés publics se passent dans la transparence mais le plus important c’est qu’il y ait une vraie volonté politique pour l’éradiquer car les renseignements militaires par exemple ont pleinement les moyens de la combattre.
L’ancien ministre a aussi souligné que les pouvoirs politiques n’ont pas l’intention de commencer cette lutte « la preuve c’est que les dossiers qui ont été déposés devant la justice à l’époque de la troïka n’ont pas encore été ouverts ».
En conclusion, Abdellatif Mekki a expliqué que pour sa part il ne voulait pas encore critiquer le nouveau gouvernement, vue sa très récente mise en place.
S.A
Le dirigeant au sein du parti islamiste Ennahdha et député de l’ARP, Abdellatif Mekki était l’invité de Shems FM ce mardi 20 septembre 2016 pour parler des divergences qui l’opposent aujourd’hui à Rached Ghannouchi, de la corruption et des moyens de la combattre.
« Je pense que le parti Ennahdha est un grand parti, il devrait néanmoins faire comme de nombreux autres grands partis et élire un bureau politique qui participera à l’exercice du pouvoir. Rached Ghannouchi n’est pas d’accord avec cette idée » a expliqué M. Mekki.
Il a par la suite rappelé les deux discours, celui de M. Essid et celui de Youssef Chahed concernant la corruption qui mine l’administration et le pays en général et qui ont tous deux dit que : «combattre la corruption s’avère être beaucoup plus difficile que combattre le terrorisme ».
Le dirigeant au sein du parti islamiste a relevé également le fait qu’une entité publique pour combattre la corruption est un bon moyen pour faire que les marchés publics se passent dans la transparence mais le plus important c’est qu’il y ait une vraie volonté politique pour l’éradiquer car les renseignements militaires par exemple ont pleinement les moyens de la combattre.
L’ancien ministre a aussi souligné que les pouvoirs politiques n’ont pas l’intention de commencer cette lutte « la preuve c’est que les dossiers qui ont été déposés devant la justice à l’époque de la troïka n’ont pas encore été ouverts ».
En conclusion, Abdellatif Mekki a expliqué que pour sa part il ne voulait pas encore critiquer le nouveau gouvernement, vue sa très récente mise en place.
S.A