Il faut voir le côté positif, tu nous montres de plus en plus à travers tes interventions le vrai visage d'un "bon" musulman arabe. Ne lâche pas.

La responsable de la communication au ministère des Affaires religieuses, a annoncé, lundi 12 septembre 2016, à la TAP, que deux pèlerines tunisiennes sont décédées à la Mecque.
Citant la délégation médicale accompagnant les pèlerins tunisiens, le responsable de la communication a précisé que l'une des femmes décédées est Mahrzia Harabi Brigui, originaire du gouvernorat de Médenine et âgée de 70 ans, dont le décès est survenu dimanche soir à l'hôpital Al Zaher à la Mecque où elle était admise au service de réanimation depuis quelques jours.
L’autre pèlerine, Zannouba Hedi Ellouz, originaire de Sfax, s'est éteinte lundi à l'aube à Mina à l'âge de 60 ans succombant à une crise cardiaque, précise la même source.
Le chef de la délégation médicale, Naoufel Somrani, a déclaré à la TAP, que la délégation a effectué aujourd'hui plus de 200 consultations dans les deux tentes mises à la disposition des pèlerins tunisiens à Mina et suit de près l’état de santé d'un nombre important de pèlerins après la journée de prière et d'invocation sur le mont Arafat dimanche.
Il a précisé que l'encombrement, la longue distance à parcourir pour regagner la tente de départ et la hausse des températures, ont fatigué nombreux pèlerins et surtout les personnes âgées. Deux pèlerines ont ainsi été hospitalisées à la Mecque après la détérioration de leur état de santé, a-t-il indiqué.
Mise à jour :
Le ministère des Affaires religieuses, a annoncé, mardi 13 septembre 2016, le décès d’une troisième pèlerine à la Mecque. Il s’agit de Samira Hentati, âgée de 60 ans et originaire de Sfax.
M.B.Z
Commentaires (33)
Commenter@chater
Il faut voir le côté positif, tu nous montres de plus en plus à travers tes interventions le vrai visage d'un "bon" musulman arabe. Ne lâche pas.
le nouvel étendard d' A.Chater
CHEZ NOUS, ON MEURT SOUVENT POUR LA RELIGION, MAIS JAMAIS POUR LA SCIENCE !
Pauvre Tunisie
À abdel' charter
Allez retourne à ton chômage et ta cité crasseuse, et a ta schizophrénie.
Réponse à @vilain barbu
J'aurais bien souhaité que tu aies cette vertueuse conscience envers le sujet de cet article, depuis la première intervention de l'Awazigh Harki "non-arabe" @HatemC, lorsqu'il parle de "maudite Arabie Saoudite" et "Arabie Sodomite".
Tu aurais dû d'abord mettre fin à ce langage *** de ce montagnard barbare, qui trouve le sujet de l'article adéquat à sa décadence morale et familiale.
Je respecte toutefois ton avis et je m'excuse pour m'avoir laissé emporter par ces hyènes et par ces chacals humains.
Bonne journée.
messieurs
Réponse à @Fares
Eh oui, cher moraliste en recul par le postérieur. Ce n'était pas moi qui faisais quoi que ce soit avec les filles allemandes de l'époque. C'étaient les jeunes filles européennes, comme aujourd'hui d'ailleurs, qui cherchaient une liaison avec un vrai jeune "bouc", vu la frigidité, l'alcoolisme et l'homosexualité de leurs jeunes hommes allemands et autres. La moralité dont tu essaies de me baratiner, ne pouvait être classée que parmi les défauts dont souffre la majorité des hommes, qui se sont féminisés plus que les femmes elles-mêmes.
D'après toi, j'aurais dû repousser les filles qui me voulaient et je leur aurais dû tourner le dos sur le même lit, où on dormait ensemble avec l'aval et l'autorisation de leurs propres parents?
La fillette dont tu te casses la tête, est maintenant grand'mère qui ne m'a jamais quitté même pour une seule journée de sa vie. Une femme rare et presque unique en la sincérité de son amour. Même lorsque nos 5 enfants lui demandent à titre d'hilarité, qui aimerait-elle le plus entre moi son mari et l'ensemble de ses enfants, elle rétorque promptement et affirmativement, souvent avant même que la question ne soit terminée, qu'elle m'aime plus que sa propre personne.
Imagine ma fierté et ma réussite dans ma vie conjugale, surtout lorsque je vois le comportement des autres et la rareté de résultats positifs parmi la majorité des "Ouled Nanati" de ton espèce.
La vie n'est pas un film de cinéma où ils ne montrent que des séquences de quelques minutes. La vie est une usure permanente et sans cesse, depuis la naissance jusqu'à la mort. Celui qui n'avance pas recule et celui qui n'encadre pas sa famille au nom de cette liberté sauvage, ne pourra réussir à long terme.
Bonne journée.