Mais ça ça importe peu. C'est le souci dernier. L'essentiel est de savoir s'il boit du vin ou pas.
Voilà la mentalité inculquée et ENTRETENUE par l'islam politique depuis 40 ans.
Pour lui, l'essentiel est le rigorisme, pas la prospérité.
Une fois arrivés aux responsabilités du pouvoir, et sachant qu'avec cette doctrine moyenâgeuse les résultats seront forcément catastrophiques pour le pays, leurs dirigeants essaient de faire machine arrière.
Trop tard! Leurs masses sont fortement endoctrinées. Elles prendraient pour une trahison tout écart à leur ligne: privilégier le rigorisme passe avant tout. S'il le faut ils feraient appel à d'autres dirigeants.
Même des personnes extérieures à l'islam politique se prennent aussi au jeu pour faire bonne figure
Tant que l'on s'occupera à refréner les libertés fondamentales, l'horizon de la Tunisie n'est pas près de s'éclaircir.
Les pays avancés ne s'y sont pas trompés: les libertés fondamentales passent avant tout.
Chez nous, les adeptes de l'islam politique, fortement endoctrinés, pensent être plus forts que les Coréens ou les Japonais. Tout en profitant en catimini et le plus hypocritement du monde de leurs avancées technologiques.