Béji Caïd Essebsi fut propulsé par l'Occident au sommet du pouvoir en Tunisie, dans le seul but de faire l'équilibre avec le parti d'Ennahdha. Toutefois, notre vieillard Béji Caïd Essebsi s'enroule sur tous les pouvoirs de l'état. C'est lui qui a désigné son propre homme Habib Essid à la tête du gouvernement. C'est lui qui a désigné son propre homme Mohamed Ennaceur à la tête du parlement ARP. C'est lui qui a désigné son propre homme Mohsen Marzouk au poste de Secrétaire général de Nidaa Tounes. C'est lui qui désigne ses propres hommes même aux postes de gouverneurs. C'est lui qui décide de renouer avec les dictateurs despotes et meurtriers de leurs peuples en Syrie et en Egypte, le Saffah Bachar Assad et le Saffah Sissi. C'est lui qui veut faire passer cette loi criminelle de la réconciliation économique, dans le seul but de récompenser ses donneurs de fonds, qui l'avaient financé pour arriver au Palais de Carthage. C'est lui qui fait reculer le pays vers sa nostalgie des temps dictatoriaux où il a 'uvré toute sa vie. Il nous détruit notre nouveau régime parlementaire de notre deuxième République, en le détournant par toutes les ruses de son expérience dictatoriale, vers un régime présidentiel où il décidera de tout et où il anéantira tout notre système démocratique. En un seul mot, tout le peuple tunisien se fait duper et tromper ***.
Sans la riposte de nos consciences vivantes et vivaces au sein de notre magistrature, de nos forces de l'ordre, de nos états-majors et de nos intellectuels, la Tunisie n'avancera jamais vers les pays du premier monde. Les corrompus de l'ancien régime, ne le permettront jamais. Ils ont l'argent et les médias sous leur pouvoir.
Est-il normal qu'un président de la République tunisienne de régime parlementaire, insiste à faire sauver des voleurs criminels, avant que la Justice n'étudie leurs dossiers?
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Encore mille BRAVOS et mille mercis à l'AMT et à tous nos magistrats, qui ne laisseront jamais la Tunisie revenir en arrière sous le pouvoir d'un autre Pharaon.
Qui t'a pharaonisé, Ô Pharaon, ?
« Mèn farâanèk ya Pharaon ?