1. le métro de Tunis convergeant vers la place de Barcelone à largement contribué à la paupérisation du centre ville et à son délabrement par l'afflux de populations à faibles revenus. Qu'en sera-t il quand le RFR aggravera la situation à coups de wagons entiers provenant de périphéries encore plus lointaines ?
2. La place de Barcelone joue à l'heure actuelle le rôle de fait d'une gare multimodale sans en avoir les attributs d'accessibilité et de commodités. Les encombrements au droit de cette place sont connus et découragent bon nombre d'usagers. L'arrivée du RFR va aggraver la situation en élargissant l'aire d'embouteillage pour concerner tout l'hypercentre de la capitale. Qu'a-t-on fait pour prévenir ces futures contraintes qui peuvent devenir dramatiques pour l'hypercentre, véritable c'ur battant de la capitale?
3. La gare de marchandises de La Petite Vitesse située au niveau du quartier de la Petite Sicile offre une alternative "miraculeuse" à la place de Barcelone. Sa récupération et sa reconversion en tant que terminal du RFR semblent opportunes. Cela vitaliserait le quartier de la Petite et accélérerait sa rénovation. Peut-on à l'étape actuelle de l'avancement du projet reposer à plat certaines options acquises du temps où elles étaient le plus souvent dictées par des considérations autres que l'intérêt public.