
Le chef du gouvernement, Habib Essid a reçu ce samedi 13 juin 2015, selon un communiqué publié sur la page officielle de la présidence du gouvernement, le Bureau exécutif du Syndicat national des journalistes tunisiens.
Le secrétaire général du SNJT, Néji Bghouri a déclaré que cette entrevue a été l’occasion d'examiner un certain nombre de questions dont les conditions précaires des journalistes dans certains médias. Il a souligné l'engagement du gouvernement pour la consolidation de la liberté d’expression dans la réforme des médias en Tunisie.
Néji Bghouri, a également rappelé le rôle du syndicat dans l’encadrement du secteur des médias et dans la défense de la liberté de la presse. Certaines questions relatives aux demandes du syndicat et notamment celles qui traite des habitations dédiées aux journalistes ont aussi été abordées lors de cet entretien.
Pour sa part, Habib Essid a promis de soutenir le Fonds social à travers le prélèvement d’une partie des revenus de la publicité publique, afin de permettre à ce fonds de jouer son rôle dans l’aide aux journalistes.
Néji Bghouri a ajouté que la rencontre a constitué une opportunité pour évoquer la question de la carte de journaliste professionnel, tout en précisant que le chef du gouvernement s’est engagé à ce que la carte du syndicat ait le même rôle que celle de journaliste professionnel auprès des autorités administratives et sécuritaires. Une démarche qui tend à faciliter la tâche des journalistes en attendant la remise en fonction de la Commission nationale d’octroi de la carte de journaliste professionnel.
Le secrétaire général a indique, en outre, que Habib Essid s’est félicité de la coordination entre le syndicat et le ministère de l’Intérieur en matière de formation et d’organisation de sessions sur la sécurité professionnelle, tout en affirmant que les dernières agressions à l’encontre des journalistes sont des cas isolés et que le ministère est tenu d’encadrer les agents en la matière.
M.B.Z.

un agent de l'ordre incarne toute l'autorité de la constitution et sa puissance, devant cette puissance on a droit au silence, toute parole ou geste jugé par l'agent de l'ordre est assimilé à un outrage et transgression de la loi
Une telle situation nécessité un rappel à l'ordre conformément à l'article 42 du code pénal et surtout l'alinéa 2 du l'article 20 de la loi N°69-4!
Mais bon ce Bghouri avec sa corporation sont-ils des Citoyens Civils???
Non sont-ils mangeurs d'anes?
Devant l'agent de l'ordre je ferme ma gueule et je croise mes bras, je suis un CITOYEN CIVILISE!
Mon ami @DJEH me dira que l article 42 de chez nos amis les francais a eté appliqué ..car la journaliste a eté interpellé sur place , menotée et rameneé en garde a vue ...
On aura dabs 5 mn un communiqué SJT ????
Un journaliste peut faire desordre mais l agent de l ordre ne doit pas " remettre l ordre à son endroit"
Que voulez on peut vous mettre "dans le desordre" ...........