
Le syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT) a indiqué ce samedi 6 juin 2015, sur sa page officielle, que plusieurs journalistes ont été agressés par des agents des forces de l’ordre au moment où ils assuraient la couverture de la manifestation « Où est le pétrole ? ».
Le SNJT déclare avoir contacté le ministère de l’Intérieur pour protester contre ces agressions, lui demandant d’ouvrir une enquête et de punir les agresseurs. Le communiqué indique que le journaliste Seïf Trabelsi (Shems Fm), le cadreur Houssem Bouheli (Mosaïque Fm), le photographe Yassine Gaïdi (Anadolu Presse), le journaliste Khalil Klaï (Al Moutawassit) et la journaliste Latifa Anouar (Radio 6) ont été agressés. Sans compter la journaliste Soumaya Aouled Gharbia à qui on a confisqué son appareil photo et effacé les images qui étaient dessus.

Le journalisme n'a jamais été affaire d'écriture ou de rédaction. Tout instituteur de l'enseignement primaire pourrait mieux écrire que beaucoup de nos journalistes. Le journalisme est un métier lié et noué à beaucoup d'honnêteté et de neutralité, exactement comme le métier des magistrats. Il n'est nullement du droit d'un journaliste de devenir partial, ni un hautparleur, un outil ou une marionnette de qui que ce soit. Une fois qu'il le devienne, il n'est plus ni journaliste, ni qu'il appartienne au métier du journalisme. Il n'est plus qu'un écrivain public qui écrit au profit de ceux qui le paient.
Donc, il est plus que nécessaire de faire passer ces écrivains par des stages de journalisme, vitaux pour leur propre existence et pour leur propre survie, sinon ils vont tuer leur propre métier et devenir des coursiers chez les hommes d'affaires, exactement comme beaucoup de journalistes qui baratinent dans le vide, prenant le peuple tunisien pour des cons et pensant s'en sortir sans goûter à sa colère.
Ou était votre orgueil et celui de votre patron à qui je tiens à rappeler, s'il a la mémoire courte, qu'il avait exigé que Moncef Marzouki présente des excuses aux journalistes tunisiens suite à son discours dans lequel il les a traité de « menteurs » et « corrompus », des excuses qu'ils n'ont pas reçu alors que Marzouki était encore Président alors ce n'est pas Aujourd'hui qu'ils vont les recevoir. Est-ce maintenat seulement que Chaaret Seidna Ali Tharket Fih M Boughouri ?
Arrêtez de faire de la surenchère avec ce faux problème, les journalistes ne vous ont pas élu pour, uniquement, prendre leur défense en cas d'agressions puisque tous les journalistes du monde entier sont agressés et même tués, ce sont les risques du métier qu'ils ont choisi, luttez pluôt pour améliorr leur salaire et évitez leur d'être limogés à tord et à travers et n'oubliez surtout pas le côté social, en touvant des solutions à ces problèmes là, peut être que vous seriez digne de garder le poste dans lequel ils vous mis.
2)pleurer
De mon coté je suis entrain de me regaler avec "des gens" qui se disent "footballeurs" ...au moins ceux là savent faire "leur metier" ..
Et quand la police "tape" sur un citoyen" (à douz par exemple) ..ils "ecrivent tous" ..ou est l etat ..l etat doit etre impitoyable !!