
A l’occasion du démarrage des examens de la session principale du baccalauréat pour l’année 2015, le chef du gouvernement Habib Essid s’est rendu, ce mercredi matin 3 juin 2015, en compagnie du ministre de l’Education Néji Jalloul et du gouverneur de Tunis Hamed Abidi, au lycée Sadiki, pour s’enquérir du bon déroulement des épreuves.
M. Essid a indiqué, dans une déclaration à la presse, que cette visite lui a rappelé ses propres épreuves du bac de 1967, notant que les élèves sont en train de vivre ce qu’il avait vécu en ce temps.
Le chef du gouvernement a estimé que le jour du bac est important et que ces épreuves représentent une étape cruciale dans la vie du Tunisien en général, car dans notre pays on donne une grande importance à cet examen qui représente période de transition décisive dans la vie des élèves. Il a souhaité bonne chance aux candidats en espérant que les épreuves continuent à se passer dans de bonnes conditions, affirmant que la réussite dans l’organisation des examens du bac représente une réussite pour toute la société tunisienne.
I.N
Ce voile a envahit toute la Tunisie ... et en plus le mauvais goût se conjugue avec médiocrité .... Je ne reconnais plus la Tunisie ' le SEFSERI était 100000 fois mieux que ce foulard venu d'ailleurs ' on adopte les US ET COUTUME des enturbannés et on enterre nos traditions '. Je ne respecte pas les voilées à cause de cela ' elles ont troqués nos traditions pour une autre venu du moyen orient et qui nous ressemble pas '.. et comme on dit change de démarche '. Bédil mechyé b'méchyé '. Techtek7om '.HC
Ecoutez R.N., grande avocate des droits de l'homme qui cumule des prix Européens dont les sponsors sont des associations ayant des tentacules avec le Mossad. Pour cette femme a l'apparence en général ébouriffée et pas très nette, les islamistes qui vitriolaient nos militants destouriens octogénaires et dont les descendants aujourd'hui brulent vivants des Chrétiens en Syrie, sont innocents et Ben Ali n'est qu'un Ceausescu.
Ecoutez N.C.H. parler de façon générale ou quand du haut de ses trois pommes elle agite ses bijoux et sa mise en plis en demandant à George W. Bush de bombarder la Tunisie et de libérer le peuple Tunisien de Ben Ali le dictateur dans une version Tunisienne de l'invasion de l'Irak par George W. Bush.
Mais il n'y a pas que les illustres personnalités citées ci-dessus qu'il faut consulter pour se rendre compte qu'une des forces majeures de la révolution, phénomène de l'anti-Nation Tunisienne et de l'anti-monde Arabe tout court, est la femme Tunisienne.
Ecoutez une femme Tunisienne parler dans la rue, dans le métro, ou à la télévision lors d'une de ces émissions dégoutantes ou des gueux et des gueuses, viennent laver leur hijab sale en public, dévoilant parfois des détails intimes a vous donner cette nausée que mon Johny Walker ne m'a jamais donné.
Et je ne désire pas et cela afin de ne pas perturber mes hémorroïdes qui sont en pleine rémission, m'attarder sur cette perle rare qui en louchant derrière des lunettes évoquant le masque de plongée du Commandant Cousteau, a déclaré à la télévision qu'elle était « zinzin » comme tous les révolutionnaires.
Mise à part quelques nobles et farouches survivantes qui vivent en exil ou sous la menace comme Saida Agrebi et Abir Moussi, la femme Tunisienne a été un moteur puissant de changement dans la Tunisie de la révolution Bouaazizienne, terme que ce matin je me permets d'emprunter au Professeur Haddad.
Il faut hélas se rendre à l'évidence. Les Tunisiens sont un peuple de ratés et leurs femmes en sont des spécimens très représentatifs.
Une proportion fracassante de militants des droits de l'homme Tunisiens sont des femmes.
La majorité des prix des droits de l'homme décernés aux Tunisiens sont décernés à des femmes.
Les seules femmes aux mondes ayant déclaré dans une assemblée de gueux et tout en agitant leurs têtes en hijab, que « la femme est complémentaire de l'homme » sont Tunisiennes.
La seule femme au monde qui a déclaré d'une voix rauque et après avoir quitté sa banlieue insalubre de Lyon pour L'ANC, qu'il fallait « cohabiter » avec les islamistes est Tunisienne.
Sans compter cette gueuse en hijab qui a la télévision a déclaré que son rêve était de vivre dans une société Tunisienne régie par la Chaaria et où elle se sentirait «libre».
Mais ces mêmes femmes se permettent de citer Bourguiba à tout bout de champ en faisant de ce grand homme leur référence et leur sauveur.
Une association dont les activités varient entre projets d'irrigation pour villages Africains peuplés de gueux cannibales, et changements de régimes par des coups d'état appelés encore « CIA covert operations » et qui incluent achat d'armées et de leurs officiers traitres clefs en main, et assassinats déguisés en crise cardiaques et en chutes mortelles du vingtième étage après avoir glissé sur une peau de banane.
La gueuse en question dont le regard est plutôt idiot et qui rode souvent à l'ANC avant de faire des rapports détaillés à Washington, est fière de Madame sa Mère qui jadis dans une bourgade du Sud Tunisien se rendait à dos d'âne à l'école et qui plus tard obtiendra un diplôme d'études supérieures.
Les déclarations de ces femmes aussi stupides que fourbes peuvent être résumées aux simples faits suivants :
Bourguiba nous a libéré mais nous trahissons cette Nation qu'il a bâti avec ses militants Nationalistes en poussant la Tunisie a la recolonisation, le cauchemar du Combattant Suprême avant sa mort.
Quand a Ben Ali qui a sacrifié toute une vie en combattant les islamistes afin que ce statut de femme libérée Bourguibienne soit préservé, il s'agissait d'un dictateur sanguinaire et nous l'avons chassé afin qu'il soit remplacé par des agents de la CIA et des islamistes Tunisiens travaillant pour l'émir du Qatar, sponsor officiel de la prochaine coupe du monde et de DAECH.
Hélas la Tunisie a bien changé depuis l'époque ou Radhia Haddad assistait à des réunions secrètes ou l'on discutait la lutte contre l'occupant Français et contre le safsari.
Les Tunisiennes comme l'homme Tunisien, ont opté pour la vente de leur pays en échange d'avantages matériels et de faux prestige.
Et ce matin en sirotant mon café dont la mousse disparait peu à peu entre des bulles de couleur crème, je pense rêveur et nostalgique a ces femmes libérées que jadis je rencontrais dans ce Tunis des années 1960.
Ou sont ces vraies Tunisiennes ?
Ou sont ces femmes brunes et voluptueuses qui dans la rue marchaient d'un air plus libre que celui des Parisiennes en faisant osciller des hanches aussi majestueusement que le pendule de Big Ben ?
Ou sont ces femmes qui en plein été et vêtues de robes en « jersey » moulantes dévoilaient au flic stagiaire que j'étais un monde fascinant à explorer au même moment ou Neil Armstrong explorait la Lune?
Qu'est-il advenu de ces femmes qui a la brasserie Schilling débarquaient de taxis minuscules et rouges en exhibant leurs dessous et leurs charmes sans aucun complexe ?
Ou sont ces brunes a la peau brûlante qui dans ma garçonnière de Lafayette m'enseignaient une débauche que je ne connus même pas à Paris, pour ensuite allumer une cigarette d'un air indifférent et insouciant ?
Militante fière pour l'indépendance, ou femme brune dévergondée, telle était la vraie femme de Bourguiba.
Quant aux femmes Tunisiennes d'aujourd'hui je leur dis :
Cacher moi ce hijab et cette bassesse coloniale que je ne saurais voir !
F.M. Alias JOHN WAYNE
Ancien Elève au Collège Sadiki.
Diplômé d'Histoire et de Sciences Politiques de l'Université Paris-Sorbonne.
Ancien Fonctionnaire aux Ministères des Affaires Etrangères et de l'Intérieur Tunisiens des gouvernements d'Habib Bourguiba et de Zine El Abidine Ben Ali.
Diplomate de carrière et spécialiste de la sécurité et du renseignement.

