L’agence bancaire ATB à Hammam-Lif a vécu, hier, lundi 12 janvier 2015, un braquage vers 13h45, par un homme armé d’un révolver et à visage découvert.
Des sources à l’ATB nous ont confirmé, dans un communiqué reçu aujourd'hui, que le malfaiteur a été filmé par les caméras de surveillance et que tout a été enregistré depuis son entrée dans l’agence.
En effet, l’agresseur a braqué la caissière et sa collègue, profitant, ainsi, du désarroi des deux femmes pour les obliger à lui remettre un butin d’environ 7 mille dinars en espèces.
D’autre part, et malgré le déclenchement du système d’alarme par l’une des employées, l’homme armé a réussi à prendre la fuite et à disparaître dans les rues de la ville. Mais la police poursuit ses recherches pour le retrouver.
Notons que les deux employées se portent bien et ont été prises en charge par un psychologue.
* Photo d'illustration
Tunisie - L'ATB s'exprime sur le braquage de son agence à Hammam-Lif
L’agence bancaire ATB à Hammam-Lif a vécu, hier, lundi 12 janvier 2015, un braquage vers 13h45, par un homme armé d’un révolver et à visage découvert.
Des sources à l’ATB nous ont confirmé, dans un communiqué reçu aujourd'hui, que le malfaiteur a été filmé par les caméras de surveillance et que tout a été enregistré depuis son entrée dans l’agence.
En effet, l’agresseur a braqué la caissière et sa collègue, profitant, ainsi, du désarroi des deux femmes pour les obliger à lui remettre un butin d’environ 7 mille dinars en espèces.
D’autre part, et malgré le déclenchement du système d’alarme par l’une des employées, l’homme armé a réussi à prendre la fuite et à disparaître dans les rues de la ville. Mais la police poursuit ses recherches pour le retrouver.
Notons que les deux employées se portent bien et ont été prises en charge par un psychologue.
Combien de fois en entrant dans l'une des agences BH ou STB, , banques connues pour être parmi les pires en Tunisie, je dois attendre longtemps avant qu'une employée ne daigne s'occuper de nous au comptoir. Ces dames, sont au téléphone, et il ne faut pas les déranger, l'une d'elles une fois, a été surprise, entendue à ses dépens car parlant fort sans s'en rendre compte au GSM, qu'elle avait des difficultés avec son fiancé, une autre, dans une agence d'une BH siege, avait des roblemes d'argent et devait absolument en emprunter à une copine, c'était urgent. Une queue de 6 personnes en attente s'est formée et personne dans cette banque ne s'en est ému.
Nous aussi en Tunisie, on a besoin de psy.
un jihadiste qui avait besoin d'argent pour acheter une kalachnikov!!!!!!
Les trois jihadistes français tués récemment se finançaient avec des crédits à la consommation.
Est-ce que Allah remboursera, pas sûr!!!!!!
@pseudo
Mais nous sommes absolument du même avis. C'est exactement ce que je voulais dire. Ils abusent du droit de la femme, pour écarter le droit de l'homme.
Comme il ya toujours un homme derrière chaque femme, cette dernière accepte d'être rémunérée jusqu'à la moitié de son homologue masculin, sous le prétexte de ses maladies de routine, comme la menstruation, comme la grossesse et l'accouchement, comme l'allaitement et même comme ses obligations conjugales et au foyer.
On ne demande pas à la femme combien elle paie de loyer, d'électricité, de gaz, d'eau courante ou combien elle dépense sur les enfants, dans l'idée que cela demeure affaire du mari, du frère ou du père de la femme. Cette ruse a fait que la femme devient plus demandée et plus avantagée, que l'homme. Elle ne concurrence son homologue et son «égal» l'homme, que par son salaire bas, que l'homme ne pourra en aucun cas accepter, parce qu'il lui détruit sa vie plus qu'il ne la construit.
La femme est donc devenue genre de roue de secours ou de «second-hand» ou un profit personnel pour les employeurs. Lorsqu'on entre dans une école primaire, il est presque impossible de trouver un instituteur, hormis dans les zones rurales. Tous sont des femmes. Le même cas se généralise même dans les lycées et dans les universités. N'en parlons pas des usines de confection ou de travaux manuels. Un genre d'esclavage moderne trouve lieu au nom de la liberté de la femme. La femme est exploitée à fond, par un salaire qui ne peut en aucun cas être accepté par l'homme. Où sont donc l'égalité des chances et l'égalité de la femme avec l'homme?
Pourquoi ils ne paient pas la femme à égalité avec l'homme et pourquoi la femme leur accepte toute cette injustice et tout ce profit abusif contre elle, qui écartent l'homme de la concurrence avec la femme et qui n'aident ni la femme elle-même, ni l'homme, ni même le marché de l'emploi, qui demeure la bête noire de toute la société tunisienne?
Quelle liberté de la femme nous ont-ils ancré en Tunisie, du moment qu'ils n'aient ancré qu'un moyen pour leur propre profit personnel et rien d'autre?
Je n'ai jamais été contre les femmes, parce que je les aime beaucoup. J'ai cinq femmes à la maison, quatre filles et leur maman.
@ABEL CHATER
Cette agence visiblement n 'etait pas assezil faut géneraliser le systeme de distributeurs e protégée et gardez le mons de liquidités
L 'antienne classique ;les femmes voleraient le boulot des hommes est éculée
Les femmes rurales aimeraient bien que les travaux des champs les plus pénibles ne leur soient réservées
Tout le monde a besoin d 'un salaire pour survivre ou vivre et s 'épanouir demandez aux filles de Ghannouchi
Lesfemmes occupent souvent les emplois les moins rémunérés;combien de Ministres femmes ou de PDG?
La majorité travaillaient dans la confection quand les investisseurs n 'ont pas mis la clé sous la porte pour insécurité
arretez de divisez
maintenant c 'est hommes contre femmes
Pour la cueitt des olives on ne trouve pas de bras
et les femmes savent que leur survie sont les études;elles s 'y accrochent