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Ahmed Néjib Chebbi : l'UPT est une machine en panne !
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Le président du bureau politique du parti Al Joumhouri, Ahmed Néjib Chebbi, revient dans un post sur sa page Facebook, sur la sortie de son parti de l’Union pour la Tunisie (UPT, il y a six mois.
Aujourd’hui, samedi 7 juin 2014, Ahmed Néjib Chebbi qualifie de « malencontreuse » l’expérience d’Al Joumhouri au sein de l’UPT et en tire la conclusion suivante : « l'UPT n'est ni un front électoral ni une alliance politique ». Une conclusion qui, selon ses dires, a valu à son parti d’être « diabolisé et puni par ses pairs au sein du Front National du Salut ».
Et de poursuivre « Aujourd'hui des dirigeants d'une autre composante font le même constat : l'UPT est une machine en panne, elle n'existe même plus, elle n'a jamais été un front électoral ni une alliance politique.
Pour la vérité et l'histoire, il faudrait reconnaitre que dès le départ, Nidaa a été contraint à une alliance électorale qui n'était pas dans ses plans. Il voulait rééquilibrer le paysage politique, c'est aujourd'hui chose faite! Il l'a fait cependant à son profit et a creusé par là l'écart avec ses alliés de fortune. Ils deviennent boulet électoral et nombreux sont ceux qui appellent en son sein à s'en défaire.
La crise au sein de l'UPT n'est pas sans rapport avec la crise qui sévit au sein de Nidaa. Aussi est-il temps de reconnaitre que cette alliance était une faute inspirée par la défaite électorale de 2011 et le sentiment de faiblesse qui en est résulté. C'est le moment de compter sur ses propres forces pour rééquilibrer le paysage au sein du camp moderniste et offrir au pays une alternative du centre démocrate et social ».
Aujourd’hui, samedi 7 juin 2014, Ahmed Néjib Chebbi qualifie de « malencontreuse » l’expérience d’Al Joumhouri au sein de l’UPT et en tire la conclusion suivante : « l'UPT n'est ni un front électoral ni une alliance politique ». Une conclusion qui, selon ses dires, a valu à son parti d’être « diabolisé et puni par ses pairs au sein du Front National du Salut ».
Et de poursuivre « Aujourd'hui des dirigeants d'une autre composante font le même constat : l'UPT est une machine en panne, elle n'existe même plus, elle n'a jamais été un front électoral ni une alliance politique.
Pour la vérité et l'histoire, il faudrait reconnaitre que dès le départ, Nidaa a été contraint à une alliance électorale qui n'était pas dans ses plans. Il voulait rééquilibrer le paysage politique, c'est aujourd'hui chose faite! Il l'a fait cependant à son profit et a creusé par là l'écart avec ses alliés de fortune. Ils deviennent boulet électoral et nombreux sont ceux qui appellent en son sein à s'en défaire.
La crise au sein de l'UPT n'est pas sans rapport avec la crise qui sévit au sein de Nidaa. Aussi est-il temps de reconnaitre que cette alliance était une faute inspirée par la défaite électorale de 2011 et le sentiment de faiblesse qui en est résulté. C'est le moment de compter sur ses propres forces pour rééquilibrer le paysage au sein du camp moderniste et offrir au pays une alternative du centre démocrate et social ».
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