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Tunisie - Al Joumhouri dénonce l'arrestation d'Aziz Amami et appelle à sa libération

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Le parti Al Joumhouri vient de réagir, dans un communiqué publié ce mardi 13 mai 2014, à l’arrestation de l’activiste Aziz Amami, hier tard dans la soirée. Il a condamné, fermement, cette arrestation et l'agression qu'aurait subi l'activiste, en manifestant son soutien à M. Amami et en faisant porter la responsabilité de sa sécurité au ministère de l’Intérieur. Al Joumhouri annonce, aussi, son intention d’avoir recours à toutes les formes de pressions pour libérer le jeune homme. Il appelle, d’ailleurs, dans ce contexte à un sit-in de soutien Aziz Amami, ce mercredi 14 mai 2014 devant le théâtre municipal à 13 heures.
Pour le parti, ces faits rappellent ceux qui ont eu lieu la veille de la révolution. M. Amami avait été arrêté le 6 janvier 2011, par la police de Ben Ali pour avoir incité à prendre part à la révolution. Il n’a été relâché que le 13 janvier. Al Joumhouri estime que l’affaire a été montée de toute pièce et que son arrestation est due à la campagne "Moi aussi j’ai incendié un poste de police !" qu’il vient de lancer et qui vise à faire la lumière sur les arrestations et les procès de jeunes ayant participé à la révolution et accusés d’avoir incendié des postes de police. Cette arrestation est la énième d’une série visant des activistes et des artistes, en ayant recours à de fausses accusations pour user de la force de la loi pour les obliger à se taire, avance le parti Al Jomhouri.
Pour le parti, ces faits rappellent ceux qui ont eu lieu la veille de la révolution. M. Amami avait été arrêté le 6 janvier 2011, par la police de Ben Ali pour avoir incité à prendre part à la révolution. Il n’a été relâché que le 13 janvier. Al Joumhouri estime que l’affaire a été montée de toute pièce et que son arrestation est due à la campagne "Moi aussi j’ai incendié un poste de police !" qu’il vient de lancer et qui vise à faire la lumière sur les arrestations et les procès de jeunes ayant participé à la révolution et accusés d’avoir incendié des postes de police. Cette arrestation est la énième d’une série visant des activistes et des artistes, en ayant recours à de fausses accusations pour user de la force de la loi pour les obliger à se taire, avance le parti Al Jomhouri.
I.N
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