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ANC : Divergences entre Ennahdha et Ettakatol, d'un côté, et Al Joumhouri et Wafa, de l'autre

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Dans leurs interventions après la communication d’Amel Karboul, un certain nombre de députés ont pris la parole, en cet après-midi du vendredi 9 mai 2014, et adopté des positions divergentes vis-à-vis des deux ministres auditionnés aujourd'hui à l'ANC.
Ameur Laârayedh, parlant au nom du bloc d’Ennahdha, a réaffirmé que la cause palestinienne reste une question centrale pour la Tunisie tout en estimant qu’il n’y a pas eu d’infractions aux procédures d’usage et que son parti était contre la motion de censure présentée.
Quant à Issam Chebbi d’Al Joumhouri, il a dit que tout le monde reconnaît l’importance du tourisme en Tunisie, mais cela n’explique pas les manquements commis au respect de la souveraineté nationale. « Nous réclamons de M. Sfar des excuses pour les erreurs commises dans cette affaire de visite de quelques dizaines d’Israéliens, autrement, Al Joumhouri votera en faveur de la motion de censure », a-t-il menacé.
Pour Mouldi Riahi d’Ettakatol, l’ANC a donné sa confiance au gouvernement de M. Jomâa pour mener le pays à bon port avant d’ajouter : «nous avons, tous, commis des erreurs. On peut les reconnaître et ne pas continuer avec les mêmes procédures », a-t-il précisé tout en annonçant que son parti ne votera pas le retrait de confiance aux deux ministres.
Prenant la parole au nom de Wafa, Abderraouf Ayadi est parti dans un discours où il a repris des faits ayant eu lieu sous le régime de Ben Ali. Il a évoqué l’épisode où « il avait été interrogé parce qu’il avait défendu celui qui a rédigé le communiqué dénonçant les crimes commis à Al Khalil », après avoir fait une longue analyse sur les divers types de tourisme : culturel, économique, balnéaire et religieux.
Ameur Laârayedh, parlant au nom du bloc d’Ennahdha, a réaffirmé que la cause palestinienne reste une question centrale pour la Tunisie tout en estimant qu’il n’y a pas eu d’infractions aux procédures d’usage et que son parti était contre la motion de censure présentée.
Quant à Issam Chebbi d’Al Joumhouri, il a dit que tout le monde reconnaît l’importance du tourisme en Tunisie, mais cela n’explique pas les manquements commis au respect de la souveraineté nationale. « Nous réclamons de M. Sfar des excuses pour les erreurs commises dans cette affaire de visite de quelques dizaines d’Israéliens, autrement, Al Joumhouri votera en faveur de la motion de censure », a-t-il menacé.
Pour Mouldi Riahi d’Ettakatol, l’ANC a donné sa confiance au gouvernement de M. Jomâa pour mener le pays à bon port avant d’ajouter : «nous avons, tous, commis des erreurs. On peut les reconnaître et ne pas continuer avec les mêmes procédures », a-t-il précisé tout en annonçant que son parti ne votera pas le retrait de confiance aux deux ministres.
Prenant la parole au nom de Wafa, Abderraouf Ayadi est parti dans un discours où il a repris des faits ayant eu lieu sous le régime de Ben Ali. Il a évoqué l’épisode où « il avait été interrogé parce qu’il avait défendu celui qui a rédigé le communiqué dénonçant les crimes commis à Al Khalil », après avoir fait une longue analyse sur les divers types de tourisme : culturel, économique, balnéaire et religieux.
S.H
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