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Tunisie - Après les Palestiniens, Ennahdha œuvre pour la réconciliation des Libyens, selon Rafik Abdessalem (vidéo)

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Rafik Abdessalem, ancien ministre des Affaires étrangères et membre du conseil de la Choura d’Ennahdha, est revenu, dans une vidéo partagée par Ennahdha, sur la participation de son parti dans les réconciliations entre Palestiniens et entre Libyens.
M. Abdessalem confirme qu’Ennahdha a joué un rôle dans le «rapprochement les points de vue entre les Palestiniens du Fatah et du Hamas».
Il a, également, évoqué le rôle qu’est en train de jouer son mouvement pour la réconciliation des Libyens, en offrant ce qu’il a appelé «une tente ouverte» pour qu’il trouve un terrain de réconciliation pour trouver des solutions conciliantes afin de dépasser la crise actuelle que traverse la Libye.
A cette occasion, Rafik Abdessalem a expliqué qu’en Libye, il n’y a pas de «schisme horizontal», ni de divisions sectaires ou ethniques : les problèmes sont plutôt politiques ou concernent l’Etat et ses institutions. Il a souligné que l’avenir de la Tunisie et de la Libye sont liés à cause du voisinage, des liens culturels et historiques et des intérêts économiques du pays. Ainsi, quand la Tunisie va bien ça se répercute positivement sur la Libye et vice versa.
On notera que l'ambassadeur de la Palestine en Tunisie,Salman Harfi, a rencontré lundi 28 avril 2014, le leader d’Ennahdha, Rached Ghannouchi, pour le remercier des efforts qu’il a déployé pour réconcilier les palestiniens du Fatah et du Hamas.
A lire également :
Mechâal remercie Ghannouchi pour sa médiation entre Fatah et Hamas
Rached Ghannouchi intermédiaire pour réconcilier les palestiniens du Fatah et du Hamas
M. Abdessalem confirme qu’Ennahdha a joué un rôle dans le «rapprochement les points de vue entre les Palestiniens du Fatah et du Hamas».
Il a, également, évoqué le rôle qu’est en train de jouer son mouvement pour la réconciliation des Libyens, en offrant ce qu’il a appelé «une tente ouverte» pour qu’il trouve un terrain de réconciliation pour trouver des solutions conciliantes afin de dépasser la crise actuelle que traverse la Libye.
A cette occasion, Rafik Abdessalem a expliqué qu’en Libye, il n’y a pas de «schisme horizontal», ni de divisions sectaires ou ethniques : les problèmes sont plutôt politiques ou concernent l’Etat et ses institutions. Il a souligné que l’avenir de la Tunisie et de la Libye sont liés à cause du voisinage, des liens culturels et historiques et des intérêts économiques du pays. Ainsi, quand la Tunisie va bien ça se répercute positivement sur la Libye et vice versa.
On notera que l'ambassadeur de la Palestine en Tunisie,Salman Harfi, a rencontré lundi 28 avril 2014, le leader d’Ennahdha, Rached Ghannouchi, pour le remercier des efforts qu’il a déployé pour réconcilier les palestiniens du Fatah et du Hamas.
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Imen Nouira
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