L’ancien secrétaire d’Etat aux Affaires étrangères, Touhemi Abdouli, a déclaré ce matin du 27 juillet lors de deux interviews, que Sidi Bouzid n’est plus sous l’autorité centrale et qu’elle ne reçoit donc plus d’ordre de la part du gouvernement sur place.
Il informe qu’un conseil des sages s’est formé et se charge désormais de la gestion des affaires de la région jusqu’à la chute du gouvernement actuel. Touhami Abdouli invite le gouvernement et la présidence de la République à ne pas sous estimer cette démarche, « qui est une démarche grave, qui pourrait se propager aux autres villes et entrainer la désagrégation de la carte de la Tunisie ».
L’ancien secrétaire d’Etat aux Affaires étrangères affirme son soutien au gouvernorat de Sidi Bouzid et impute la cause de cette réaction à la Troïka au pouvoir et plus particulièrement au mouvement Ennahdha.
Touhemi Abdouli demande aux gouvernants de « se mettre d’accord sur un consensus politique et qu’ils abandonnent leurs sièges de gouvernants », puis ajoute « nous les mettons en garde et exhortons l’autorité sécuritaire et l’institution militaire ne pas user de la violence à l’encontre des enfants de Sidi Bouzid qui sont en train de marquer l’histoire par un grand exploit parce qu’il faut que le gouvernement des frères soit arraché de la Tunisie ».
Touhami Abdouli se dit également optimiste par rapport au fait que le mouvement Ennahdha assumera sa responsabilité et destituera le gouvernement et le président de la république. L’ancien secrétaire d’Etat des affaires étrangères leur propose de nommer Rachid Ammar comme successeur à Moncef Marzouki.
L’ancien secrétaire d’Etat aux Affaires étrangères, Touhemi Abdouli, a déclaré ce matin du 27 juillet lors de deux interviews, que Sidi Bouzid n’est plus sous l’autorité centrale et qu’elle ne reçoit donc plus d’ordre de la part du gouvernement sur place.
Il informe qu’un conseil des sages s’est formé et se charge désormais de la gestion des affaires de la région jusqu’à la chute du gouvernement actuel. Touhami Abdouli invite le gouvernement et la présidence de la République à ne pas sous estimer cette démarche, « qui est une démarche grave, qui pourrait se propager aux autres villes et entrainer la désagrégation de la carte de la Tunisie ».
L’ancien secrétaire d’Etat aux Affaires étrangères affirme son soutien au gouvernorat de Sidi Bouzid et impute la cause de cette réaction à la Troïka au pouvoir et plus particulièrement au mouvement Ennahdha.
Touhemi Abdouli demande aux gouvernants de « se mettre d’accord sur un consensus politique et qu’ils abandonnent leurs sièges de gouvernants », puis ajoute « nous les mettons en garde et exhortons l’autorité sécuritaire et l’institution militaire ne pas user de la violence à l’encontre des enfants de Sidi Bouzid qui sont en train de marquer l’histoire par un grand exploit parce qu’il faut que le gouvernement des frères soit arraché de la Tunisie ».
Touhami Abdouli se dit également optimiste par rapport au fait que le mouvement Ennahdha assumera sa responsabilité et destituera le gouvernement et le président de la république. L’ancien secrétaire d’Etat des affaires étrangères leur propose de nommer Rachid Ammar comme successeur à Moncef Marzouki.