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Rached Ghannouchi désigne des coupables et rassure ses hommes (vidéo)

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Rached Ghannouchi, leader d'Ennahdha s'est déplacé tard dans la soirée du 25 et 26 juillet 2013, au siège d'Ennahdha à Montplaisir et a donné une allocution face aux jeunes d'Ennahdha qui se sont rassemblés en vue de protéger les locaux de leur parti.
M. Ghannouchi a commencé par rendre hommage au martyr Mohamed Brahmi et a récité la Fatiha en son honneur. Ensuite, il a rendu hommage aux forces de l'ordre et à l'armée pour leurs efforts dans la protection de leurs locaux, répétant en chœur avec les présents le slogan: "Armée, forces de l'ordre et peuple, une seule main!".
Rached Ghannouchi a par la suite tenu un discours religieux, vantant la foi et la valeur de l'Islam et promettant l'aide de Dieu aux volontaires qui se chargent de protéger les locaux, les qualifiant, de "gardiens de la révolution". Il a dans ce contexte fait un amalgame délibéré, en considérant le fait de protéger Ennahdha et ses locaux, comme étant une protection pour la révolution.
M. Ghannouchi a par ailleurs déclaré: "Des complots se sont succédés perpétrés par les ennemis de la révolution, mais on ne les laissera pas faire, pas question de revenir en arrière". Ensuite, il a posé la question suivante: "'Est-ce une coïncidence, que cet assassinat survienne au moment même où la loi d'immunisation de la révolution est présenté à l'ANC?". Il a répondu: "Ce sont les parties qui craignent cette loi, qui ont tué Brahmi. Il y a un gouvernement de l'ombre, des méchants qui tirent vers l'arrière, qui ne font pas confiance au peuple". Et d'ajouter: "Ces sont les résidus, les sbires de Ben Ali, avec les modernistes, qui forment l'armée contre-révolutionnaire".
Le leader d'Ennahdha a par la suite repris l'exemple égyptien pour affirmer que "Les tyrans ont tenté de voler la révolution, mais ses gardiens l'en ont empêché. Les gardiens les ont attrapés en flagrant délit! Nous aussi, nous empêcherons la contre- révolution!".
Pour conclure, Rached Ghannouchi est revenu vers le discours religieux en rappelant: "Dieu a promis la victoire à ceux qui s'accrochent à la religion, alors, n'ayez crainte, le peuple, ce grand peuple, ne nous lâchera pas, et nous ne laisserons pas la contre- révolution éteindre la dernière bougie du printemps arabe!".
M. Ghannouchi a commencé par rendre hommage au martyr Mohamed Brahmi et a récité la Fatiha en son honneur. Ensuite, il a rendu hommage aux forces de l'ordre et à l'armée pour leurs efforts dans la protection de leurs locaux, répétant en chœur avec les présents le slogan: "Armée, forces de l'ordre et peuple, une seule main!".
Rached Ghannouchi a par la suite tenu un discours religieux, vantant la foi et la valeur de l'Islam et promettant l'aide de Dieu aux volontaires qui se chargent de protéger les locaux, les qualifiant, de "gardiens de la révolution". Il a dans ce contexte fait un amalgame délibéré, en considérant le fait de protéger Ennahdha et ses locaux, comme étant une protection pour la révolution.
M. Ghannouchi a par ailleurs déclaré: "Des complots se sont succédés perpétrés par les ennemis de la révolution, mais on ne les laissera pas faire, pas question de revenir en arrière". Ensuite, il a posé la question suivante: "'Est-ce une coïncidence, que cet assassinat survienne au moment même où la loi d'immunisation de la révolution est présenté à l'ANC?". Il a répondu: "Ce sont les parties qui craignent cette loi, qui ont tué Brahmi. Il y a un gouvernement de l'ombre, des méchants qui tirent vers l'arrière, qui ne font pas confiance au peuple". Et d'ajouter: "Ces sont les résidus, les sbires de Ben Ali, avec les modernistes, qui forment l'armée contre-révolutionnaire".
Le leader d'Ennahdha a par la suite repris l'exemple égyptien pour affirmer que "Les tyrans ont tenté de voler la révolution, mais ses gardiens l'en ont empêché. Les gardiens les ont attrapés en flagrant délit! Nous aussi, nous empêcherons la contre- révolution!".
Pour conclure, Rached Ghannouchi est revenu vers le discours religieux en rappelant: "Dieu a promis la victoire à ceux qui s'accrochent à la religion, alors, n'ayez crainte, le peuple, ce grand peuple, ne nous lâchera pas, et nous ne laisserons pas la contre- révolution éteindre la dernière bougie du printemps arabe!".
D.M
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