Le chef du gouvernement Ali Laârayedh en visite, ce matin 25 juin 2013, à Bruxelles sur invitation de l'Union européenne, a été accueilli par les Femen Belgique devant la Commission européenne.
Ainsi, quelques-unes des militantes féministes aux seins nus ont surgi devant sa voiture, à son arrivée devant le siège des Institutions européennes vers 9h30, a rapporté le journal belge Le Soir. Les Femen réclamaient la libération de leurs militantes condamnées à quatre mois de prison ferme par le Tribunal de première instance de Tunis.
«J’espère que cette affaire se clôturera au plus tôt», a déclaré Ali Laârayedh dans une interview accordée à Le Soir peu auparavant, ce mardi matin dans les locaux de l'ambassade tunisienne avenue de Tervuren à Woluwe-Saint-Lambert, ajoutant «si la justice tunisienne ne les relaxe pas, nous devrions les libérer. Le président de la République dispose du droit de grâce dans ses compétences. Cela dit, j’estime que ces jeunes femmes ont agi de manière offensante pour le sexe féminin, elles n’ont utilisé ni le moyen ni le goût corrects. Mais, elles n’ont pas été maltraitées et elles ont droit à un jugement en bonne et due forme».
Bruxelles- Laârayedh : «Si la justice tunisienne ne relaxe pas les Femen, nous devrions les libérer par grâce présidentielle»
Le chef du gouvernement Ali Laârayedh en visite, ce matin 25 juin 2013, à Bruxelles sur invitation de l'Union européenne, a été accueilli par les Femen Belgique devant la Commission européenne.
Ainsi, quelques-unes des militantes féministes aux seins nus ont surgi devant sa voiture, à son arrivée devant le siège des Institutions européennes vers 9h30, a rapporté le journal belge Le Soir. Les Femen réclamaient la libération de leurs militantes condamnées à quatre mois de prison ferme par le Tribunal de première instance de Tunis.
«J’espère que cette affaire se clôturera au plus tôt», a déclaré Ali Laârayedh dans une interview accordée à Le Soir peu auparavant, ce mardi matin dans les locaux de l'ambassade tunisienne avenue de Tervuren à Woluwe-Saint-Lambert, ajoutant «si la justice tunisienne ne les relaxe pas, nous devrions les libérer. Le président de la République dispose du droit de grâce dans ses compétences. Cela dit, j’estime que ces jeunes femmes ont agi de manière offensante pour le sexe féminin, elles n’ont utilisé ni le moyen ni le goût corrects. Mais, elles n’ont pas été maltraitées et elles ont droit à un jugement en bonne et due forme».
