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Desertec âEUR" Le projet pilote aurait lieu sur le sol marocain
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Vraisemblablement, la décision du gouvernement allemand de renoncer au financement de Desertec n’aurait pas d’effet sur tout un réseau d’opérateurs de grands calibres, déterminés d’aller jusqu’au bout du souffle dans ce projet. L’enjeu étant de taille, quatre nouveaux investisseurs ont rejoint le projet géant de centrales solaires en Afrique et au Moyen-Orient, dont l'italien Enel, un vieux de la vielle dans le secteur, le français Saint-Gobain mais aussi l'espagnol Red Electrica de España et le marocain Nareva Holding, a annoncé lundi la société allemande DII qui chapeaute le projet.
Avec l'entrée de ces quatre nouveaux investisseurs "nous franchissons un pas important dans l'internationalisation réelle de notre initiative industrielle", a déclaré le patron de DII, Paul van Son. Il a ajouté que "des pourparlers" étaient aussi en cours avec "une société tunisienne", rapporte le quotidien français "l’Express". La semaine dernière, la compagnie américaine First Solar, premier fabricant mondial de cellules photovoltaïques en 2009, avait annoncé sa participation pour une période initiale de trois ans. Desertec compte désormais 17 partenaires, soit 16 entreprises et la fondation Desertec. Le projet rassemblait jusque-là 12 sociétés dont l'espagnol Abengoa et l'algérien Cevital. Mais la plupart sont allemandes, comme les géants de l'énergie EON et RWE, le conglomérat Siemens, la Deutsche Bank ou encore le réassureur Munich Re.
Le projet vise à créer d'ici 40 ans et pour environ 400 milliards d'euros un vaste réseau d'installations éoliennes et solaires en Afrique du Nord et au Moyen-Orient, censées fournir à terme jusqu'à 15% de la consommation d'électricité de l'Europe.
Selon des sources proches du consortium, Paul van Son, le patron de la société DII qui mène le projet, avait indiqué mi-février en Allemagne que les pourparlers avec le gouvernement marocain avaient abouti et que le projet pilote aurait lieu sur le sol marocain.
Avec l'entrée de ces quatre nouveaux investisseurs "nous franchissons un pas important dans l'internationalisation réelle de notre initiative industrielle", a déclaré le patron de DII, Paul van Son. Il a ajouté que "des pourparlers" étaient aussi en cours avec "une société tunisienne", rapporte le quotidien français "l’Express". La semaine dernière, la compagnie américaine First Solar, premier fabricant mondial de cellules photovoltaïques en 2009, avait annoncé sa participation pour une période initiale de trois ans. Desertec compte désormais 17 partenaires, soit 16 entreprises et la fondation Desertec. Le projet rassemblait jusque-là 12 sociétés dont l'espagnol Abengoa et l'algérien Cevital. Mais la plupart sont allemandes, comme les géants de l'énergie EON et RWE, le conglomérat Siemens, la Deutsche Bank ou encore le réassureur Munich Re.
Le projet vise à créer d'ici 40 ans et pour environ 400 milliards d'euros un vaste réseau d'installations éoliennes et solaires en Afrique du Nord et au Moyen-Orient, censées fournir à terme jusqu'à 15% de la consommation d'électricité de l'Europe.
Selon des sources proches du consortium, Paul van Son, le patron de la société DII qui mène le projet, avait indiqué mi-février en Allemagne que les pourparlers avec le gouvernement marocain avaient abouti et que le projet pilote aurait lieu sur le sol marocain.
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