
L’ancien député et dirigeant nahdhaoui, Imed Khemiri, a indiqué, dans un statut publié lundi 24 mars 2025, que l’ex-chef du gouvernement tunisien, Ali Larayedh, comparaîtra demain devant la justice dans le cadre du dossier de l’envoi des jeunes vers les foyers de tension.
Imed Khemiri considère qu’il s’agit d’une « affaire politique ». Il ajoute que cette affaire est marquée par l’absence de faits matériels pouvant justifier l’inculpation. Il affirme que lorsque Ali Larayedh a demandé au juge d’instruction quels actes lui étaient reprochés, ce dernier n’aurait pas su répondre. Par ailleurs, les demandes de la défense pour obtenir des éléments de preuve, notamment des données sur les départs de Tunisiens vers les zones de conflit, auraient été refusées par le ministère de l’Intérieur, qui affirme ne pas disposer de ces informations.
L’affaire des réseaux d’embrigadement avait déjà conduit à la mise en détention de plusieurs personnalités politiques, dont l’ancien ministre de l’Intérieur Ali Larayedh, l'ancien responsable de la sécurité à l’aéroport Tunis-Carthage, Abdelkarim Laâbidi, le porte-parole du mouvement Ansar Chariâa, Seifeddine Raïes, ainsi que d’autres prévenus. L’enquête sur cette affaire implique plus de 800 personnes, dont l’ancien président de la République, Moncef Marzouki.
S.H
'?a confirme bien ....
Tfouh alihom ces khwenjias.
Ils ont considéré la Tunisie comme leur bien personnel faisant fi de toute logique.
Ils n'ont pas mis de gens en prison. Ils ont fait supprimer les personnes qui entravaient leur projet islamiste. Quand je pense que Ghannouchi était le Big Boss, Djebali Chef du gouvernement,Laarayedh ministre
de l'intérieur, Bouchlaka ministre des affaires étrangères, le gros ventru ministre de la justice, je me dis que le peuple a pu sortir le pays de ce joug pire que le colonial.

