Donc, ce n'est pas le peuple tunisien qui a échoué sa transition démocratique que tu appelles ton «14 maudit» et ta «décennie noire». Ce sont les Institutions armées de la Tunisie qui se sont avérées encore attardées pour une transition démocratique de long souffle. Les gendarmes et les policiers distribuaient des petites bouteilles de limonade aux voitures, lorsque le président Kaïs Saïed annonçait son fameux article 80, que personne n'a compris le vrai sens et ce sont les Etat-major de notre armée nationale, qui ont fait tomber à l'eau la promesse du Père de la Révolution tunisienne du 14 janvier 2011, le Valeureux Général Rachid Ammar (Allah yèrham Wèlidayh), qui promit la protection durable de la Révolution tunisienne du 14 janvier 2011 par l'armée tunisienne.
Qui l'aurait pensé pour une seule seconde, que cette même armée tunisienne, qui refusa tout un pouvoir légal et certain sur un plateau doré entre ses mains en janvier 2011, pourrait-elle virer vers l'illégalité d'un coup d'Etat du 25 juillet 2021, contre des grades, des galons et des rémunérations sans valeur patriotique!!!
Que ceux qui veulent m'expliquer une autre chose, qu'ils regardent la démocratie française qui tient inébranlablement, durant des années et des années contre la gabegie et les casses de leurs manifestants aux Gilets jaunes, sans qu'il n'y ait un seul iota de risque de coup d'Etat soutenu par leurs Forces armées françaises, comme c'est le cas chez nous contre notre jeune démocratie en Tunisie. Mais aussi, qu'ils regardent du côté des juifs génocidaires de Gaza occupants de la Palestine, comment ils commettent les pires des crimes contre l'humanité entière et comment ils tombent eux-mêmes comme des mouches à Gaza, pour la simple ruse talmudique de persistance flagrante au pouvoir, par leur criminel de guerre premier ministre Nètèn-ahou. Ce même Nètèn-ahou, qui sait qu'avec l'arrêt du massacre des enfants, des femmes et des civils palestiniens, qu'il appelle sa «guerre», ils vont le destituer et le menotter jusqu'à l'emprisonnement certain. Malgré tout, les juifs génocidaires de Gaza pleurent, se cachent sous les draps et se sauvent comme des rats, mais d'aucuns d'entre eux ne pensent à un coup d'Etat contre leur prétendue démocratie. C'est parce qu'ils connaissent les vrais gigantesques avantages de la démocratie et qu'ils sont certains, que sans la continuité de ce théâtre démocratique, toute leur existence en Palestine occupée n'aura plus ni de sens, ni de chance de perdurer.
Chez nous en Tunisie, grâce à des «dobbok-dobbok» de ton espèce, à peine 11 années démocratiques passées contre une tornade de sabotages et d'intrigues talmudiques, contre les moulins à vent d'un «Islam politique» totalement inexistant en Tunisie. Ils ont empoisonné la démocratie en Tunisie, parce qu'ils n'ont pas pu vaincre le parti d'Ennahdha par les urnes démocratiques. Ils ont pensé par leur coup d'Etat, ne faire que chuter le parti d'Ennahdha par les armes à feu, afin d'accéder au pouvoir sans voies démocratiques suivant leur ancienne méthode de «Ben Ali 2014». Mais hélas pour eux tous. Ils se sont tous réveillés écartés de la scène politique tunisienne, jusqu'à l'emprisonnement en compagnie de ceux d'Ennahdha. Sauf que ces derniers sont en prison, avec beaucoup d'honneur et de reconnaissance nationale et internationale.
Allah yostir Tounes wè Allah yèhlik Ass-hab el-charr.