Que lui a-t-on préparée à cette Masochiste-Dominante, pour l'accueillir comme il se doit en réponse à sa haine maladive de descendante d'affamés italiens, qui envahirent la Tunisie au début du vingtième siècle avec plus de 100.000 immigrés italiens, dans notre Tunisie qui ne comptait à l'époque, que huit cent mille (800.000) habitants seulement. C'est-à-dire plus de 12,5 % de la population tunisienne de l'époque. Ce qui équivaut aujourd'hui les 12,5 % de la population italienne de 60 millions. Cela fait sept millions et demi (7,5 millions) d'immigrés tunisiens que l'Italie devrait les accueillir à bras ouverts chez elle. Non pas hurler et coasser comme les grenouilles qu'ils consomment en Italie, pour moins de deux cent mille Tunisiens (200.000) seulement, alors qu'ils accueillent 1,2 million de leurs pires ennemis de toujours, les Roumains. Plus de huit cent mille Italiens, vivent déjà Immigrés en Allemagne.
Aux années 80, les Italiens, les Espagnols, les Portugais et les Grecs, ne faisaient que les travaux de misère, d'éboueurs et de balayeurs en Allemagne. Ce n'est qu'après le traité de Maastricht du 7 février 1992, que les affamés italiens & Co., se transforment en plus royalistes que les Rois allemands, français, suisses et anglais. Ils sont devenus tellement sauvages, qu'ils commettent des crimes contre l'humanité, impossible d'être prescrits. Ils renversent les embarcations des émigrés clandestins, pour les tuer par noyade. Ils enferment les bénévoles allemands et leur séquestrent leurs bateaux, par lesquels ils essaient de sauver les vies humaines massacrées par les Italiens.
Les Italiens sont les plus sauvages et les plus inhumains de l'humanité entière. Les accueillir en Tunisie, c'est accueillir ses propres bourreaux. Il n'est qu'une question de temps, pour que la guerre nucléaire se déclenche autour de la Russie et de l'Ukraine. Les Italiens vont nous revenir avec leurs mêmes larmes de crocodile, qu'ils nous avaient versées au début du vingtième siècle, lors de leur exode d'affamés, vers la Tunisie. Leur ingratitude vis-à-vis des Tunisiens, leur fait oublier même l'asile politique que nous avons réservé à leur ancien premier ministre Bettino Craxi, enterré chez nous à Hammamet.
Des ingrats, rien que des ingrats.