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L’absence de treize jours de Kaïs Saïed a rappelé que la scène politique tunisienne ne présente aucune alternative sérieuse au président de la République. Sous Ben Ali, on disait que c’est lui ou le chaos. La même chanson est répétée aujourd’hui sous Kaïs Saïed.
« Si on n'aide pas la Tunisie, on risquera de favoriser les Frères musulmans ». La phrase est prononcée par le ministre italien des Affaires étrangères et de la Coopération internationale Antonio Tajani, surnommé sarcastiquement ces derniers jours comme étant le ministre le plus actif du gouvernement tunisien. Une phrase identique à celle que répétaient les soutiens de Zine El Abidine Ben Ali avant la révolution. Soit Ben Ali, soit les islamistes.
Douze ans après, on est en train de redire la même chose, soit Kaïs Saïed, soit les islamistes. Peut-être pire, soit Saïed, soit le chaos.
Avec un nombre de personnalités politiques jetées en prison à qui on a collé des affaires montées de toutes pièces et sans preuves, et un autre très bon nombre de personnalités politiques poussées à l’exil, Kaïs Saïed a réussi à créer le vide autour de lui. Sans exception, toutes les personnes susceptibles de lui faire de l’ombre ont été poussées en dehors de la scène d’une manière ou d’une autre.
La liste est longue, les méthodes d’éloignement ne se ressemblent pas, mais l’objectif est le même : les voix discordantes crédibles ne doivent plus avoir de place sur l’échiquier politique.
Mehdi Ben Gharbia, ancien ministre des Droits de l’Homme, croupit en prison depuis octobre 2021. Il doit répondre de la grave accusation de blanchiment d’argent et d’enrichissement illicite. Le juge chargé de son affaire a fini son instruction et a conclu à l’innocence de l’accusé. Peine perdue, le parquet (dépendant du pouvoir) a fait appel et a réussi à le maintenir en prison. Quant au juge, il a été tout simplement limogé.
L’ancien chef du gouvernement Youssef Chahed, constatant qu’un bon nombre de ses anciens ministres et conseillers ont été mis en résidence surveillée et/ou poursuivis en justice pour des motifs fallacieux, a choisi le chemin de l’exil et s’est éloigné de toute activité politique, laissant ainsi mourir son parti « Tahya Tounes ». Il est actuellement aux États-Unis où il enseigne à la très prestigieuse université de Harvard.
Idem pour l’ancien chef du gouvernement Mehdi Jomâa qui a retenu la leçon de son échec cuisant à la présidentielle de 2019. Il a tué son parti « Al Bedil » et a retrouvé son monde des affaires, à Paris, bien avant le putsch du 25 juillet 2021.
Pareil pour l’ancien chef du gouvernement Elyes Fakhfakh qui, bien qu’il soit resté à Tunis, a préféré s’éloigner de la vie politique. On lui a collé des procès et accablé de plusieurs accusations fallacieuses. Il s’en est bien sorti avec une série de non-lieu, mais il a quand même préféré rester à l’écart estimant que le moment n’est pas encore propice pour construire quoi que ce soit.
Outre MM. Jomâa et Chahed, autres personnalités politiques qui auraient pu être au premier plan, mais qui avaient choisi l’exil, Mondher Zenaïdi, ancien grand ministre sous Ben Ali ; Mohsen Marzouk qui a tué son parti « El Machroû » ; Moncef Marzouki, ancien président de la République et un habitué de la fuite quand les problèmes deviennent aigus ou encore Nabil Karoui, président de Qalb Tounes qui subit des procès accablants depuis 2019.
Entre l’exil des uns et l’emprisonnement des autres, les alternatives se sont réduites comme peau de chagrin.
Fortement discrédités à cause de leur mauvaise gestion, leurs fraudes, leurs tricheries et leurs mensonges durant la décennie 2010, les islamistes d’Ennahdha ont choisi de se replier. Tactiquement, car concrètement ils se sont placés derrière le Front de Salut qu’ils ont créé de toutes pièces et ont placé Ahmed Néjib Chebbi, Chaïma Issa et Jawhar Ben Mbarek en vitrine.
Quelques-uns ont essayé, tant bien que mal de résister. Issam Chebbi, Ghazi Chaouachi, Lazhar Akremi, Néji Jalloul, Kamel Akrout, Fadhel Abdelkefi et autres ont tenté d’empêcher la machine despotique de tourner en rond en s’activant politiquement. Si certains manquent de crédit, d’autres ont présenté de vrais projets viables, tel M. Abdelkefi.
Pour les faire taire, Kaïs Saïed a joué la carte judiciaire et ce après avoir mis au pas tout le système judiciaire en limogeant 57 magistrats et en dissolvant le conseil supérieur de la magistrature.
Fadhel Abdelkefi s’est retrouvé du coup accusé de complot contre l’État dès novembre 2022 dans une affaire montée de toutes pièces. Avec lui, plusieurs personnalités politiques qui auraient pu composer un véritable gouvernement, comme Hakim Ben Hamouda, ancien ministre des Finances ou Mustapha Kamel Nabli, ancien gouverneur de la Banque centrale.
MM. I. Chebbi, Chaouachi, Akremi, Ben Mbarek et Melle Issa se sont retrouvés en prison pour le même chef d’accusation dans une autre affaire, elle aussi montée de toutes pièces, dès février 2023.
Ils ne sont pas les seuls à se retrouver derrière les barreaux. Le régime ne s’est pas suffi des acteurs politiques de premier plan, il a également ciblé les lobbyistes notoires comme Kamel Letaïef et Khayam Turki, qui ont de bons liens avec les puissances étrangères et qui se sont retrouvés en prison, sans qu’il n’y ait une seule preuve d’acte répréhensible par la loi dont ils peuvent être accablés. Aussi, Noureddine Boutar, directeur de la plus grande station radio du pays, en prison à cause de la ligne éditoriale de sa radio, et formellement accusé de complot contre l’État et d’enrichissement illicite.
En dépit de la vague d’arrestations de février, et de la polémique suscitée, en Tunisie et à l’étranger, le régime de Kaïs Saïed ne semble pas vouloir s’arrêter aux acteurs de premier plan et aux lobbyistes supposés efficaces. Il vise désormais les personnalités qui ont du crédit auprès de la population et plusieurs noms circulent comme étant impliquées dans cet hypothétique complot. Parmi elles, citons les grands militants Bochra Belhaj Hmida et Kamel Jendoubi. L’objectif de tout cela ? Le vide, le vide et encore le vide.
Qu’est-ce qui reste ? Des acteurs de second plan qui ne pèsent pas vraiment sur l’échiquier politique, si l’on suit les sondages et le peu de place que leur offrent les médias mainstream.
Il y a ainsi Abir Moussi dont le grand et unique mérite est de savoir faire du bruit. Elle ne saurait constituer d’alternative politique tant elle est clivante et tant elle se crée, régulièrement, des ennemis de toutes pièces. Aux sondages, elle ne pèserait que 6%, juste derrière Safi Saïed, un nationaliste arabe sulfureux aussi clivant qu’elle.
Sinon, et là on frise la caricature, il y a également le rappeur K2Rhym, Olfa Hamdi et Lotfi Mraïhi dont les éventuelles candidatures ont autant de crédibilité que Coluche en France en 1981.
Avec une popularité au zénith, Kaïs Saïed joue sur du velours. L’opposition est soit discréditée, soit emprisonnée, soit acculée à l’exil. À chacune de ses sorties ou presque, il l’accable de tous les maux, l’accuse de traitrise, de mensonges et même d’avoir du sang sur les mains.
Il a su créer le vide autour de lui pour être l’unique option à se faire valoir devant l’opinion publique, nationale et internationale, et les chancelleries.
Jeudi 6 avril, il a annoncé qu’il y aura bel et bien une élection présidentielle en 2024. Une élection de laquelle il a déjà écarté tous les candidats capables de lui faire de l’ombre. Si par miracle, un candidat réussit quand même l’exploit de gagner, Kaïs Saïed a déjà la réponse : il ne remettra jamais le pouvoir à quelqu’un qui n’est pas patriote.
Nizar Bahloul

Par la suite il n'y a plus de vide en Tunisie surtout que les traitres cachent la vérité et dissimulent les commanditaires connus par tout le monde et par le peuple tunisien.
Dès lors, vous ne pourriez plus dire du n'importe quoi pour apporter des circonstances atténuantes à nahdha qui ont massacré la Tunisie pendant dix ans. Clair et net !
Alors que les '?tats-Unis luttent contre la récente vague de pays qui se "dédollarisent", c'est-à-dire qui échangent des matières premières dans d'autres devises, c'est la dernière chose dont le président français Emanuel Macron avait besoin pour renforcer ce message.
Après avoir passé environ six heures avec le président chinois Xi Jinping dans le cadre d'une visite d'?tat de trois jours en Chine, Macron a clairement fait savoir que la France n'avait rien à voir avec la troisième guerre mondiale et a souligné que l'Europe devait faire preuve d'"autonomie stratégique", probablement sous la direction de la France, pour devenir une "troisième superpuissance", selon Politico.
Les drame c'est que beaucoup sont conscient de la catastrophe à venir et on y peu rien parce monsieur nadhif a monopolisé la parole politique en Tunisie.
La petite phrase intéressante du dictatour, je ne laisserai le pouvoir qu'à un patriote, en gros ses opposants il va les choisies lui-même, autant dire qu'il ne laissera pas le pouvoir et puis qui il est pour décider pour qui on a le droit de voter ou pas ?
Soit vous êtes pour kais soit vous êtes un traitre, ben voyons.
Le régime dictatorial est pire que la démocratie.
Qu'est-ce que vous nous proposez comme alternative, la votre ?
Vu l'illustration, qu'on pourrait analyser et disséquer le fond des pensées que l'auteur voulait nous faire comprendre par ce tourbillon dans lequel monsieur le Président Kais Saïed s'est plongé .
Est-ce de l'inconscience ou l'absence de raisonnement, ou encore une préméditation à nous faire couler dans l'abîme ?
En mon âme et conscience que Mr Kais Saïed ne peut se permettre de procéder de la sorte.
Mais il est plus que plausible que l'imaginaire de l'auteur dépasse le réel et ce n'est que une obscure machination de l'opinion du lecteur.
Nos références en ce monsieur (Kais Saïed) nous a montré sa loyauté envers le peuple qu'il ne céderait pas la patrie aux hyènes hypocrites, se fourvoiant au Non de l'islam, pour s'enrichir.
D'autres supplétifs s'associent même avec le Diable pour venir à leur désir, par tous les moyens.
Des tocards qui nous ont montré leurs propres visages et la course vers le pouvoir, des assoiffés sans scrupules,l'intérêt personnel qu'ils les appellent à manifester et s'opposer à celui qui leur a coupé l'herbe sous les pieds.
Certes, je propose dans mes commentaires sur Business News TN des projets simples comme l'agriculture urbaine, et de motiver et de responsabiliser le Tunisien à récupérer entre autre l'eau de pluie de son toit en cette longue période de sécheresse par contre il faut comprendre que l'effet cumulatif positif des ces petits projets est énorme.
Je donne l'exemple du problème des grains de blé et de l'échiquier: On place un grain de blé sur la première case d'un échiquier. Si on fait en sorte de doubler à chaque case le nombre de grains de la case précédente (un grain sur la première case, deux sur la deuxième, quatre sur la troisième, etc.), combien de grains de blé obtient-on au total?
- intuitivement, le citoyen simple pourrait nous dire un petit sac.
- Les mathématiques nous disent : 2^0 '2^1 + 2^2 + ... + 2^63 = 18446744&073709551615 grains.
De même, pensez au calcul infinitésimal: on peut déterminer la vitesse d'un vaisseau spatial à un instant t, mais qu'en est-il à la seconde suivante? A la milliseconde suivante? A la nanoseconde suivante? On touche ainsi à la notion d'infiniment petit --> ce sont ces très infiniment petites variations dans le temps qui nous intéresse (dont la somme pourrait être gigantesque)
Encore un exemple: Nous sommes 12 Millions de Tunisiens. Si chaque Tunisien s'engageait à planter tous les 3 ans un Eucalyptus et de s'en occuper durant ces 3 ans, le temps qu'il se stabilise, la Tunisie serait encore plus attractive pour tous les Tunisiens. -
--> oui, on pourrait résoudre les problèmes socio-économique de la Tunisie par des petits projets dans la somme cumulative est énorme (sans parler de l'infini) .
Bonne soirée
Quand j'étais enfant, on avait un dromadaire sur notre plantation. Les dromadaires sont des animaux très fidèles et très sensibles. --> pour les paysans un dromadaire est un membre de la famille.
Bonne soirée
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mais enfin, est-ce-que j'ai cité explicitement ou implicitement Mr.Kais Said dans mon commentaire ci-dessus afin que vous me fassiez de pareils reproches.
Puis par quel droit voudriez vous priver les Tunisiens de la liberté du choix, alors que vous prétendez défendre les valeurs démocratiques?
- oui, Je propose de motiver et responsabiliser par la loi les propriétaires des hôtels de séparer les eaux des toilettes des eaux savonneuses de la/du douche/bain quotidienne/quotidien et de faire le traitement de ces derniers dans un grand bassin prévu pour leur recyclage sur le terrain de l'hôtel même ("on the fly" par ozonateur ou autre méthode). --> l'eau savonneuse devrait être remise en recirculation afin d'être réutilisé en loop (boucle). Je donne un exemple: dans les piscines allemandes on douche pendant des mois/années avec la même eau recyclée "on the fly" par ozonateur dans un grand bassin prévu pour le recyclage des eaux savonneuses sur le terrain de la piscine même--> recirculation de la même eau dans les douches après recyclage. Et pour cela il faut absolument séparer les eaux savonneuses de la/du douche/bain quotidienne/quotidien des eaux fécales des toilettes.
-->
La somme cumulative des petites quantités d'eau indispensables pour la douche de 7 millions de touristes par an est gigantesque: 7 millions de m3 d'eau potable par an et 70 millions de m3 par décennie. --> et si on faisait le recyclage de ces eaux sur place sur le terrain de l'hôtel même, on aurait besoin au maximum de 500000 m3 d'eau pour une période de 10 ans et même plus!
De même si les Tunisiens récupèrent seulement 4 m3 d'eau de pluie par an, ceci ferait approximativement 16 millions de m3 d'eau potable par an.
- Oui, Je propose d'encourager la fabrication de vélos et la construction de pistes cyclables en terre battue. Je m'explique:
a) fabriquer de simples vélos classiques (non sophistiqués): un cadre, deux roues, un guidon, pédales , pédaliers, freins, une selle, et sans changement de vitesse (--> La Tunisie est par excellence le plat pays...)
b) mettre à la disposition des Tunisien des pistes cyclables en terre battue qui ne coûtent absolument rien.
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Le but est de permettre aux Tunisiens de faire des tours à vélo sur des pistes cyclables en terre battue --> Je vais quotidiennement au travail, en Allemagne, à vélo sur pistes cyclables en terre battue le long d'une rivière. ça fait en tout 20Km (aller et retour). Mon vélo est classique (sans changement de vitesse) que j'ai assemblé moi même à partir d'éléments que j'ai récupérés à la ferraille de vélos (j'ai un très grand plaisir à bricoler)
-->
Il est temps de garantir l'autosuffisance aux Tunisiens avec des petits projets dont la valeur cumulative est énorme (en particulier par l'agriculture urbaine sur les toits de nos maisons et institutions). Certes ceci ne ferait pas de notre pays une puissance économique par contre ça nous éviterait d'aller mendier chez les voisins et d'autres pays amis quelques sacs de blé. --> Je sais ce que c'est d'avoir faim, et je n'ai pas eu du yaourt au chocolat quand j'étais petit...
Aujourd'hui est un jour férié en Allemagne, je vais prendre mon vélo et faire un trajet de 100Km (aller et retour) à travers les champs sur pistes en terre battue: oxygénation et promenade à valeur esthétique en plein nature et avec la nature...
Bonne journée
L'humanité a besoin plutôt d'une révolution agrico-architecturale:
Une habitation/maison moderne devrait avoir aussi un abri vitré où l'on cultive ses fruits et ses légumes. Chaque Appartement devrait avoir une terrasse vitré pour une autosuffisance légumière. Ce que je propose est une nouvelle vision architecturale urbanistique et une nouvelle forme de culture agricole. Oui, il est temps d'intégrer à sa maison ou à son appartement un abri vitré où l'on cultive ses légumes et ses fruits même au prix de renoncer à la salle de séjour ou à la salle à manger. Une terrasse abritée de 20 m2 d'agriculture urbaine pourrait produire autant de tomates, de piments, de salades, etc. afin de nourrir une ou même plusieurs familles. --> La Tunisie est aussi victime de son architecture des années 70, mais ceci est un autre sujet.
- de pareilles reproches
- "le libre choix" est non pas "la liberté du choix"
-De même si les Tunisiens récupèrent seulement 4 m3 d'eau de pluie par famille et par an, ceci ferait approximativement 16 millions de m3 d'eau potable par an (à la limite la faire passer par un filtre fabrication maison)
Des petits projets dont la somme cumulative est énorme!
Des exemples:
- Les aveugles en Allemagne produisent d'une façon décentralisée et à domicile des brosses, des pinceaux, des balais, etc.. Tous les vendredis, il y a quelqu'un de la commune qui passe chez les aveugles/handicapés chercher la production afin de la faire vendre d'une façon centralisée.
- J'étais en Thaïlande et j'ai rencontré des familles pauvres qui mènent une vie paisible et arrivent à survivre grâce aux élevages traditionnels des crevettes, souvent sur les rives des petites rivières. C'est l'Etat Thaïlandais qui donne les moyens de productions et collecte aussi la production/récolte des crevettes afin de l'exporter vers l'Europe ou la commercialiser dans le pays.
- Il y a quelques années un homme d'affaires français voulait produire des chaussures à Tazarka. Il a commencé d'abord par donner une formation à ses nouveaux employés (en home-office) . Il les a réunis dans une grande salle à la commune de Tazarka et il leur a montré les techniques de la fabrication des chaussures d'une façon artisanale (j'étais parmi les présents, j'avais 17 ans en ce temps-là). Il nous a fourni la formation nécessaire pour assurer la qualité du travail. Puis, il a introduit une nouveauté dans notre monde rural, un système de salaire différentiel aux pièces. On recevait une somme fixe par pièce produite. Puis, cet homme d'affaires nous payait même plus cher car on respectait les normes qu'il nous a fixées pour la production (encore plus de motivation afin de fournir un travail de qualité). Ce Monsieur, venu de l'étranger, a révolutionné notre monde rural en introduisant la même base de calcul du salaire pour les hommes et pour les femmes pour un travail égal ou d'égale valeur. C'était un bouleversement socio-culturel dans notre petit village où les femmes gagnaient beaucoup moins et travaillaient beaucoup plus sur les champs des autres. Ce Monsieur, venu de loin, a su motiver tout le monde. Je produisais durant mes vacances scolaires des chaussures de très hautes qualités et ceci par dizaines. Je ne me faisais pas de soucis pour la vente de ma production. En effet, Je savais que ce Monsieur, venu de très loin, allait acheter toute ma production.
- Entre les deux guerres mondiales, Les Allemands utilisaient les excréments des chevaux qu'ils cherchaient entre autre dans les avenues de Munich afin de pratiquer l'agriculture urbaine.
- Entre les deux guerres mondiales, Les femmes allemandes cousaient les vêtements à la main (sans machine à coudre), elles élevaient dans des clapiers en bois des lapins de fermes pour le besoin familiale en viande.
- Par contre, voilà ce que nous dit le maire Thomas Nietzsche de la ville allemande Jena: "Nous savions que nous ne pourrions jamais avoir des masques à 110000 personnes du gouvernement. La priorité a été accordée aux cliniques, aux cabinets médicaux, à la physiothérapie et aux établissements de soins infirmiers. C'est pourquoi nous avons lancé une campagne: Chers Jenaers, veuillez coudre vos masques vous-même. Consultez les instructions sur YouTube. Nous obtenons suffisamment de matériel et vous montrons comment nettoyer les masques afin qu'ils puissent être réutilisés encore et encore."
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@Forza, vous voyez ce que je veux dire, notre ex-gouvernement, au mois de mars 2020, disait aux Tunisiens "restez chez-vous, ne bougez même pas le petit doigt, ne faites rien de productif et l'état tunisien va vous fabriquer 32 millions de masques de protection", alors que les maires des villes allemandes font motiver les citoyens de leurs localités à fabriquer leurs propres masques de protection d'une façon artisanale.
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@Forza, qui a fabriqué les 32 millions de masques de protection? oui, c'était une fabrique d'un député (sans entrer dans les détails)
Puis pour comprendre où est passé un grand pourcentage de l'argent de notre endettement, je vous propose de lire attentivement et intelligemment l'un des meilleurs articles de Business News TN sur le lien web:
***
--> un article historique dont il faut garder une copie pour les générations futures.
Bonne journée
PS: je n'ai pas l'intention de prendre la défense de qui que ce soit, je fais plutôt des propositions pour une Tunisie meilleure que l'on pourrait discuter et je prendrais le temps afin de les discuter mais seulement avec ceux qui respectent les valeurs sociales et éthiques.
importation de whisky, bananes, aliments pour chien, inter alia.
D'après une étude récente de l'OMS, la Tunisie occupe la 1ère place parmi les pays arabes en termes de consommation d'alcool, avec en moyenne 12.92 litres par an et par personne.
no comment.
morceau nr°1:
www.businessnews.com.tn/
morceau nr°2:
en-lhonneur-de-frederic-oudea-
morceau nr°3:
kamel-neji-reunit-le-tout-tunis-
morceau nr°4:
a-la-residence-de-france,520,66072,3
@Business News TN: je cite votre article et je transmets son lien web en petits morceaux afin de ne pas abîmer votre mise en page (comme le prétendent certains de vos lecteurs)...
B.N : Nous vous remercions pour votre compréhension :)
Savoir lire entre les lignes, ou interpréter votre initiative d'opposition, vous collaborez avec les ennemis du peuple, par votre action sous couvert de la sacro-sainte liberté d'expression !
On dirait un propagandiste de Mao lors de la "révolution culturelle" qui a fait des millions de morts. Vous n'avez rien appris de votre séjour en France.
Son incompétence et son irresponsabilité, malgré une volonté sincère de soutenir les classes les plus défavorisées, sont en train de nous conduire au chaos
Ce n'est pas Kaes Saed ou le chaos; c'est Kaes Saed ET le chaos.
Ce chaos se matérialise peu a peu : la décision de ne pas recourir au FMI, au delà de sa stupidité intrinsèque, puisque le recours au Club de Paris doit être au préalable validé par le même FMI, AURA ( c'est une certitude maintenant et cela l'immense majorité des citoyens ne peuvent le comprendre) , cette décision débile loufoque et calamiteuse aura donc pour conséquence immédiate - d'içi juin 2024- LE DEFAUT DE PAIEMENT DE L'ETAT
Ce défaut de paiement entrainera une atteinte frontale et massive a ce qui nous reste de souveraineté, a travers le processus incontournable de rééchelonnement de notre dette
La Tunisie, et cela très peu de Tunisiens le savent, fait face depuis plus de trois ans suite a l'accumulation de ses emprunts a l'étranger, a de très fortes à de fortes pressions de la part de ses créditeurs, publics ou privés. Ce gouvernement est en effet confronté depuis plus d'un an a de multiples refus d'accès au crédit sur la scène internationale.
Certains de nos avoirs a l'étranger sont en passe d'être SAISIS
Autre élément l'Etat fait face a à la pression des détenteurs nationaux d'obligations, c'est a dire essentiellement les banques tunisiennes
Donc pour synthétiser l'Etat tunisien n'est plus, depuis mai 2022, en capacité d'honorer le remboursement de sa dette, n'est plus en capacité de financer certaines importations de produits de base( médicaments, engrais, produits agro-alimentaires....)
Il ne sera a très court terme plus en mesure de payer une partie des salaires de la fonction publique, et ne sera plus d'içi un an capable d'assurer la couverture sociale de ses citoyens.
Ceci va se confirmer et s'accélérer suite a la décision de Kaes Saed. En attendant continuez a faire de jolis rêves les bisounours