
Les prix des boissons augmenteraient de plus 40% en 2023, si le gouvernement maintient la décision d’imposer une avance sur impôt aux sociétés de distribution de boissons en gros prévue dans le projet de Loi de finances 2023 (PLF 2023), a mis en garde la Chambre syndicale nationale du commerce de gros des boissons dans un communiqué daté de lundi 19 décembre 2022.
Cette dernière rejette catégoriquement cette décision et demande son retrait du projet de Loi de finances 2023 et appelle le ministère des Finances à en discuter.
La chambre a affirmé que l'avance sur l'impôt sur les sociétés pour les entreprises de distribution de gros des boissons de 5% sur leurs achats auprès des producteurs, représenterait cinq fois leur impôt sur le revenu, entraînerait une détérioration de leurs capacités financières et menacerait leur pérennité, ce qui pourrait conduire à la fermeture des entreprises concernées. Une situation qui affercterait directement les recettes fiscales de l'État et aussi la perte de milliers d'emplois avec toutes les conséquences sociales et sanitaires.
L’organisme, faisant partie de l'Union tunisienne de l'industrie, du commerce et de l'artisanat (Utica), a ainsi exprimé son regret face à l’inaction du ministère des Finances qui n’a pas donné suite à ses multiples demandes de négociation. Il regrette aussi que le ministère ne l’a pas fait participer dès le départ aux discussions par rapport à ce sujet.
Pour lui, si cette mesure passe, les sociétés n’ont pas de choix que d’augmenter leurs prix de plus de 40% ce qui impactera directement le pouvoir d’achat du tunisien.
I.N
ne veut pas dire 40% d augmentation des prix des boissons
alors monsieur le chef de redaction je vous prie de responsabilisez les journalistes
On ne va plus boire de l'eau minérale car il y a risque de pénurie aussi,
On ne va plus boire de l'eau du robinet car elle est infecte,
On ne va plus boire de boissons car leurs prix augmentent constamment.
Alors que va t-on boire?
les paroles de nos politiciens véreux et corrompus jusqu'à l'os.
Il suffit de dire à ces chers marchands, qu'en fin de compte, le Tunisien finira par arrêter et au moins par réduire sa consommation de boissons. Et dans ce cas ils seront eux même doublement pénalisés.
Cerise sur le gateau on aura peut-être un peu moins de diabétiques.
Le Tunisien doit se prendre en charge : Tout ce qui le lui plait pas, il doit le boycotter.
Reveillez vous .... Reveillez vous .... Reveillez vous

