
Le renvoi de l'élève et jeune artiste, Nour Ammar fait l'objet d'une grande polémique depuis plusieurs jours. Le sujet ne cesse d'être au cœur des débats sur la toile, ainsi que sur les plateaux médiatiques.
Nour Ammar avait été renvoyée du Lycée pilote des arts d'El Omran pour avoir publié une vidéo dénonçant les pratiques honteuses de son enseignant et acteur Mhadheb Rmili. Elle affirme que ce dernier persécutait ses élèves en classe et ne cessait de se moquer d'eux. Certains finissaient même par éclater en sanglots.
En réaction, le conseil de discipline a décidé de renvoyer définitivement la jeune fille de l'établissement. La décision a été fortement critiquée par les Tunisiens.
De son côté, Mhadheb Rmili s'est mis à insulter les personnes qui le critiquent en ayant recours à des expressions et des commentaires sexistes et machistes. Tout le monde y est passé, chroniqueurs, journalistes et même internautes ayant simplement laissé un petit commentaire. Mhadheb Rmili a considéré qu'ils étaient tous des sous-hommes et a insinué qu'ils manquaient de masculinité.
Un comportement qui a été soulevé par les internautes suite au dernier exploit de M. Rmili. Il a proposé, dans une publication sur Facebook datant du 8 décembre 2022, un suppositoire « anti Mhadheb » qu’on devrait tous utiliser avant de dormir.
Une grande partie des Tunisiens a rapidement estimé que c'était le commentaire de trop et que M. Rmili doit être écarté de l'enseignement. Ils ont estimé que Mhabdeb Rmili n'avait pas à exiger le respect de ses élèves tout en se comportant de la sorte.
La militante et directrice de la Bibliothèque nationale de Tunisie, Raja Ben Slama a considéré que Mhadheb Rmili n'était pas digne de faire partie du corps enseignant. Elle a exigé l'annulation de la décision de renvoi de l'élève et soutenu que celle-ci avait parfaitement le droit de critiquer un tel individu.
Plusieurs personnes ont partagé la publication de l'enseignant accompagnée de phrases exprimant le même point de vue. Ils ont, aussi, critiqué l'attitude de certains de ses collègues cherchant à justifier ce comportement et à le défendre. Ils ont ironiquement écrit : « Et on renvoie l'élève pour lui avoir manqué de respect ! ».
Les commentaires et réactions étaient diversifiés, mais optaient pour la même conclusion. Certains ont écrit que Mhadheb Rmili est une personne pleine de complexes et ayant un ego surdimensionné.
« Quelle bassesse ! », « Trop vulgaire pour un enseignant ! », « Il ne faut pas s'étonner de la réaction de l'élève ! » ou encore « Sa place est à la poubelle ! » représentaient une grande partie des commentaires laissés par les internautes.
D'autres ont, d'une façon ironique, transformé le fameux dictant en langue arabe assimilant l'enseignant à un messager de Dieu en « Un enseignant est presque un suppositoire ».
S.G
Cependant, j'ai constaté que M. Mhadheb Rmili est envouté par "elkhalfia" et ses accessoires : son fameux suppositoire, entre autres, qu'il prescrit à tous les intervenants dans son affaire. Je conviens qu'il me prescrirait le même "maftoul", puisqu'il est dépourvu des règles de l'éthique du dialogue.
Ma modeste expérience de près de quarante année me permet d'émettre ce qui suit :
- Nour Ammar, bien qu'Offensée, elle est exclue de son lycée. Elle est la victime d'un système éducatif qui n'a pas évolué. Elle n'est pas la seule, des milliers d'élèves décrochent chaque année sans qu'ils aient eu des accrochages avec les enseignants '?'
- Cessons de considérer M. Mhadheb Rmili comme enseignant, ni comme éducateur, il ne l'a jamais été et il ne le sera jamais : son "maftoul" faisant foi. Il peut être un très bon acteur, mais les "khalfia" et "maftoul" dont il use, attestent que sa place n'est pas dans une classe-élèves.
M. Mhadheb Rmili, avec tout le respect que je vous dois, je vous conseille de quitter tout établissement scolaire et de vous consacrer pour le théâtre, votre vocation. Le cas de l'élève Nour Ammar n'est que le précurseur d'une avalanche de calvaires que vous allez subir ou faire subir à des élèves.
Je vous assure que l'affaire de l'élève Nour Ammar n'est absolument pas un épisode publicitaire pour vous, au contraire vous vous êtes offert le discrédit et '?'
M. Mhadheb Rmili, à bon entendeur, salut !
Cependant, j'ai constaté que M. Mhadheb Rmili est envouté par "elkhalfia" et ses accessoires : son fameux suppositoire, entre autres, qu'il prescrit à tous les intervenants dans son affaire. Je conviens qu'il me prescrirait le même "maftoul", puisqu'il est dépourvu des règles de l'éthique du dialogue.
Ma modeste expérience de près de quarante année me permet d'émettre ce qui suit :
- Nour Ammar, bien qu'Offensée, elle est exclue de son lycée. Elle est la victime d'un système éducatif qui n'a pas évolué. Elle n'est pas la seule, des milliers d'élèves décrochent chaque année sans qu'ils aient eu des accrochages avec les enseignants '?'
- Cessons de considérer M. Mhadheb Rmili comme enseignant, ni comme éducateur, il ne l'a jamais été et il ne le sera jamais : son "maftoul" faisant foi. Il peut être un très bon acteur, mais les "khalfia" et "maftoul" dont il use, attestent que sa place n'est pas dans une classe-élèves.
M. Mhadheb Rmili, avec tout le respect que je vous dois, je vous conseille de quitter tout établissement scolaire et de vous consacrer pour le théâtre, votre vocation. Le cas de l'élève Nour Ammar n'est que le précurseur d'une avalanche de calvaires que vous allez subir ou faire subir à des élèves.
Je vous assure que l'affaire de l'élève Nour Ammar n'est absolument pas un épisode publicitaire pour vous, au contraire vous vous êtes offert le discrédit et '?'
M. Mhadheb Rmili, à bon entendeur, salut !
Que fait le ministère pour le renvoyer ? ? !
Le ministère de tutelle qui fait la sourde oreille !!! Des enf***** aussi !
'?a rappelle le corporatisme intransigeant du régime des ayatollahs iraniens ou de l ' eglise catholique du temps de l ' inquisition ou actuellement et encore le conservatisme rempant en Tunisie ou le machisme patriarcal est roi. Surtout pas faire fâcher ces gens là, avec la bénédiction islamiste et comaort qui ont toujours pignon sur rue en temps d' election c " est precieux n ' est ce pas
Alors dès qu ' on est en situation de pouvoir et d" autorité on est des intouchables , au dessus des lois ? Des ayathollahs? ..
Vous preferez sacrifier votre jeunesse bande d" enf***** par ce ministère de l ' éducation iranien !
...
C ' est la faute aux parents qui élevent pas la voix ..ou est le père ?
Drpose pleinte contre le ministère qui ne contrôle pas ses brebis galeuses !@#
Léon, min joundi Tounis al Awfiya
Résistant à la vague gueuse depuis 2011.
Verset 112 de la sourate des abeilles.
A mon avis le ministère doit rétablir l'élève dans ses droits et le féliciter pour avoir permis de découvrir la vraie visage d'une personne qui porte un masque.

