
Le porte-parole du gouvernement et ministre de l'Emploi et de la Formation professionnelle, Nasreddine Nsibi, a affirmé, dans une déclaration accordée, dimanche 13 novembre 2022, à la télévision nationale, que l’État œuvre à lutter contre la fraude aux diplômes et aux papiers officiels, notamment dans la fonction publique.
« Des systèmes de contrôle ont été mis en place dans tous les ministères et une coordination est installée pour l’échange d’informations. Nous transférons à la justice toutes les affaires impliquant des diplômes falsifiés et nous avons opté, cette année, pour le cachet électronique afin de garantir l’authenticité des documents » a-t-il expliqué. Ainsi, le ministre a relevé que plusieurs dossiers de falsification ont été transférés à la justice.
On rappellera que le phénomène toucherait de nombreux secteurs, administrations et établissement publics.
M.B.Z

Soit être recruté et habiter obligatoirement à Tunis la surpeuplée, dont une mascarade de circulation d'autos est constatée chaque matin, des véhicules acquis par le biais des prêts autorisés pêle-mêle pour lesdits recrutés dans cette maudite fonction publique, surtout après l'obligation pour certains de prouver leur présence à l'entrée des présumés lieux de recrutement, et non de travail, puisque il n'y a réellement aucun travail dans les fantoches administrations de Tunisvet ce à savoir toutes les sociétés étatiques et tous les ministères.
C'est cela que j'appelle l'esprit public qui a foutu le camp.
Les faussaires sont légion, leurs supporters aussi qui leur ont fait la courte-échelle.
Il est beau le lavabo !
Il y'a des personnes de tous les partis politique qui sont embauchés avec des faux diplômes, tous ces ***vont s'allier contre le gouvernement