
L’accord signé la veille entre présidence du gouvernement, l'union générale tunisienne du travail (UGTT) et l’union tunisienne de l'industrie, du commerce et de l'artisanat (Utica) n’est pas un nouveau pacte social. C’est ce qu’a affirmé le secrétaire général de la centrale syndicale Noureddine Taboubi.
Dans une déclaration à Mosaïque Fm vendredi 12 août 2022, M. Taboubi a assuré que le Tunisie a un héritage et une expérience pilote en matière de dialogue social. Et de rappeler qu’en Tunisie, on a un pacte social, des conventions communes dans le secteur privé, des statuts spécifiques dans les institutions publiques et un conseil national de dialogue.
Le secrétaire général a indiqué qu’une réunion est prévue lundi pour fixer les dates des diverses sessions de dialogues, qui se feront notamment au niveau bilatéral à propos des négociations sociales avec le gouvernement mais aussi qui permettront d’aborder le dossier des réformes. Idem avec l’Utica ou entre l'organisation et le gouvernement.
Au menu aussi, et toujours selon lui, les trois parties devront discuter de dossiers en commun comme celui de l’équité fiscale, celui de la relance économique, les énergies renouvelables, … .
Le jour même, un accord a été signé entre l’UGTT, l’Utica et la présidence du gouvernement où les trois parties s’engagent à mener un dialogue social « constructif et transparent » et où on spécifie que des sessions de dialogue seront ainsi prévues, à partir du 15 août, pour arriver à des accords bipartites ou tripartis concernant les revendications sociales et les réformes économiques.
I.N
seulement voilà , malgré les lunettes d'intello , les moustaches au diapason et les costumes sur mesure importés , je trouve qu'il a gardé le même air d'abrutis
Elles meurent comme elles auront vécues, ignorées de vous et de l'Etat.
C'est la preuve qu'on m'a que de tout, et surtout de ce qui fait l'humain, l'humanité.
Inexcusable, injuste, répugnant pour qui se croit humain.
Pour moi, dont complices des exploitées, ceux qui les poursuivent pas.
Pas dignes, ceux qui ont laissé faire.
Et répugnant ceux qui ne changent rien à ce scandale.

