
Une vive altercation a eu lieu, hier, mardi 24 mai 2022, entre le gouverneur de Tunis, Kamel Fekih et des représentants des chauffeurs de taxis, qui se sont rassemblés devant le siège du gouvernorat en marge de leur mouvement de protestation.
Connu pour être très proche du président de la République, et l'un des soutiens indéfectibles de son projet, le gouverneur de Tunis, Kamel Fekih, semble avoir perdu le contrôle.
Hors de lui, il s’est mis à crier face aux protestataires qui voulaient discuter avec lui. Il avait exigé une réunion avec uniquement deux représentants des chauffeurs de taxis, alors qu’une bonne vingtaine était présente sur les lieux.
Les protestataires avaient formellement refusé la condition imposée par le gouverneur. Le chef de file a appelé ses collègues à quitter le siège du gouvernorat, s’indignant des pratiques des dirigeants prônant « le 25-juillet ». « C’est bien ça votre 25-juillet ? Si c’est ainsi, on n’en veut pas ! J’ai plus de 10000 affiliés et nous sommes capables de bloquer les routes en une journée », indique le représentant des chauffeurs de taxis en s’adressant au gouverneur, Kamel Fekih, qui s’était éclipsé en rentrant en précipitation au siège du gouvernorat.
S.H


Voir Tunis 2022, et mourir (de honte) !!
1) retirer la licence à tous ceux qui n'ont pas de casier judiciaire vierge où qui font l'objet de poursuites judiciaires pour des délits graves, ainsi que la retirer définitivement pour tous ceux qui ont atteint un nombre déterminé d'infractions routières graves.
2) retirer la licence à tous ceux qui ont plus de soixante deux ans, âge mérité pour partir à la retraite et cesser d'emmerder les autres usagers de la route en permanence.
3) retirer la licence pour tout véhicule âgé de sept ans et plus, pour tout véhicule accidenté, sale d'aspect extérieur et surtout intérieur et accorder son renouvellement que sur présentation d'un véhicule propre sous toutes les coutures, ou en cas de dépassement du délai de sept ans, d'un véhicule neuf.
4) suspendre la licence pour 1 mois et plus pour tout conducteur de taxi mal rasé, portant des habits sales et où pris en flagrant délit de mauvais comportement, refus de prise en charge, insultes grossières et autres incivilités vis à vis des clients.
Après cette sélection sévère, les nouvelles licences ne seront accordées qu'à ceux qui répondent à des critères de civilité, d'honorabilité, de moralité, d'une connaissance approfondie du code de la route et de toutes les rues et voies de la ville où ils sont censés exercer leur métier.
Il serait souhaitable également de sélectionner, par voie d'appel d'offres, un type de véhicule standard (pourquoi pas électrique ou hybride) obligatoire pour exercer la profession, comme il en existe dans d'autres pays, Royaume-Uni, à titre d'exemple.
Après, on pourra discuter avec des représentants élus de la profession sur leurs éventuelles réclamations.
Il ne peut pas discuter avec des personnes excitées