
Le président de la Chambre syndicale nationale des boulangers, relevant de l'Union tunisienne de l'industrie, du commerce et de l'artisanat (UTICA), Mohamed Bouanen, a affirmé que la consommation de pain des Tunisiens diminue de 30% au mois de ramadan par rapport à la consommation normale quotidienne.
S’agissant du manque de pain constaté le premier jour de ramadan, M. Bouanen a expliqué que les Tunisiens croyaient être confrontés à la même pénurie qu’avant le début du jeûne et les boulangers étaient étonnés de voir une forte affluence dès 8h du matin et une demande accrue, qui a laissé beaucoup de boulangeries, en particulier sur le Grand Tunis, sans pains avant la rupture du jeûne, une première.
Au deuxième jour, l’affluence a commencé vers midi, témoigne le président de la Chambre syndicale nationale des boulangers. Et d’assurer que 10% de la production n’a pas été vendue le deuxième jour, à part quelques boulangeries bien situées.
Mohamed Bouanen a promis que dorénavant il n’y aura plus de manque en termes de pains, tout au long du mois de ramadan, en soutenant que les boulangers ont eu accès à toute la quantité qui leur est nécessaire.
I.N


Le pain est tellement bradé, qu'on le gaspille volontiers.
900 000 baguettes x 0,190 dinar = 171 000 dinars par jour.
171 000 dinars x 365 jours = 62 415 000 dinars par an jetés à la poubelle à cause du prix dérisoire du pain !!!
Avec 62 415 000 dinars, on construit 10 lycées !
Avec 62 415 000 dinars on achète 1000 voitures !
Mais "le peuple veut" gaspiller !!!
Les boulangeries ont poussé comme des champignons, pas d'hygiènes, du pain dégueulasse,
Dans ma petite ville il y avait 2 bonnes boulangeries connues depuis bien longtemps. Aujourd'hui, il y a une dizaine et aucune qui fait de bon pain.
Le bon pain Italien n'existe plus. Vous savez où j'avais trouvé du bon pain à l'italienne à "hay nasar" le bon pain de Belleville a Paris.
Ma région était bien connue pour bon pain italien, très très rare de le trouver.
La gabegie totale sur tous les domaines. Dommage
Bon ramadan
L'hygiène est devenue une denrée très rare au chlékistan.
Déjà à l'époque de ZABA, les services d'hygiène verbalisaient à longueur de journée sans jamais être arriveés à éradiquer le fléau de la saleté, si cher à une communauté de nos concitoyens.
Depuis l'arrivée des chléyék en 2011, c'était le contraire qui se produisait. Ils verbalisaient tous les lieux disposant d'une bonne hygiène.
Ils suffit de voir le profil des bouffons qui faisaient parti des membres de la troika, pour comprendre ce qu'il y a à comprendre.
Go3r un jour, go3r toujours.
Ché8ya tayyeba.