Les deux défunts dictateurs déchus Bourguiba et Ben Ali, étaient contre l'utilisation de la religion dans la politique. Ils ne faisaient qu'imposer aux Imams de toutes les Mosquées de la Tunisie, de n'en finir avec les prières, qu'en leur demandant longue vie, beaucoup de succès et toute la soumission religieuse du peuple à leurs ordres, à leur pouvoir absolu et à leur "divinité", dont ils tiraient des Cieux à la manière du genocidaire de son peuple égyptien, le Saffah Sissi. Ce même putschiste militaire bourreau de Rabiaâ, qui a rêvé d'Anouar Al-Sadat lui remettre l'épée de la normalisation avec les juifs genocidaires de Gaza, occupants de la Palestine.
Bourguiba imposait à la radio nationale, de lui réserver la matinale de "Bendiri yè Bendiri" par la "Soulamiya" de "Sidi Ali Azouz" et de "yè Belhassan yè Chadly", à l'ajouter dans leurs éloges spirituels, en remplaçant le nom de notre Prophète Mohamed (sws), par "El-Habib", en conformité avec son nom "Habib Bourguiba".
Celui qui ne se soumettait pas aux appels des Imams des "Chouaâb", n'est qu'un "khouangi", transformé chez Ben Ali, en "islamiste".
Maintenant les choses ont bien évolué pour le bien de la HAICA. La radio du Saint Coran est fermée pour question de paperasses, tout en lui infligeant des contraventions à la Bill Gates, afin de laisser la place aux radios de "Sandouk aâjab" et de "aândi mè nkollèk". L'Islam est arriéré. Vive la laïcité des soirées, du rouge qui gagne.
Allah yostir Tounes.