
La présidente de l’Union des Magistrats Administratifs (UMA), Refka Mbarki, a affirmé que plusieurs juges ont été victimes de campagne de harcèlement et d’incitation.
Dans une déclaration accordée à Jawhara FM, Refka Mbarki a précisé que la présidence du tribunal administratif est la plus exposée à ces pressions. « Le président du tribunal administratif traite les dossiers de suspension d’exécution », a-t-elle expliqué.
Elle a, également, considéré que ces campagnes visent à fragiliser la justice administrative. Elles ont, selon elle, été préméditées et orchestrées par des pages Facebook et des blogueurs qui opèrent pour le compte de certains partis.
« L’UMA a dénoncé ceci et a insisté sur l’honnêteté et l’intégrité des juges administratifs… Jusqu’à maintenant, nous n’avons pas constaté l’implication de l’un des juges administratifs dans des affaires de corruption ou de pots-de-vin… Nous traitons plusieurs dossiers sensibles relatifs à l’interdiction de voyage », a-t-elle déclaré.
Par ailleurs, Refka Mbarki a précisé que le tribunal administratif n’a pas encore statué sur les dix demandes de levée de l’interdiction de voyage et d’assignation à résidence.
S.G

On peut, tout aussi bien, dire qu'ils ne cesseront jamais les combines pour se sauver la mise, à défaut de parvenir à reprendre la main.
Ce qu'on peut soutenir avec la certitude adossée aux arguments factuels, c'est qu'ils ont toujours deux fers au feu, une face cachée et l'autre policée pour donner le change.
En plus clair, ils parlent de démocratie qu'ils n'ont aucune intention ni d'en requérir les usages ni d'en respecter les règles.
Ils la revendiquent pour leur propre profit tout en se gardant d'en admettre le bénéfice pour autrui.
Nous avons l'expérience pour témoignage et notre intelligence des faits pour délibérer.
Et, il faut bien se rendre à l'évidence que tant qu'ils n'auront pas été terrassés et expulsés de la scène politique, ils feront tout sans relâche pour durer.
C'est leur nature.
Personne, ni le meilleur argumentaire, n'est en mesure de les en dissuader.
C'est leur existence qu'ils jouent. Même si le jeu a pris fin.
Nous avons, pour notre part, payé chèrement de les compter des nôtres.
Désormais, ce n'est plus une question de choix, ni de tempérance ou d'excès, il est nécessaire de les bouter dehors.
Chacun croira ce qui confirme ses préjugés ou convictions, s'il s'en trouve, l'inacceptable ne peut durer.
Et, pendant ce temps...