
Une réunion de travail à propos de la situation à Sidi Hassine, s’est tenue lundi 14 juin 2021, sous l’égide du gouverneur de Tunisie, Chedly Bouallegue.
Ainsi, il a été décidé de poursuivre la prise en charge sociale et psychologique pour l’enfant lynché par des policiers la semaine passée. Un conseil extraordinaire sur le développement dans le quartier de Sidi Hassine sera également organisé, en présence de représentants de la société civile. Il a aussi été proposé la tenue d’un conseil des ministres consacré au gouvernorat de Tunisie et qui s’intéressera aux projets de développement notamment à Sidi Hassine.
Les violences policières survenues la semaine dernière dans ce quartier populaire de Tunis ont suscité l’indignation de l’opinion publique. Le jeune de 15 ans, actuellement pris en charge, avait été lynché et dénudé par un groupe de policiers. A Sidi Hassine, des manifestations nocturnes ont lieu depuis quelques jours.
I.L.

Vous voyez bien c'est de la poudre aux yeux
Et le bâton reprendra du service
Ce n'est que pour calmer les gens ....
Et dire que les policiers n'ont même pas étaient entendus
Qui osera les juger ? qui osera les affronter ? il aura les syndicats aux trousses ... et les policiers aux fesses
"Une réunion de travail à propos de la situation à Sidi Hassine, s'est tenue lundi 14 juin 2021, sous l'égide du GOUVERNEUR DE TUNISIE, Chedly Bouallegue."
Commentaire:
Les services de communication de la Présidence de la République auront rectifié d'eux-mêmes !...
Les responsables, dans un sommeil profond, voilà qu'ils donnent l'impression de se réveiller mais seulement après un désastre.
Et c'est le cas pour Sidi Hassine, alors que toutes les cités sont concernées, de Saïda, Guerrich, cité Hlal, Kabbaria, Elmellassine, Essomrane, Ezzouhour, Ezzahrouni.....
Il faut un projet global, un programme étendu et une approche sociale, sécuritaire efficaces.
Pas plus tard qu'hier soir nous avons eu droit à des bagarres acharnées, violentes entre quartiers, suite à une altercation dimanche matin vers 5 h du matin qui a donné un mort.
C'est presque le quotidien des citoyens des cités.
Les autorités devraient bouger, les associations sont dans l'obligation de participer et de coordonner les efforts avec ceux des autorités, préparer des équipes d'éducateurs pour la prise en charge des enfants, les mosquées peuvent jouer un rôle important, instaurer la police de proximité pour freiner la violence, des centres de désintoxication pour aider ceux qui ont en besoin de s'en sortir, sensibiliser la jeunesse pour s'éloigner de ce fléau ravageur.
Des initiatives non coûteuses mais très utiles pour le côté préventif. Des familles démunies nombreuses vivent des déchets plastiques et autres, ça ne coûte rien de leurs fournir des chariots adéquats, de mettre en place des unités de collecte et recyclage.
Merci pour vous B.N, si vous pourriez faire passer le message et de contribuer avec votre notoriété à proposer des solutions. C'est pour la bonne cause.
Quand on sort les mots : consultation, conseil , conférence .... concertation .....
Ils commencent par CON et soyez sûr q'on vous traite de con.
Cest pas un sujet à traiter par un conseil qui regroupent des pauvres cons qui ne décident de rien.