
La Maison Blanche a communiqué, ce mardi 11 mai 2021, sur l’entretien qui avait eu lieu entre le président de la République Kaïs Saïed et la vice-présidente américaine Kamala Harris, mentionnant un point qui n’avait pas été relayé par la présidence de la République tunisienne, à savoir l’importance des institutions démocratiques en pole position.
En effet, dans son communiqué la présidence de la République n’avait fait part que de l’importance de l’Etat de droit et de la lutte contre la corruption, omettant le point crucial de la discussion entre le chef de l’Etat et de la responsable américaine. C’est dire que les institutions démocratiques font directement allusion à la Cour Constitutionnelle dont le président de la République rejette catégoriquement l’installation, sous prétexte de dépassement des délais constitutionnels. Une manœuvre qui s’inscrit dans le cadre de sa bataille engagée frontalement avec le mouvement Ennahdha et la coalition au pouvoir.
Aujourd’hui, les regards sont encore braqués sur l’expérience tunisienne. La réussite « relative » de la Tunisie pour assurer la transition démocratique n’a pas été traduite sur le plan économique et social. C’est dire qu’en réalité les tiraillements et l’instabilité politiques y sont pour grand-chose. Et si ces conflits internes étaient auparavant masqués sous le voile du consensus, aujourd’hui le blocage institutionnel est révélé au grand public. La situation en Tunisie est, donc, devenue préoccupante pour l’occident, tout comme pour les bailleurs de fonds ayant tablé sur la réussite du modèle tunisien.
Le mouvement Ennahdha, partie intégrante de ce conflit, semble avoir procédé à une révision de ses positions, notamment, à la suite de la visite « personnelle » effectuée par le chef du mouvement islamiste au Qatar. C’est dire que quelques jours plus tard de cette visite, l’assesseur du président du Parlement, chargé de la communication Maher Medhioub déclare au grand jour que Rached Ghannouchi était prêt à rencontrer Abdelfatteh Al Sissi. Selon le dirigeant nahdhaoui, Rached Ghannouchi serait la personnalité la plus consciente des enjeux géopolitiques dans la région. Cette déclaration aurait été à peine crédible quelques jours plus tôt, si l’on se réfère aux données classiques d’ordre régional.
Cependant, si le mouvement islamiste avait compris la conjoncture et les impératifs de la période, qu’en serait-il du président de la République, Kaïs Saïed, qui, jusqu’à présent semble inébranlable quant à la question de la Cour Constitutionnelle, voyant en son installation une menace à son maintien à la tête de l’Etat, et à l’exclusivité qu’il détient pour l’interprétation des textes de la Constitution.
S.H


De quoi s'agit-il et autour de quoi l'on s'agite tel un bourdon dans un bocal ?
La mention dans le communiqué de la Maison Blanche d'un point(*) à propos "de l'importance des institutions démocratiques" fait dire abusivement à BN et selon son interprétation, que cela fait "directement allusion à la Cour Constitutionnelle". . .
BN prend-il ses désirs pour la réalité. . . ou bien cherche-t-il des poux dans la tonsure d'un chauve intégral ?
Je signale charitablement à BN que l'expression "les institutions démocratiques" ne signifie pas seulement "la cour constitutionnelle" mais aussi les "autres". . . à savoir tout ce qui fait ou constitue l'Etat de Droit, une justice indépendante, des élections libres et à dates fixes, un parlement, un président élus et un gouvernement représentatif des forces politiques en présence, une administration impartiale au service de la société, etc. . .
Mais foin de louvoiements et de tortillements oiseux et futiles, l'absence même de la Cour Constitutionnelle (ou son statut "putatif" actuel) fait qu'elle n'est pas considérée "dans les faits", ou pas encore comme une institution démocratique en tant que telle. . . puisqu'elle est encore dans les limbes, éthérée ou sous forme d'un simple article comme un autre de cette prétendue meilleure Constitution au monde !
En un mot comme en cent, et contrairement à certains (suivez mon regard) KS n'a pas de cadavre dans le placard ni de poussière sous le tapis !
Mais à force de chercher frénétiquement la petite bête, la montagne finit par réaliser l'exploit d'accoucher d'un ver luisant !
MPP.
(*) "The two leaders reaffirmed the importance of democratic institutions"
Notre président Kaïs Saïed, se croit dans une école maternelle. Il a croisé son auriculaire avec le premier ministre Hichem Mechichi et avec le président de l'ARP Rached Ghannouchi. Comme si l'Etat tunisien était la cour de sa récréation scolaire. Nous avons tant attendu que l'enfant gâté Kaïs Saïed, propose son index de la paix et de l'harmonie avec les deux autres présidents du gouvernement et de l'ARP. Rien à faire. Le président Kaïs Saïed, oublie que la Tunisie est un pays d'au moins dix millions de citoyens, qui ont des droits et des devoirs vis-à-vis de la communauté internationale. Les autres pays ne pourront attendre que le président Kaïs Saïed, se dégonfle et se rétrécit en son volume réel de citoyen, à égalité avec tous les autres citoyens tunisiens. Il doit se désister de son esprit pharaonique de commandant suprême de toutes les forces armées de la Tunisie. Il doit se préparer à quitter le palais de Carthage, au plus tard en octobre 2024.
Le temps passe vite et les années courent plus vite que le vent.
Les Américains sont nos amis. Ils nous aident et nous soutiennent dans la réussite de notre transition démocratique. Ils ne pourront rester les mains croisées devant le sabotage de mise en coma de l'Etat tunisien, par vengeance de l'arriviste Kaïs Saïed. Ils doivent siffler la fin de la récréation au président Kaïs Saïed sous l'influence des trois sorcières du "Boukhoukhou", Nadia Akacha, Samia Abbou et Maya Gsouri.
Allah yostir Tounes wè yehlik les putschistes.
Voilà un Banquet qui fera date!!
Ce criminel a détricoté la Tunisie et ses valeurs. Sa présence a impacté la psychologie du tunisien faisant de lui un défaitiste. Sa présence n'a eu d'effets que de porter au rouge les grands équilibres. Et maintenant voilà qu'il humilie son pays en acceptant une aumône turque de quelques volailles et en allant demander de l'aide !? aux qataris.
Chère Madame un vieil adage ougandais disait : " les problèmes du monde s'aggravent lorsqu'on s'avise à dire ce qu'il faut faire, ce qu'il ne faut pas faire avant de voir ce qui ne va pas".
Madame, avant de donner des leçons à un peuple meurtri, essayez d'évaluer un tant soit peu le soutien dont l'Amérique a gratifié des insignifiants pour qu'ils s'emparent de la place publique.
Le peuple tunisien demeure convaincu de l'importance des institutions démocratiques, mais il est tout aussi convaincu que la démocratie requiert des valeurs morales. L'expérience démocratique tunisienne a été fauché à la base, justement parce qu'elle a été mise entre les mains de faux pieux et de vrais salopards.
Pour une fois, je me la ferme, mais ton peuple de Bn, et leurs contributions qui ont permis à BN d'être à la 2ème ou 1ère place a pris les fourches caudines pour remettre l'horloge à l'heure!
Avant c'était accepté le CGU pour tout le monde mais pour ton article , tes modo auraient du te censurer!!
Alors, par 1 lapsus: On vend son âme, moi, j'aurais préféré le corps à l'âme pour des raisons personnelles! "C'est mon humeur ou humour C kif kif bourricot parce que C "NOIR"..
Je suis choqué par toutes ces critiques qui sont dans le vrai !
Alors, il ne faut pas rajouter nos conneries intelligentes à leurs conneries halal !
le prince héritié d'Arabie Saoudite, Mohamed Ben Salman.
En plus le raprochement du Qatar avec l'Arabie Saoudite sonne le glas pour Sidi Cheikh Khariji et ses semblables.
Sidi Cheikh est allé à Doha la semaine dernière. Il est rentré bredouille., les mains vides.
Après avoir insulté Essissi d'Egypte pendant des années, il essaye de se rapprocher de lui. Mais le Pharaon Essissi ne pardonera jamais à Khriji et sa secte.
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la Vice-Présidente Kamala Harris s'est entretenu aujourd'hui avec le Président Kais Saied et a réaffirmé le fort engagement des '?tats-Unis envers la Tunisie. Ils ont discuté de l'importance de l'amitié de longue date entre les '?tats-Unis et la Tunisie. Les deux dirigeants ont réaffirmé l'importance des institutions démocratiques, de l'état de droit et de la lutte contre la corruption. la Vice-Présidente a souligné l'engagement soutenu des '?tats-Unis à soutenir la démocratie en Tunisie. En outre, la Vice-Présidente a pris note des engagements de réforme économique de la Tunisie face aux défis posés par la pandémie du COVID-19 et a exprimé son soutien aux discussions de la Tunisie avec le Fonds monétaire international (FMI) et à la mise en '?uvre rapide de ces mesures. Les deux dirigeants ont également évoqué l'importance d'une coopération continue en matière de sécurité entre les deux pays.
https://www.whitehouse.gov/briefing-room/statements-releases/2021/05/11/readout-of-vice-president-kamala-harris-call-with-president-kais-saied-of-tunisia/
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De mon point de vue, cet entretien exprime clairement un soutien à la position du Président KS dont la posture est fermement basée sur la lutte contre la corruption, le terrorisme, et la l'expansion de la nocive secte frériste islamique.
Quand à l 'importance des institutions démocratiques, de l'état de droit et de la lutte contre la corruption la Maison blanche dit bien qu'elle s'inscrit dans un contexte de lutte contre la corruption et loin d'un état de droit adapté aux besoins d'expansion fréristes et autres corrupteurs y compris la mise en place de la cour constitutionnelle qui en ces temps de tourmente obscure pourrait être ajustée uniquement aux besoins des ikhwans.
Par conséquent ET tenant compte de ces éléments, on peut dire que KS est bien droit dans ses bottes et que cet entretien le renforce dans sa position et dans nos convictions citoyennes et nationales au service d'une Tunisie démocratique et républicaine.
Carthage a dit "état de droit", les americains ont dit "institutions démocratiques". Les uns n'existent pas sans les autres.
En plus dans cet article bidon le journaliste se donne la latitude d'extrapoler et d'interpréter les intentions des americains faisait allusion directe a la cours constitutionnelle.
Si les americains voulaient vraiment faire allusion à la cours constitutionnelle, ils auraient écris: La vice présidente américaine a exprimé son inquiétude face au blocage politique en Tunisie.
Depuis cette fameux diner journalistique avec le premier ministre Businessnews semble avoir changé sa ligne éditoriale
C'est un langage diplomatique. '?a n a pas de rapport avec la cours constitutionnelle. Ils s en foutent de ça. Les usa traitent avec le président uniquement comme ce qu'a fait Biden avec l Arabie saoudite. Au contraire, c'est un message aux autres pays en particulier que veut envoyer les usa.
Arrêtez de pensez qu on est le nombril du monde.
Au lieu de faire ça, enquêtez sur le non respect du confinement du gourou de la secte pour enterrer quelqu'un accuse de terrorisme en Tunisie. Il est mort par le COVID et même dans son enterrement ils veulent contaminer d autres tunisiennes et tunisiens par le COVID.
Mais je n'ai peut être pas lu le texte dans son entier, auriez vous l'obligeance de le publier?
Contrairement aux différents commentaires qui réagissent par ignorance du contexte international, j'estime que l'article de BN est très bon et reflète la réalité des relations internationales, dont Saïd ( au même titre que tout responsable ) doit apprendre à tenir compte et ce si l'intérêt du pays a une place dans sa tête.
Vous espérez que les américains ont tiré les oreilles du président!
Allez, à la niche, toutou des américains, colonisé de la tête, infantile et mineur irresponsable!
La Tunisie est un pays souverain, la majorité des tunisiens sont devenus majeurs et vous verrez qu'ils voteront Abir, la seule qui aie , parmi tous les dirigeants de ce pays, le sens de l'honneur et le respect du pays chevillé au corps!
Si, en revanche, vous êtes disposé à faire feu de tout bois pourvu que vous ayez le dessus, cela renforce l'impression que ne compte pour vous que le désir de délégitimer l'autre, le moyen le plus vil, le plus injuste, la mauvaise foi dont requis sans hésitation.
Enfin, vous laissez de côté, sciemment, toutes les atteintes aux droits, aux institutions, les rapines, les violences de ces gens dont le démocratisme vous convainc.
Il me semble que le débat requiert au moins, de part et d'autre, le respect des faits.
Enfin, c'est même choquant de lire votre acquiescement, même votre demande, de voir les USA régenter le pays et commander à ses politiques. Jusqu'au Président.
Drôle de conception.
Business News a déformé le Communiqué du Palais de Carthage et le Communiqué de la Maison blanche sur l'entretien téléphonique entre le Président tunisien Kais Saïd et la vice-Présidente américaine Kamala Harris. Business News ment, Business News perd sa crédibilité.
Il suffit de lire les commentaires postés par les lecteurs: ils sont tous unanimes sur le fait que Business News cherche à désorienter l'opinion publique. Je trouve cela triste et regrettable de la part d'un journal que nous suivons depuis des années.
Je pense que Business News devrait retirer cet article et présenter des excuses à ses lecteurs.
Qu'arrive-t-il à Nizar ? A-t-il changer casaque ?
'The two leaders reaffirmed the importance of democratic institutions, the rule of law, and fighting corruption. The Vice President underscored the United States' sustained commitment to supporting Tunisia's democracy'.
Il ne faut pas être contre la cour constitutionnelle juste car Ennahdha est pour. C'est maladif de définir ses positions toujours comme négation de celles d'enanhdha.
Pire qu'un Caméléon ...
Ces journalistes soutiennent qui ? Font la propagande pour qui ?
Dieu seul sait à quoi jouent ces gens.
Une chose est sûre, c'est qu'ils ont participé de près ou de loin à la destruction du pays.
Maak rabi ya tounes
Carthage chercherait à cacher quoi ? Que la chef en second de l'Empire aurait mentionné ou fait un rappel de l'importance des institutions...
Votre vigilance vous honore. Elle eût gagné en crédibilité si vous l'exerciez pour tout et... tous.
Les dissimulations, les coups bas et les mensonges, pour rester sobre, sont des pratiques permanentes des "frères", et je ne vous pas quand cela a suscité chez vous et d'autres cette radicalité, cette obsession du fait exact, de l'authenticité.
Je crois que le Président a raison dans sa rhétorique généralisante et volontiers allusive. S'il devait nommer tout, relever les turpitudes des uns et des autres, il n'en aurait ni le temps ni l'espace.
Les islamistes ennemis du pays et de sa population dont forts du fait de leurs affidés, leurs ralliés et tous les opportunistes pour qui vérité et authenticité sont quantité négligeable au regard de leurs intérêts du moment.
Et, il semble que sont fort nombreux ceux dont les intérêts rencontrent ceux des "frères".
L'Empire aura probablement compris que son cheval ne tient pas sur la longueur. Il se fait prosélyte en terres de mission, comme c'est de coutume, et prend langue avec quelqu'un dont on peut reconnaître qu'il se singularise par certaines positions dont on repére le peu de congruence avec les siennes.
L'essentiel est que ce coup de fil sonne comme un retournement, l'esquisse d'un lâchage en règle.
La maison terroriste doit amender son agenda et prendre garde que son tuteur, et probable vrai maître, ne parie plus sur sa pertinence.
En soi, cette nouvelle est comme un nouveau printemps.
Le président de la République est contre l'installation du "nouveau CC" comprenez "Club des Corrompus"; mais il est pour l'installation d'une "vraie CC" c'est-à-dire une "Cour Constitutionnelle" non corrompue...A ne pas confondre les deux "CC" !
Il s'agit de la grande bataille que nous menons aux côtés du président Saied pour combattre la corruption des islamoaffairistes dans le cadre de la règle de droit.
Souvenons-nous, Madame S.H. et BN: notre objectif reste toujours cet idéal de justice que nous voulons atteindre à l'instar des vraies grandes démocraties.
Le rôle du rédacteur est d'accompagner le peuple en l'éclairant et non pas en le troublant par les ambiguïtés et les approximations qui nourrissent le désordre et l'injustice. L'auriez-vous oublié ?!
Cela va sans dire. . .mais cela va mieux en le disant !
MPP.
S'opposer aux conseils des occidentaux est un signe qu'on est sur la bonne voie...
Vive notre président patriote kais Saïd..
Depuis quand le parti des kwanjiyas comprend-t-il les conjonctures et les impératifs de l'Etat ?
Depuis quand ennahdha a tenu une seule parole, une seule promesse ou un seul engagement ?
Ne vous laissez pas berner par ces hypocrites, menteurs et profiteurs. Regardez ce qu'ils ont fait du pays et ne pourfendez pas le seul qui veut les remettre à leur juste place.
En effet, il est rapporté que « Les deux dirigeants ont réaffirmé l'importance des institutions démocratiques, de l'?tat de droit et de la lutte contre la corruption. Le vice-président a souligné l'engagement des '?tats-Unis à soutenir la démocratie tunisienne. »
Si, pour BN, le point crucial de la discussion est la mise en place d'une Cour Constitutionnelle, c'est votre point de vue qui n'est pas partagé ni par le plus grand nombre des citoyens ni par beaucoup de constitutionnalistes car tout le monde sait maintenant et BN en premier que la volonté d'ennahdha et de ses pare-chocs n'est pas la Cour en elle-même mais de disposer d'un moyen pour nuire au président et conforter leur mainmise sur le pouvoir.
ci-dessous le texte de la Maison Blanche :
La vice-présidente Kamala Harris s'est entretenue aujourd'hui avec le président Kais Saied et a réaffirmé le ferme engagement des '?tats-Unis envers la Tunisie. Ils ont discuté de l'importance de l'amitié de longue date entre les '?tats-Unis et la Tunisie. Les deux dirigeants ont réaffirmé l'importance des institutions démocratiques, de l'?tat de droit et de la lutte contre la corruption. Le vice-président a souligné l'engagement des '?tats-Unis à soutenir la démocratie tunisienne. En outre, la vice-présidente a pris note des engagements de réforme économique de la Tunisie dans un contexte de contestation de la pandémie covid-19 et a exprimé son soutien aux discussions de la Tunisie avec le Fonds monétaire international (FMI) et à la mise en '?uvre rapide de ces mesures. Les deux dirigeants ont également discuté de l'importance d'une coopération continue en matière de sécurité entre les deux pays.
Elle a bon dos la liberté de la presse à Bagla Liha !
Je n'ai rien contre cette information, mais les conditions politiques actuelles en Tunisie ne sont pas propices à l'étalement des contradictions des uns & des autres ?
C de la Boulitique !
De la boulitique Bouliticienne !
Et freiner un peu des fois rendra 1 grand service à notre Tunisie "Agressée, Atteinte, Violée,
Volée , Spoliée et surtout non Respectée par 2 millions d'extra-Terresrtre déboussolée par toute cette richesse trouvée contrairement à leur "Merrikh" où il ne faisait pas bon de vivre ?
Readout of Vice President Kamala Harris Call with President Kais Saied of Tunisia
MAY 11, 2021 '?' STATEMENTS AND RELEASES
"Vice President Kamala Harris spoke today with President Kais Saied and reaffirmed the strong U.S. commitment to Tunisia. They discussed the importance of the longstanding friendship between the United States and Tunisia. The two leaders reaffirmed the importance of democratic institutions, the rule of law, and fighting corruption. The Vice President underscored the United States' sustained commitment to supporting Tunisia's democracy. In addition, the Vice President noted Tunisia's economic reform commitments amidst challenges posed by the COVID-19 pandemic and she voiced support for Tunisia's discussions with the International Monetary Fund (IMF) and timely implementation of these measures. The two leaders also discussed the importance of continued security cooperation between the two countries. "
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"The two leaders reaffiemed the importance of democratic institions ,the rule of law ,and fighting corruption ."
Il est question de toutes les institutions démocratiques elles sont très nombreuses je ne vois du tout pas comme vous qu'il y a allusion a la cour constitutionnelle.Un doigt qui vous montre la lune vous n'en voyez que le doigt .Vous n'en ratez pas une ,Je laisse les lecteur apprécier le texte original
La seule chose positive est qu'Ennahdha est prête à accepter Al Sissi.
Publiez le texte original , si vous voulez ?
Kais Saied doit juste respecter la constitution sur la base de laquelle il a été élu pour avoir les meilleures relations avec les Américains. Eux-mêmes ont vu l'importance de la cour suprême lors des élections américaines et même les juges nommés par Trump ont suivi leur conscience et ont voté pour la démocratie américaine. Saied peut présenter des initiatives législatives, il peut chercher des alliances pour écarter Ennahdha, elle n'est pas majoritaire au parlement mais il ne peut pas attaquer et bloquer les institutions démocratiques comme le parlement et la cour constitutionnelle et espérer en même temps avoir l'aide de l'Amérique. Enfin dans ce jeu planétaire, même la France est trop petite et elle va s'aligner sur les positions américaines.
Que l'oncle Sam s'occupe de ses affaires et laisse ce pays gérer lui même son destin au delà de toutes influences et qu'il reprenne ses traîtres de la Nakba nous nous débrouillerons très bien seul !
Hum, laissez-moi deviner. . . je parie que vous cherchez querelle à "la présidence tunisienne" comme vous dites ?
Vous lisez Twitter, fort bien !
Vous lisez aussi dans le marc de café ?
MPP.
"Vice President Kamala Harris spoke today with President Kais Saied and reaffirmed the strong U.S. commitment to Tunisia. They discussed the importance of the longstanding friendship between the United States and Tunisia. The two leaders reaffirmed the importance of democratic institutions, the rule of law, and fighting corruption. The Vice President underscored the United States' sustained commitment to supporting Tunisia's democracy. In addition, the Vice President noted Tunisia's economic reform commitments amidst challenges posed by the COVID-19 pandemic and she voiced support for Tunisia's discussions with the International Monetary Fund (IMF) and timely implementation of these measures. The two leaders also discussed the importance of continued security cooperation between the two countries."