
Au sujet des mesures sanitaires, Ghazi Chaouachi a appelé à une révision des décisions du gouvernement notant que celui-ci devrait revenir sur certaines notamment la réouverture des restaurants et des cafés pour préserver la santé des citoyens et des employés du secteur.
Il a avancé que le gouvernement devrait ordonner la fermeture de ces commerces et les dédommager rappelant que le confinement sanitaire général décrété par le gouvernement d’Elyes Fakhfakh avait été accompagné par des mécanismes d’indemnisation et de soutien aux entreprises.
Interpellé sur l’absence de moyens financiers pour s’engager dans une telle voie, Ghazi Chaouachi a suggéré que l’État pourrait imposer des taxes exceptionnelles sur les entreprises qui n’ont pas été impactées par la crise, notamment les sociétés bancaires, les assurances et les opérateurs téléphoniques, afin de s’assurer des rentrées d’argent supplémentaires.
Il a appelé, dans ce sens, à étudier la mise en place d’un confinement général et à s’y préparer convenablement.
Le secrétaire général d’Attayar a taclé, dans ce même contexte, le gouvernement de Hichem Mechichi signalant qu’un gouvernement de technocrates pourrait rendre les clés à tout moment et se dérober à ses responsabilités.
« Ce gouvernement de technocrates n’a ni programme, ni vision, et le remaniement qui a été décidé n’est que preuve de son échec », a martelé Ghazi Chaouachi rappelant que le régime parlementaire en Tunisie impliquait un gouvernement partisan.
« Un gouvernement de technocrates n’a aucune légitimité sauf en cas de crise », a-t-il ajouté.
Hichem Mechichi a, rappelons-le, décidé le remplacement de onze ministres. Ceux-ci se présentent, mercredi 27 janvier 2021, devant le Parlement pour un vote de confiance. Une étape que le locataire de la Kasbah aurait pu s’épargner car la Constitution ne le lui impose guère.
A ce sujet, Ghazi Chouachi a avancé que Hichem Mechichi serait dans l’obligation de répondre à plusieurs interrogations en lien avec son programme, le motif du remaniement et les suspicions de corruption qui planent sur certains des nouveaux noms proposés.
Le politicien a estimé, par ailleurs, que le locataire de la Kasbah s’était dérobé à son évaluation et celle de la performance de son gouvernement notant qu’aucun dialogue avec le gouvernement Mechichi n’a eu lieu pour les cent premiers jours d’exercice.
Ghazi Chaouachi a surenchéri en accusant le président de la République, Kaïs Saïed, d’avoir commis une erreur en nommant Hichem Mechichi à la présidence du gouvernement. Selon Ghazi Chaouachi, Hichem Mechichi n’a pas l’étoffe d’un chef du gouvernement.
« Il n’est pas à sa place (…) Il n’a ni la capacité, ni la volonté, ni la personnalité pour faire face à l’ensemble des difficultés et crises auxquelles la Tunisie fait face », a-t-il souligné avant d’ajouter que Hichem Mechichi devrait se retirer de la présidence du gouvernement avant qu’il ne soit trop tard.
N.J.
Maintenant, lui, sa femme Samia Abbou et leur domestique ce Ghazi Chaouachi, ils ont mis la main dans la main avec la Zalèma moussi, pour saboter tout le gigantesque travail de Hichèm Méchichi. Mais néanmoins, nous lui rappelons l'adage de : «qui creuse aux autres, y tombe le premier».
La demande d'un impôt foncier unique sur tous les actifs supérieurs à un million de TDN par exemple et une réintroduction de l'impôt sur la fortune ordinaire sur tous les actifs supérieurs à un million de TND.
Un prélèvement sur la richesse ne submergerait personne des super riches et il y aurait bien sûr des exemptions pour les actifs commerciaux. Mais ici aussi, si l'etat n'avait pas sauvé l' économie et le tourisme avec ses moyens, de nombreuses entreprises n'auraient pas survécu. Il est donc temps pour un pour cent des super-riches de redonner quelque chose à la société.
Il faut différencier la richesse gagnée par un travail honnête et la responsabilité des entreprises doit être évaluée par rapport à la richesse des spéculateurs.
Regardez la bourse, les spéculateurs et les sauterelles!
C'est bien beau de toujours critiquer (Tanbir) quand on est dans las cachots et à l'abri des projecteurs ... et qu'on en plus.... comble de cette 'cratie' on est dé'pute' é et qu'on toouche plus de 4000 dinars par mois en plus d'autres avantages ...