
Le président de la République, Kaïs Saïed a reçu, ce mercredi 23 septembre 2020, le chef du gouvernement Hichem Mechichi au palais de Carthage pour faire le point sur la situation générale dans le pays, concernant, en l’occurrence, la situation économique, sanitaire et politique.
« C’est une rencontre périodique qui nous permettra d’examiner la situation du pays et d’agir en harmonie, notamment, en ce qui concerne la gestion et la direction des rouages de l’Etat. Aujourd’hui, il est de mon rôle et de ma responsabilité de pointer en public et devant tous les Tunisiens les dernières nominations effectuées. C’est dire que les personnalités désignées font l’objet de poursuites judiciaires et la justice n’a pas dit son dernier mot dans les affaires les impliquant », indique Kaïs Saïed en faisant référence aux dernières nominations à la Kasbah effectuées par Hichem Mechichi, notamment, pour Taoufik Baccar et Mongi Safra.
Le chef de l’Etat a poursuivi : « Vous étiez membre de la commission de Abdelfatteh Amor, et vous savez plus que quiconque les faits reprochés à ces personnalités. Elles ont perpétré des crimes contre le peuple tunisien et n’ont plus aucune place au sein de l’Etat. Leurs affaires sont encore devant la justice. Les PV nominatifs sont là, ainsi que toutes les données concernant les terrains qu’ils ont spoliés et l’argent qu’ils ont dérobé. Pourtant, ils ont été affectés à de hauts postes de l’Etat. Le chef du gouvernement doit examiner le parcours de ces derniers et revoir ces nominations qui ont déçu les Tunisies. Ces personnes doivent être jugées par une justice équitable ».
Kaïs Saïed a ajouté, dans le même contexte : « Il n’y a pas de verdict, aujourd’hui. Pour cause, leurs manœuvres pour entraver l’action de la justice. Cela dit, ils ont été éjectés par le peuple tunisien et il n’est pas question qu’ils accèdent de nouveau au pouvoir. Ces gens-là ont exploité l’Etat et doivent être jugés et sanctionnés. Je pense que vous avez la sagesse et la perspicacité vous permettant de remédier à cette situation. Ils veulent s’introduire à nouveau dans les rouages de l’Etat au nom de l’expérience et de l’expertise, alors que leur expérience se résume dans le vol et l’escroquerie ».
Pour finir, le président de la République a assuré : « Il y a une personne que je connais, qui veut avoir la mainmise sur le gouvernement, et s’y introduire sans apparaitre en public pour préparer la période à venir. Il y a des mesures que je serais dans l’obligation de prendre pour s’opposer à tout cela ».
M.B.Z


Cher vieillard
Dans mon article j ai bien dis , la lecture de certains travaux de science politique
Or votre stratégie de manipulateur a fonctionne automatiquement pour le rendre copier coller .
Je ne laisserais jamais le champ libre pour vous je combattrais vos idées destructifs de notre démocratie comme je peux vieillard.
Juge ton état un vieillard vivant le passe avec détresse.
Ce n'est tout simplement pas responsable.
Une question est-ce que ces deux baratineurs sont capables d´utiliser un notebook ou un smartphone? ..
Sorry, Mr. Hichem Mchichi ca s´appelle de n´importe quoi !
(Tabarak Allah 3aliek)
-Pétrole
-Gaz,
-Tourisme
Tout ce qui est composant essentiel comme recettes pour l'Etat sont quasiment à l'arrêt.
Une pléthore d'officiels représentant de ce qui reste d'un Etat qui se respecte "Présidents, ministres, gouverneurs, députés, maires, conseillers de tout bords, délégués et j'en oublie surement, accompagné d'une armada de fonctionnaires vont être payés par qui maintenant
Heureusement il y a la bière, qui entre TVA, Droit de Consommation, et Impôt sur les sociétés renfloue les caisses vides de l'Etat!!!!
Alors trinquons encore un peu plus pour que tout ce beau monde s'entredéchire et vive la bière et les ivrognes, les héros de la nation!
A la place de mechichi j'airais de suite envoyé ma démission... Car tant qu'il n'y a pas eu de jugement les nominés sont innocents et puis ils n'avait pas à les traiter de voleurs... Langage inapproprié surtout en public et humiliant pour mechichi...
Il ne sait pas écouter !
Il ne sait pas discuter !
Il est médiocre !
72 % ont voté pour lui, qu'ils assument maintenant ...
pour une question de vengeance ou de jalousie envers ces compétents donc mr le président vous etes un nul
https://journals.openedition.org/anneemaghreb/923
Si en copiant tes postes du Net, cela te permets de me traiter de vache, et de m'attaquer personnellement, tu crois que "Jibt Essid Min Ouedhnou" ? Estime-toi heureux que je réponds à tes commentaires, malgré l'importance que je t'ai accordé, tu te permets de maquiller. Et tu parle de manipulation et de mensonge ? Ma foi t'es un clown.
Donc, il s'est avéré que tu es un vrai "Bonobo" comme @GZ l'a bien décrit, de ce faite, que tu change de pseudos, que tu dis ce qui te plait, les qualificatifs que tu me jettent, te vont à merveille, tu t'es mis le doigt dans l'oeil tout seul comme un grand, et moi qui disait que j'ai enfin trouvé un adversaire digne du nom grand A. "Inti Feragh et Hkaytik Fergha".
Bon comme promis aussi, je tire le Jacob Laffon tout en versant du Dettol, parce que ça pue, poste ce que tu veux et change de pseudos autant que tu veux, je ne réagirai plus à tes torchons copiés/collés du Net, et tu parle de manipulation ? Tes prochaines insultes seront comme une "Kamia", vu que tu es vraiment la "Kamia" et la "Mazza" de ce forum.
Le pauvre, une fois un pseudo de tête de mort et une fois de tête d'un faucon, et une fois d'une tête d'un "Hsane" (Cheval),
tu vois je n'étais pas HORS sujet lorsque je t'ai parlé de "Bit Essaboune".
s entraide. Mchichi est un bureaucrate qui appartient a un monde revolu et qui ne peut faconner l avenir. Il commence sa gouvernance par faire revenir des tops rcdistes au pouvoir et par augmenter les salaires des gouverneurs deja nantis et consolide leur previliges. Preuve que le choix de ce bureaucrate etait mauvais.
Pour KS, il aurait préféré voir des responsables issues du corparatisme des magistrats ou des avocats et semble ignorait que pour DES PROBLEMES ECONOMIQUES il nous faut des économistes ET RIEN D'AUTRES.
Que reproche KS à ces messieurs ? A part le harcèlement de l'IVD, et autres populistes BOPUDOUROU traitres à la nation Tunisienne, ils n'ont rien trouvé pendant dix ans pour inculper ces messieurs. Ces instances qui ont dilapider l'argent du contribuable à faire le CON sans plus et la récriture de l'histoire . Aujourd'hui pour les inculper faute de délitson utilise des termes vagues et creux pour les discréditer comme « ils ont été éjecté par le peuple Tunisien »
NON MONSIEUR, ils n'ont pas été éjectés par le peuple Tunisien, mais par les Atlantistes qui cherchent des TARTOURIX à mettre aux commandes du monde Arabe. ON A EVINCE les SEULS HOMMES POLITIQUES PATRIOTES DE CES PAYS comme le leader Kaddafi, comme notre héros Saddem Hassine que NOTRE PRESIDENT ZINE EL ABIDINE BEN ALI avait soutenu et que vos amis de lo'IVD ont applaudi sa destitution et ont même demandé l'intervention de l'OTAN en Tunisie.
Bref toutes les valeurs de ce bas monde sont boulversées et ces patriotes qui vous ont donné une patrie payent aujourd'hui leurs travails et sérieux.
Soyez certains cher Président que ces messieurs COMME JE LES CONNAIS n'accepteront jamais ces nominations et cette humiliation et je vous invite à puiser dans intelligence de l'IVD, la justice transitionnelle, les instances de lutte contre la corruption, la Gafi, la BCT, la cour internationale ou tout autre populiste boudourou pour retrouver des motifs plus ou moins crédibles pour inculper ces honnetes fonctionnaires.
Je le dis et je le répète le malheur de ce pays c'est le couple batard islamo-anarchiste. Ces ados des années 80 qui refusent de grandir et crampent sur leurs idées dépassées d'une autre époque. Ces ados qui haïssent le sérieux et le travail.
En attendant, moi je reste aussi crampé sur mon rocher à El Haouaria à CON-TEMPLER la mer (comme un con dans son temple) dans l'espoir de rejoindre le prochain bateau pour LAMPEDOUZA.
(Og3odou fiha kaoumou ledhen) et comme dit notre adage bien de chez nous du fin fond de la khabia « Itha rit el 3arbi rekeb 3ala forka 9olloou sahha lahsann) pour nos amis francophones (s'il en reste) Si tu vois un gueux monter sur un bâton dis-lui MABROUK le cheval
Il a été poussé au pouvoir dans un vote sanction contre macrouna qui est aujourd'hui un allié de Nakba.
Donc je prévoi une sortie par la miniscule porte à ce monsieur.
La Tunisie est plein de compétences de tout âge, expérimentés et intègres et n'ont pas de dossiers en justice ni en cours de traitement et ni des anciens dossiers ....
Donc, pourquoi ne pas choisir ces gens et éviter ces polémiques ? Pourquoi ne pas recourir à ces personnalités et éviter ces polémiques ?
Pourquoi nous insistons à appeler l'ancienne génération --- qui en réalité , elle est responsable de notre situation socio-économique -- actuelle , très mauvaises?
Pourquoi ne pas changer d'esprit à travers d'autres gens intègres et compétents qui sont indénombrables
Certainement, le Président a étudié les dossiers de ces deux préposés conseillers, et certainement qu'ils sont inculpés d'une façon ou d'une autre et sachant qu'ils ont eu leurs chances ' plus que leurs chances ' pour des périodes déterminées et sachant que les résultats n'étaient pas excellents ou hors normes, pourquoi les désigner encore une fois
Il est temps de travailler et ces problèmes ne pourraient que nous retarder davantage pour évoluer et améliorer l'économie !
Les urnes? Tout européen un peu cultivé, connaissant comment fonctionnent les renseignements généraux, sait que l'on peut faire faire n'importe quoi aux urnes. Il suffit d'user de manipulation médiatique et les moutons de Panurge votent comme un seul homme. Les pourcentages réels sont connus bien avant les scrutins, ceux-ci n'étant, en réalité, qu'une mise en scène solennelle. D'ailleurs, quitte à vous étonner, sachez que les canards français les plus prétendument libres sont ceux qui sont le plus utilisé pour oeuvrer dans le sens du pouvoir. C'est comme cela qu'un célèbre canard qui se dit enchainé, ne croit pas si mal dire, puisque d'après le Livre de Mme Henri (Histoire secrète des RG) est posé sur le table des RG tous les mardis pour accord de publication. Belle mise en scène pour le peuple se croyant libre, rien qu'en lisant le canard!
Lorsque la manipulation dépasse les normes, on peut parfois assister à des surprises (quand même bien controlées), par exemple un dauphin du second tour un peu inattendu. L'exemple type est Le Pen contre Chirac à cause de la très haute manipulation qui visait à écarter J.P Chevênement; ou encore Macron contre Marine à cause de la non moins grande manipulation qui visait à écarter F. Fillon.
Bref, les chefs d'orchestre de ce monde au service des finances, font ce qu'ils veulent de la foule qui, par définition, est bête.
Les systèmes "démocratiques" sont une aubaine pour les manipulateurs, jusqu'au jour où la main de Dieu s'en mêle. Car en réalité il n'y a aucune "démocratie" lorsque les manipulateurs se sentent en difficulté. Ils seront les premiers à s'assoir sur les principes de la démocratie à laquelle ils ne croient pas plus qu'ils ne croient en ce qu'ils se complaisent à appeler les "dictatures".
Ce sont quand même ces manipulateurs et leurs systèmes démocratiques qui ont fait les camps de concentrations, qui ont fait Hiroshima et Nagasaki, qui ont fait Sabra et Chatila, les guerres du Golfes et les "printemps" arabes si chers aux printologues de tout bord, dont notre président expert en langue et en écriture; et surtout en droit de condamner sans jugement.
J'ai mis du temps à bien le cadrer. car la jeu était très couvert et très habile. Mais là, je vois exactement d'où il vient. C'est le plan B des faiseurs de printemps quand, dans la logique des choses, le peuple commence à regretter la belle Tunisie de Ben Ali, détruite par les criminels et les haineux, ainsi que les aigris qui se vengent en réalité de Dieu (Il le leur rendra, inchallah).
En réalité il s'agit du deuxième mur qui doit protéger la révolution des atlantistes initiée par les satans classiques, à savoir Freedom House, Otpor et consorts qui avaient formé nos chers blogueurs traitres (il ne faut pas l'oublier). Ce sont très vraisemblablement les mêmes qui nomment les chefs d'états en Europe.
Mon premier indice fut quand même la nomination du premier premier ministre de Saïed: Le Fakhfakh que le peuple a placé en dernier lors des élections présidentielles et que monsieur "Echa3bou Yourid" (démagogie!) a imposé au peuple qui l'a placé dernier. Ce fut un premier indice.
Notre Lucky Luke national se retourne plus vite que son ombre!
Après une mue qui aura duré presque deux années, où il se sera débarrassé de la fausse peau de souverainiste tunisien (et même arabbe!!) qui en aura fait espéré quelques uns, le voilà dans sa vraie peau, celle d'un protecteur de la révolution atlantiste qui commençait à battre de l'aile. Il fallait un leurre et non un islamiste proclamé ou un membre de la ligue de protection de la révolution ou autre révolutionnaire visible pour faire voter les jeunes imbéciles comme un seul homme.
Pour les manipulateurs, il ne faut surtout pas respecter l'avis du peuple. Ils ne veulent plus entendre parler de réussite en Tunisie; cela les dérange vraiment, et le but final c'est d'appauvrir le pays jusqu'à la chute de l'université tunisienne.
Peuple de traitres, votre ingratitude aura détruit 55 années de construction et les destinées de la Tunisie depuis 2011 est dans les mains de gens qui vous ont mis dans une situation de colonisés.
Alors revenons à ceux qui ont volé le peuple:
- Est-ce que ce sont ceux qui lui ont laissé une économie florissante ou bien ceux qui l'ont endetté sur trois générations?
- Est-ce que ce sont ceux qui lui permettaient de remplir un couffin à 20 dinars ou bien ceux qui l'ont affamé?
- Est-ce ceux qui le payaient des deniers de l'état ou bien ceux qui le payent par l'argent du FMI?
- Est-ce ceux qui ont protégé ses enfants ou bien ceux qui les ont envoyé au Jihad contre des musulmans en Syrie.
Monsieur le Président, vous manquez manifestement de pudeur, en traitant les "anciens" de voleurs. Pour les destinées d'un pays, il ne s'agit pas de voir la moralité des gens, mais ce qu'ils ont apporté au peuple. La moralité, Dieu s'en chargera, et vous n'êtes pas Dieu. Quant à ce qu'ils ont apporté au peuple, et ce que VOUS autres révolutionnaires aurez apporté au Peuple; c'est le Peuple qui le ,jugera et soon jugement risque de manquer de miséricorde; car le Peuple aussi n'est pas Dieu.
On ne choisit pas un entraineur d'une équipe dans la mosquée d'Al Azhar. Sa moralité en s'en fout car la moralité d'un entraineur c'est seulement de réussir et de gagner. Votre moralité a e une seule conséquence: Nuire aux deniers de l'état car vous ne connaissez rien à ce jeu et que les gens que vous traitez de voleurs le connaissent et peuvent servir le peuple. Un peuple qui cherche d'abord à se nourrir: C'est là le premier droit et la première des exigences de la démocratie comme l'avait dit Jacques Chirac (ce Vrai Homme d'état), pour expliquer l'efficacité et la réussite de Ben Ali.
Vive la Mémoire de Ben Ali (n'en déplaise au traitres)
Vive la Tunisie de Bourguiba;
A bas les traitres à la solde des atlantistes.
Léon, Min Joundi Tounis Al Awfiya;
Résistant.
VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES.
Il est urgent d'installer la cour constitutionnelle.
Mr. Mechichi et pour protéger son autorité devrait envoyer un message fort et maintenir ses deux conseillers. De cette façon, il montre qu'il est bien le chef du gouvernement, sinon il ne pourra plus faire grande chose.
Au milieu des années 2000, la lecture de certains travaux de science politique donnait à penser que le régime mis en place par le président Ben Ali paraissait devoir durer. On évoquait la « force de l'obéissance » et la règle de « l'accommodement négocié » qui, telles une loi d'airain, régissaient les relations entre la population tunisienne et le pouvoir politique.
2Or, depuis le milieu des années 2000, la question lancinante de la succession d'un président Ben Ali malade et les ambitions de la belle famille Trabelsi aspirant d'une façon ou d'une autre à prendre sa place posaient la question de la durabilité du régime. La perspective de voir la coterie mafieuse entourant le président Ben Ali accéder directement au sommet de l'?tat apparaissait insupportable aux différentes catégories sociales de la population tunisienne, y compris chez une partie de l'oligarchie au pouvoir pour qui les Trabelsi n'étaient que des parvenus. Dans une telle configuration, la base de légitimité du régime paraissait de plus en plus friable.
3Par ailleurs, l'affaiblissement de la capacité redistributive de l'?tat tunisien consécutive à la crise financière internationale de 2008 et à la dégradation de la situation sociale, notamment celle des diplômés originaires de l'intérieur fortement touchés par le chômage, conduisait certains chercheurs à s'interroger sur les contours d'un mouvement social qui serait susceptible d'ébranler les bases du régime et d'inaugurer une « ouverture de la structure des opportunités politiques » . Certes, les mouvements protestataires apparaissaient comme sectoriels, les politiques de dépolitisation et de coercition menée par le pouvoir de Ben Ali empêchant le développement de « mobilisations multisectorielles » , qui auraient pu déstabiliser le régime, comme cela avait été le cas à la fin du règne de Bourguiba. Toutefois, la révolte du bassin minier de Gafsa était révélatrice d'une mobilisation sociale inédite dans la mesure où le régime de Ben Ali avait mis plus de six mois à la réduire. Ce mouvement de Gafsa donnait « à penser que le 'pays de l'intérieur'?' » pourrait « jouer aussi un rôle dans la redéfinition des enjeux politiques futurs et la transition vers un nouveau type de régime ». En fait, la machine sécuritaire tunisienne confrontée à une « révolte par le bas », animée par des citoyens ordinaires, a révélé les difficultés du régime autoritaire tunisien à faire face à un mouvement de protestation populaire. Cette révolte était « le signe d'un ébranlement du Pacte de sécurité, ce contrat social implicite entre l'?tat et le peuple, que certains auteurs considéraient comme le principal moteur du régime de Ben Ali »
4Par certaines de ses dimensions le mouvement protestataire de la région de Gafsa apparaît comme une anticipation du soulèvement populaire qui a conduit au départ du président Ben Ali. Une grande partie de la population avait le sentiment que le bassin minier n'avait pas bénéficié de la même sollicitude de la part du pouvoir central que d'autres régions, notamment le Sahel, principal pourvoyeur en élites politiques et économiques tunisiennes. Les « laissés pour compte du marché du travail », i.e. les diplômés chômeurs, les travailleurs précaires et les veuves de mineurs se sont mobilisés pour réclamer la justice sociale et la dignité (al-karama). Formuler de telles revendications revenait à dénoncer le népotisme, ainsi que les pratiques clientélistes et tribales des dirigeants locaux du parti-'?tat, le Rassemblement constitutionnel démocratique (RCD)et de la centrale syndicale, l'Union générale tunisienne du travail (UGTT), dans la distribution des emplois. Toutefois, la révolte du bassin minier n'a pas débouché sur un changement de régime. Peu relayée par les médias occidentaux et tunisiens, la mobilisation est restée cantonnée à la région de Gafsa et a connu relativement peu d'écho sur Internet, bien que certains sites l'aient médiatisée. Face à la répression et en l'absence de soutiens suffisamment solides dans la société, l'épisode conflictuel de Gafsa est retombé et n'a pu déboucher ni sur un mouvement social durable, ni a fortiori sur le renversement du régime, à la différence de l'épisode protestataire initié à Sidi Bouzid le 17 décembre 2010.
La phase transitionnelle engendre de nouvelles formes d'action et stimule le débat public. Mais dans le même temps, elle recèle des risques de désordre qui peuvent susciter des contrecoups et des reprises en main de la part de certains acteurs disposant de moyens de coercition. Il serait toutefois hasardeux de se livrer plus avant à des conjectures tant la situation est exceptionnelle : tout comme la plupart des observateurs, l'immense majorité des Tunisiens n'imaginait pas possible, avant le 17 décembre 2011, que le régime politique mis en place par Ben Ali le 7 novembre 1987 ne s'effondre.
a suivre
Ecrit par A4 - Tunis, le 21 Septembre 2019
Mon bulletin ne veut plus se jeter à l'eau
J'ai beau lui acheter palmes et beaux maillots
Il ne veut plus grimper, passer par la fente
Pour plonger dans des eaux sales et gluantes
Il a promis et juré de ne plus le faire
De ne plus se faire avoir de cette manière
Par ces bandes de truands et politicards
Qui ont transformé des espoirs en désespoir
Il est très têtu et les choses sont ainsi faites
Il ne veut plus jouer au dindon de la fête
A celui qu'on jette soudain dans des eaux troubles
Pour s'amuser à parier à quitte ou double
Il ne veut plus de cette classe d'inclassables
De tocards véreux, corrompus et minables
Il ne veut plus se retrouver dans une boîte
Pataugeant malheureux dans une chaleur moite
Il me l'a dit ce matin sans mâcher ses mots
Sans tergiverser et tourner autour du pot:
"Je ne peux choisir dans ce royaume de lépreux
Entre programmes misérables et plans foireux"
"Peste ou choléra, choléra ou peste
C'est hélas un type de jeu que je déteste
Choléra ou peste, peste ou choléra
C'est du pareil au même, et qui vivra verra !"
PS: Et que voit-on ?
1) Une constitution débile qui donne un état souffrant d'une malformation congénitale: une bête a trois têtes qui passent leur temps à se dévorer mutuellement.
2) Un président malade mental qui carbure à la haine sans plomb ... pour l'instant. Mais le plomb ne va pas tarder à débarquer.
Il tient un langage de transparence qui surprend dans un pays où les ruses et la mauvaise foi sont la norme. Ses pouvoirs sont limités face à un monde politique de fieffés et une classe de possédants, anciens et nouveaux riches, qui ne sont pas disposés à partager le gâteau, alors il bouscule leurs certitudes et heurte les puissances des appareils cramponnés aux usages fort peu loyaux ou légaux.
Il déçoit ceux qui croient à la vertu de la parole, ceux qui voyaient en lui le chevalier blanc prêt à en découdre avec l'empire des turpitudes parce qu'il n'a pas les moyens de son projet, lui qui voyait grand jusqu'à rendre au peuple son pouvoir.
C'est peut-être ce peuple qui n'est pas assez grand, ni disposé à vivre selon les lois d'un ordre plus juste.
Au fond, cet homme ne mérite ni l'excès d'adhésion qui l'a porté là ni le désamour qui risque de l'emporter.
Personne, me semble-t-il, n'est assez soucieux de l'intérêt général, et encore moins du souci de l'autre. L'égoïsme est la vertu cardinale et le mépris du surnuméraire le must chez les in, ce qui quoi qu'on veuille est la source de l'anarchie observable et du désordre des sentiments. Ce qui ne fait pas un pays, ni un peuple uni autour d'un projet....
C'est quoi la politique ?
en général, la politique d'une communauté, d'une société, d'un groupe social, au sens de Politeia, se conforme à une constitution rédigée par ses fondateurs qui définit sa structure et son fonctionnement (méthodique, théorique et pratique).
Deuxièmement
Comment définir la démocratie ?
La démocratie est devenue un système politique dans lequel la souveraineté est attribuée aux citoyens qui l'exercent de façon : directe lorsque les citoyens adoptent eux-mêmes les lois et décisions importantes et choisissent eux-mêmes les agents d'exécution, généralement révocables.
Troisièmement
Quelle est la différence entre la république et la démocratie ?
La république désigne un mode de gouvernement dans lequel le pouvoir est exercé par des personnes élues. Une république est typiquement antonyme d'une monarchie héréditaire, mais n'est pas toujours synonyme de démocratie.
Alors
La théorie de l'équilibre des puissances suggère que la sécurité nationale est accrue lorsque la capacité militaire est répartie de telle sorte qu'aucun '?tat n'est assez fort pour dominer tous les autres. ... Cette compétition empêche une puissance de prendre le dessus sur une autre.
L'équilibre des puissances désigne le rapport d'équilibre se formant lorsque plusieurs puissances nationales, plus ou moins égales, entrent en compétition. Cette compétition empêche une puissance de prendre le dessus sur une autre.
La révolution a donne a la Tunisie la démocratie
Je vous dis et je le répète vous ne comprendrez jamais la démocratie et encore plus la nouvelle Tunisie.
C est pourquoi je dis toujours
comme une vache qui regarde passer le train.
Rien ne va plus !
Personne ne s'entend avec personne , et le courant passe encore moins entre Carthage et le Bardo !
Ne parlons de la ribambelle de partis , tous opposés les uns aux autres , et dont la plupart ne peut plus voir le président de l'arp en peinture !
Et ça veut faire sortir la Tunisie de la crise et apporter la stabilité et la confiance dans ce pays !
On a mis à la tête du pays un homme pour sa seule probité ! Les électeurs voulaient un homme propre , seule compétence requise .... et on s'est retrouvé avec un homme propre et .... c'est tout !
A ce compte là , le dirigeant d'Omo aurait fait un meilleur candidat , car non seulement il est propre , il vend du propre et il sait gérer des hommes , des femmes , un budget , faire des prévisions ..... !
K. S. a cru désigner un homme comme cdg pour faire sortir l'exécutif de l'orbite de ses propres opposants , et allez savoir pourquoi , il l'a renié aussitôt , le précipitant de facto dans les bras de ses concurrents !
La confiance et donc rompu et le voilà avec un cdg qui ne vient que par courtoisie et qui n'a plus à rien à faire de ses conseils !
Le pouvoir a changé de main , et le cdg à toutes les clés ... il peut même , qui sait , couper l'eau et l'électricité du palais à celui qui ne fait que pérorer !
Vous dites n'importe quoi sur le cas Sarkozy, la justice suit son cours et il est inculpé dans trois ou quatre affaires et donc attendons sereinement les verdict des juges.
Vous avez une haine pour la France qui certainement vous héberge et qui vous accorde plein d'avantages mais l'arabe n'est jamais reconnaissant . Votre nationalisme obscurantiste n'a d'égal que votre islamisme rétrograde
-Un CGD qui VOULAIT bien faire les choses, mais il s'est trouvé en face d'un tourbillon mortelle, une mission Kamikaze, entre un "Antar Ibnou Chadded Mdharra7" et "Abou Nawas converti en islamiste light", alors il a fait son choix : Rester en vie et que le prochain s'en charge, quant à moi, je vais traiter avec la majorité, qu'elle soit X ou qu'elle changera Y, je serai avec celui qui sera debout.
-Un président de l'ARP qui est prêt à TOUT faire péter, rien que pour garder la main mise de sa secte sur tous les rouages, et vendre le pays à son mentor Turc, de chez tête de turc.
-Une ARP de bandes de ramassis, d'arrivistes, de terroristes, de malfrats, de contrebandiers, de mercenaires, de traitres, de comploteurs et de vendu(es) au plus offrant, leur mot d'ordre est : Se vendre pour du Cash.
-Une UTICA et une UGTT : Chacun pour soi, mais dieu choisira entre l'argent et le fond de commerce "Zaouali" dans une autre vie, en réalité, on est amis, les deux on a des FONDS.
-227 partis politiques pour 11 millions d'habitants, on est à 27 partis politique de plus que l'Inde, qui compte 1 milliard 400 milles habitants (!!!!!!!).
-Un peuple très naif au point de la débilité, on lui a fait croire qu'il est le plus intelligent des peuples, avec son printemps démocratique décidé par la marraine Hillary Clinton, et les Sir Tony Blair et David Cameron qui nous ont concoctés la mosaique des exilés présumés "Opposants", dont le "Akbala Albadrou 3alayna".
Le pire, c'est que ce même peuple croit toujours, après 10 ans, qu'il vit une démocratie réelle sous le joug des islamistes qui travaillaient pour le compte de l'Angleterre, des sionistes et des USA.
Il croit aussi qu'il pourra bâtir un pays développé, à la page, digitalisé où opportunités, égalité et justice.
Est-ce que vous avez tout ça ?
Et vous osez parler de REVOLUTION et d'ETAT ?
Une seule seule que la Tunisie pourra en être fière : C'est le 1er pays exportateurs de Djihadistes et de terroristes. Yoopi.
Baraket "El Barouita" et "Les révolutionnaires de tante Hillary".
La Tunisie est l'anecdote contemporaine, c'est tout ce qu'ils nous ont trouvé, vous savez qui ? Nos voisins les Marocains et les Algériens et ils ont raison.
Le fameux "JHA" n'existe plus, il a été remplacé dans les histoires par "Tunisien".
Dépourvu de toute vision politique et de tout sens de l'Etat, ce Monsieur veut instituer un régime de terreur. Habité par la complotite, il déverse sa haine et sa hargne chaque fois qu'il ouvre le bec
Il est prêt à envoyer à l'échafaud toute voix discordante
Toutes les forces démocratiques devraient se mobiliser pour parer à la menace qu'il représente.
Rabbi yostor.
l'immunité parlementaire, présidentielle est une aberration française. Boris Johnson n'a pas d'immunité, pas plus que les membres du House of Commons. ie. tous égaux devant la loi.
aux USA, Nixon, Trump ... pas d'immunité
en France, le truand Sarkozy, cité dans plusieurs affaires criminelles, échappe à la justice grace à l'immunité.
encore une fois vous copiez la France comme moutons écervelés.
Dans les postes importants on a mis des bureaucrates qui vont éviter tous risque et toute confrontation surtout avec l'UGTT puisqu'il était membre de ce syndicat il n y a pas si longtemps.
Ensuite comme conseiller il a fait appel a un conseiller de Leila Trabelsi et a Baccar qui prône l'austérité pour équilibrer les budgets. Avec Mechichi la situation risque de s'empirer. Mais il n'a probablement pas demander d'être placer dans une situation si délicate pour accomplir une tache ingrate.
Et si on attend la douteuse justice tunisienne aux pas de la tortue, alors il faut rêver !
Kais Saied donne tout le temps des leçons. C'est lui apparemment qui a imposé la ministre des domaines de l'état et voilà maintenant que l'un des juges accuse cette ministre et ancienne juge proche de Saied de s'ingérer dans les affaires par téléphone. Il a supporté aussi Fakhfakh jusqu'au dernier jour malgré ses affaires.
Mechichi est libre de prendre les conseillers qui peuvent l'aider. Tant qu'ils ne sont pas jugés, ils peuvent travailler, le jour il y'a un jugement contre l'un de ces conseillers, ce jour-là, il peut retirer sa confiance d'eux.
C'est vraiment scandaleux de voir le président s'ingérer dans les affaires du chef de gouvernement en contradiction totale avec la constitution, a Mr. Mechihci de tracer des lignes rouges lui aussi