
Des universitaires et chercheurs en droit ont adressé, jeudi 10 février 2022, une pétition au président de la République, Kaïs Saïed, l’appelant à revenir sur sa décision de dissoudre le Conseil supérieur de la magistrature (CSM).
Le chef de l’Etat a, rappelons-le, annoncé samedi dernier sa décision de dissoudre cette instance pour ensuite se rétracter en précisant qu’il compte dissoudre uniquement sa composition actuelle et la remplacer par une instance provisoire transitionnelle. Aucun décret n’est, cependant, venu confirmer cette décision.
Qualifiant la décision de Kaïs Saïed d'atteinte au principe de séparation des pouvoirs, les signataires de la pétition ont exprimé leur rejet total de toute initiative de réforme judiciaire unilatérale à travers des décrets soulignant leur attachement à une démarche participative pour une refonte du système judiciaire.
Ils ont dénoncé, également, le contexte dans lequel le chef de l’Etat a annoncé sa décision considérant cela comme une violation flagrante de la civilité de l’Etat. Kaïs Saïed s’est, rappelons-le, exprimé à ce sujet lors d’une visite au ministère de l’Intérieur.
N.J.
Je suis très impressionné par les intitulés précédent !!!
Chercheur en quoi, je me le demande.
A mon avis, et ça n'engage que moi, leurs recherches doivent toutes converger sur : Comment négocier le prix de l'honneur et de la rjouliya !!!
Ils ont beau être universitaires et chercheurs en droit,ils ne sont pas moins faciles à arnaquer!
Comment depuis 2014 ont-ils pu s'accommoder de la non-instauration d'une Cour Constitutionnelle telle que stipulée dans le Destour de 2014 et dont l'absence est seule responsable de la situation vécue aujourd'hui?
Ce manque flagrant de,que sais-je comment le définir, de devoir de citoyenneté,de sens de patriotisme ou à défaut ce qui est encore plus grave d' INCOMPETENCE ,mais il y a de quoi s'arracher les cheveux!où étaient-ils durant toutes ces années?
Y avait-il une "séparation des pouvoirs" avec les khwenjia bhiri et ghannouchi qui manipulaient tous les juges lâches et corrompus ?
Le CSM en Tunisie est une institution composée de multiples professions (comme en France) au service de la justice, et cette mosaïque de professions veut dire pour un pays du tiers monde comme la Tunisie (car on est pas en France ou au US) que cette instance est ingouvernable et dans l'incapacité de prendre des décisions surtout dans l'état actuel de déliquescence de l'état moderne Tunisien. Donc cette instance étant divisée a été accaparée ou bloquée par les barbus, comme d'habitude seul groupe organisé, faisant obstacle a toute prise de décision audacieuse et efficace afin d'assurer la bonne marche de la justice. Alors est ce que le président Saied avait le choix face à cette situation? Au final Saied est entrain de défaire toutes les manigances construites par les barbus durant les 10 dernières années pour assainir ce pays qui étouffe et ces soit disant universitaires sont même pas foutu de le voir , ou au moins de se taire..