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Des tests de dépistage de consommation de drogues dans les milieux scolaires : qu'en est-il ?

Temps de lecture : 1 min
Des tests de dépistage de consommation de drogues dans les milieux scolaires : qu'en est-il ?

 

Le ministère de la Santé a souligné, dans un communiqué publié ce samedi 25 janvier 2020, qu’il ne compte pas mener de campagnes de dépistage de consommation de drogues dans les milieux scolaires. L'information a circulé sur les réseaux sociaux et dans certains médias.

 

« Contrairement aux rumeurs qui circulent sur l’intention du ministère de la Santé d’effectuer des campagnes de dépistage dans les écoles, instituts et universités publiques et privées pour appréhender les consommateurs de drogues de toutes sortes, le ministère précise que ces allégations sont sans fondement et que ses structures, présentes dans les milieux scolaires ont uniquement un rôle de sensibilisation », souligne le communiqué.

 

 

M.B.Z

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Commentaires
Petit x
Il faut le faire absolument.
a posté le 26-01-2020 à 11:45
C'est pourtant la meilleure solution pour limiter les dégâts.
En effet, en identifiant les consommateurs de drogue et en informant leurs parents, ceux-ci seraient mis devant leurs responsabilités puisqu'ils n'auront aucune excuse de faire semblant de ne pas savoir pour beaucoup d'entre eux et doivent prendre le taureau par les cornes dès le départ. En plus cette démarche dissuaderait beaucoup d'enfants de peur d'être dénoncés à leurs parents.

Air
C'est delicat
a posté le 26-01-2020 à 11:18
@abou walid
On ne peut pas decider ce genre de chose et le faire simplement. Quelle seront les consequences pratiques de decouvrir qu'un adolescent est imbibé de substances illégales ? C'est pénal, non ? Donc, c'est un mineur qui devra être mis en prison. Ou son père, qui en est responsable legalement, ou en tous les cas plein de tracasseries inutiles et aggravantes.
Il faudrait surveiller les abords des lycees, et convoquer les parents et discuter avec l'élève soupçonné d'être sous l'effet d'une drogue. Trouver une solution individuelle et non collective, si ce n'est la prévention.
Dans le Sud du pays, certains enseignants disent 'ne plus pouvoir enseigner dutout tellement les eleves planent sous l'effet de la zatla'. Cela dure depuis plusieurs annees sans que rien ne soit fait.
Pas punir mais surveiller l'entourage, arreter les dealers, discuter, et impliquer les parents. Je suis sure que les dealers sont plus que connus. Remonter à la source. Et surtout oui, se preoccuper de ce grave problème de société.
Abou Walid
Bonjour les dégâts !
a posté le 26-01-2020 à 10:32
Pourtant le dépistage en milieux scolaire et universitaire serait une bonne chose pour tous, les intéressés et leurs parents ainsi que les autorités, ne dit-on pas "Mieux vaut prévenir que guérir" ou encore " En amont on peut circonscrire un incendie facilement alors qu'en aval bonjour les dégâts ".

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