
Le ministère du Commerce a assuré dans un communiqué émis samedi 23 janvier 2021 que l'affaire des denrées alimentaires avariées, soulevée par les médias ces derniers jours, faisait l’objet d’inspections.
Le président de la commission parlementaire de l’agriculture, Moez Belhaj Rhouma, avait affirmé qu’il existe des grande quantités de riz avarié ainsi que d’autres denrées alimentaires tels que le café et le lait, stockées dans les entrepôts du port de Radès.
D’après le communiqué du ministère, l’inspection générale au sein du ministère du Commerce exerce son contrôle depuis le 3 décembre 2020. Une autre mission d’inspection a été confiée à la haute commission de contrôle administratif et financier depuis le 27 octobre 2020.
Le ministère du Commerce a souligné que ses services devraient traiter le dossier sur la base des résultats des missions de contrôle, et apporter les éclaircissements qui s’imposent à l’opinion publique en toute transparence et objectivité.
Le ministère a précisé qu’il allait prendre les procédures nécessaires en toute coordination avec les parties prenantes. Le ministère a, également, assuré qu’il s’est engagé à interagir positivement concernant les données révélées à ce sujet.
I.M.

Je ne généralise pas, car il existe encore, heureusement, des commerçants scrupuleux qui n'achètent que des produits de bonne qualité. Mais toute la filière est à auditer et à réorganiser. Cela commence par les officines d'achat, qui se sont multipliées en raison des gains importants et faciles, en passant par les moyens de conservation, qui doivent obéir à des normes rigoureuses en fonction des marchandises. Les compétences qui interviennent à toutes les étapes du processus doivent également être formées et certifiées. Nul ne devrait avoir le droit d'intervenir s'il ne possède une connaissance suffisante des conditions, des normes et des contraintes des opérations. Or, actuellement, c'est vas-y que je te pousse !
Les services publics chargés de ce secteur, en particulier l'OCT, plutôt que d'être eux mêmes des opérateurs, doivent laisser cette tâche aux privés et se consacrer à l'encadrement, au contrôle, à la formation et au suivi. Leur rôle véritable et leur fonction principale est de se montrer vigilants, je dirais même intransigeants, sur la question de la qualité, de la conformité aux normes et de la salubrité, et ne pas minimiser les risques pour le consommateur en cas d'avarie. Son DG n'a-t-il pas déclaré récemment : "les vers et les charançons ne nuisent pas à la santé" ?
C'est vraiment le comble de l'irresponsabilité et de l'hérésie !
Vider le devises pour (acheter)débarrasser la merde d'autres pays
Malla Hala fi hel Bled
Mohsen
Maintenant il appartient à la justice de faire le nécessaire et rappeler chacun à ses obligations.
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