
L’avocate, Dalila Ben Mbarek Msaddek, membre du comité de défense du candidat à la présidentielle, Ayachi Zammel, a souligné que le jugement rendu aujourd’hui contre le candidat n'invalide ni sa candidature ni les votes en sa faveur.
“ Il s'agit d'un jugement définitif et non irrévocable. Il s'agit d'un jugement rendu après la validation de la candidature et qui n'a pas d'effet rétroactif. Il s'agit d'un jugement qui ne comporte pas d'interdiction de candidature. Nous condamnons uniquement le procès inéquitable” a expliqué l’avocate.
Le président du comité de défense de Ayachi Zammel, Abdessatar Messaoudi, a annoncé, aujourd’hui, que la Cour d’appel de Jendouba a confirmé le verdict du candidat à la présidentielle Ayachi Zammel en première instance.
Le 18 septembre 2024, le candidat Zammel avait écopé d’une peine de vingt mois de prison par le Tribunal de première instance de Jendouba pour avoir "falsifié des parrainages".
L’avocat a réitéré la violation flagrante des procédures et annoncé qu'il y aura un recours contre le verdict dès demain.
Plus tôt dans la journée, Abdessatar Messaoudi avait dénoncé fortement le refus de la Cour d’appel de Jendouba de permettre à la défense un délai pour prendre connaissance du texte du jugement de première instance, évoquant un grave précédent.
Un autre avocat de M. Zammel, Faouzi Jaballah avait commenté les manœuvres de cette journée en estimant que : « La raison est claire : ils insistent pour obtenir un jugement d'appel avec effet immédiat avant le 6 octobre ». Un jugement qui pourrait donc invalider les résultats du candidat.
M.B.Z
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Assieds-toi ; relaxes-toi ; calmes-toi, et penses-y bien à deux fois avec objectivité et rationalité, avant de te prononcer.
Ne peu être révocable ou irrévocable
C'est suffisant !
Les pauvres, ils ne savent plus sur quel pied danser.
Ils s'accrochent à la moindre aspérité, espérant remettre en question, les décisions de la justice.
Ohé, Kaissoune, notre intègre et honnête président sans peur ni reproche, vous a répété infiniment de fois, qu'aucun retour en arrière n'était envisageable.
Sinon, vas-y, parles-en à Killary Clinton, et même à Kamela, pendant qu'on y est.
On ne sait jamais.
Malheureusement pour vous, John McCain et Madeleine Allbright, ont rejoint depuis un petit moment, leur destination finale.


