
Hamadi Boubakri, membre du bureau exécutif de l’Union tunisienne de l’agriculture et de la pêche (Utap), a expliqué que le stock de lait disponible en Tunisie suffirait à couvrir une consommation journalière de neuf à dix jours. Ceci, évidemment, sans compter la production journalière.
Au micro de Jihene Miled dans l’émission Sbeh Enness sur Mosaïque Fm, vendredi 28 octobre 2022, il a expliqué que « le stock actuel est de 13 millions de litres de lait. Ce stock suffit à une consommation de neuf à dix jours, si on ne compte pas la production journalière. La production journalière, quant à elle, est de 1,2 million de litres de lait, en moyenne » ajoutant que « la consommation quotidienne est de 1,6 million de litres et 400.000 litres sont pompées sur le stock afin d’alimenter le marché local ».
Hamadi Boubakri a expliqué qu’il ne faut pas croire qu’il n’y aura plus de lait dans neuf jours et qu’on ne peut, à l’heure actuelle, parler de crise grave. Il a appelé, cependant, les autorités à intervenir afin de soutenir les producteurs qui « souffrent de la hausse des prix impactant le coût du fourrage » et ce à travers l’augmentation des prix de vente du lait pour les agriculteurs.
Au mois de septembre dernier, le président de la Chambre syndicale nationale des collecteurs de lait, Hamda Aifi, avait affirmé que les difficultés auxquelles fait face le secteur pourraient conduire à une rupture totale des stocks de lait.
Il a précisé que les stocks de régulation du marché avaient baissé de 45 à 20 millions de litres soulignant la nécessité d’une intervention urgente des autorités.
Dénonçant le mutisme des responsables, Hamda Aifi a noté que la situation du secteur était fort préoccupante. Il a ajouté que les problématiques pourraient être résolues à travers la régulation des prix des fourrages et des primes de collectes de lait.
R.B.H
Le taux de gluten dans les farines de nos jours est trop élevé pou garder une bonne santé, Il faut mager du pain une fois par an.
Les pommes de terre font grossir, Il ne faut plus en planter,
Les tomates sont allergènes et a eviter comme la peste,
L'eau il n'y en a pas assez vu la pluviométrie faible, Il ne faut plus en boire
Les '?ufs sont bourrés de mauvais cholesterol, Ils ne servent que comme masques de beauté
Le lait n'est pas nécessaire pour les adultes, et est principalement destine aux veaux
Le petrole pollue la planète, il faut aller au travail sur des ânes
Le gouvernement est une bande d'ânes dont il faut se débarrasser le plus tôt possible.
Dans les affirmations ci-dessus il n'y en a qu'une a retenir pour notre bien, Devinez laquelle,
Maintenant, c'est le lait qui devient une denrée rare.
Même notre agriculture et les produits agroalimentaires souffrent.
Certes, la sécheresse est en grande partie source de ces pénuries mais la crise mondiale et les spéculations contribuent à l'aggravation de cette situation.
Le pouvoir en place n'a pas encore pris l'ampleur du problème dans la mesure où les questions socio-économiques sont reléguées à ses soucis secondaires.
Les rayons des magasins et des marchés déjà vides sont la preuve d'une crise alimentaire bien installée.
Aujourd'hui, plus de deux millions de citoyens ne mangent pas à leur faim.
Du jamais vu dans le pays même durant l'expérience collectiviste sous le règne d Bourguiba.
Aujourd'hui, en Tunisie, il y'a des gens qui tentent de survivre en mangeant un seul petit repas par jour.
Le phénomène des chiffonniers ne cessent de proliférer à la vitesse du vent et les fouilleurs de poubelles nous habituent à un spectacle désolant.
Le comble,...le pouvoir juilletiste ne réagit pas malgré une situation très alarmante.
D'ailleurs, on nous parle d'un accord avec le FMI mais personne ne connait ni ses tenants ni ses aboutissants.
Et il se murmure que le gouvernement prépare son désengagement dans la gestion de la caisse de compensation.
En parallèle, les prix grimpent et le taux d'inflation a atteint un chiffre ahurissant.
En un mot, le bateau risque chavirer à tout moment mais le capitaine et ses lieutenants continuent à ramer sans savoir quelle destination doivent prendre pour espérer se sauver d'un nauffrage inéluctable.
C'est ce que je crois.
un seul exemple, un seul de négligence criminelle qui va impacter directement tous les Tunisiens dans les 2 années a venir :
La gestion des ressources et du stress hydriques : les chiffres relatifs aux réserves disponibles dans les barrages sont FAUX ; les estimations réalisées ont été dissimulées depuis le mois d'aout; les chiffres véritables se situeraient autour d'un taux de remplissage moyen de 20%
le gouvernement t et au premier chef Mme Bouden connait très bien l'urgence absolue de la situation et des conséquences si on ne fait rien.
Un état d'URGENCE doit être décrété et aboutir a une rationalisation générale, sur le tout le pays, de l'eau distribuée par la SONEDE, comme cela fait au Sahel par exemple.
Illustration : la consommation moyenne de l'eau par habitant en Tunisie se situerait - pas de chiffre officiel crédible- en 2021 autour de 530 M3.
Le capacitaire réel du pays ne permet qu'une consommation moyenne de 380 m3 par habitant.
La nappe aquifère profonde, et non renouvelable, située sur le moyen et haut tell du centre ouest diminue de manière catastrophique ; des estimations sont disponibles et elles ne sont pas communiquées. Les conséquences sont très bien connues; elles sont inévitables;
Le gouvernement s'en fout, est impuissant; et je soupçonne Monsieur le Président d'être INCONSCIENT de la gravité de la situation.
Le pire, malgré ses tares et ils sont nombreux, le bougre se considère comme indispensable à la nation.

