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BCE effectue une visite de travail en Algérie, sur invitation de Abdelaziz Bouteflika
15/12/2016 | 13:44
1 min
BCE effectue une visite de travail en Algérie, sur invitation de Abdelaziz Bouteflika

 

Le chef de l’Etat, Béji Caïd Essebsi a quitté, ce jeudi 15 décembre 2016, le territoire tunisien à destination de l’Algérie, sur invitation de son homologue Abdelaziz Bouteflika, selon un communiqué rendu public par la présidence de la République.

 

Cette visite de travail et d’amitié entre dans le cadre des consultations et de la coordination entre les autorités algériennes et tunisiennes et aura pour ordre du jour les discussions autour des dossiers de coopération bilatérale et des questions d’intérêt commun au niveau régional et international.

 

 K.H

15/12/2016 | 13:44
1 min
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Commentaires (5)

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TunObserver
| 15-12-2016 23:41
Je pense qu'il faut arrêter ces cérémonies de départ ridicules où l'on voit une longue rangée de soldats et la musique militaire présenter les honneurs lors d'un départ à l'étranger avec en plus la présence du chef du gouvernement positionné clairement comme un subordonné alors que selon la constitution il a autant sinon plus de pouvoir que le Président de la République ! On est plus au temps de Bourguiba ou au temps de Ben Ali ! hey réveillez vous on a fait la révolution hey ne l'oubliez pas ! "bellahi" avez vous vu ce genre de cérémonie pour le Président des Etats Unis ou celui de la France ou un autre pays qui se respecte lorsque son président voyage à l'étranger ?! quel est le but de ce manège ? ce genre de cérémonie doit être limité aux accueils des dirigeants étrangers et certaines cérémonies officielles lors de certaines fêtes nationales importantes !

basta
| 15-12-2016 18:04
Je n'ai jamais vu une haie si loooongue... et on dit que le ridicule ne tue pas..
Ces deux bouffons ( pour ne pas dire autre chose... sont plus ridicules que jamais.

CHDOULA
| 15-12-2016 17:58
Ils ont intérêt à parler fort lors de leurs entrevues !

Ghazî
| 15-12-2016 17:49
Ce que BCS a déclaré ce n'est pas important (c'est l'âge) mais ce qu'il y a derrière c'est ce que nos voisins craints LE PLUS, que cette terre Tunisie soit un entrepôt de déchets terroristes venus d'irak, de Syrie..
Là il doit donner des explications à son confrère aussi intelligent que lui mais aussi entouré par des généraux patriotiques...
C'est les arrêts de jeux, jusque-là les algériens nous ont soutenus, si BCS persiste sur son alliance contre nature, qui répond à des agendas gofiques....La Tunisie sera seule aux tirs aux buts...Donc, on aura deux frontieres black-out et la méditerranée...La france, ne comptez plus sur ce pays, lui aussi il est dans les arrets de jeux...
L'alliance avec La Nakba doit finir.Point barre.

CONQUERANT
| 15-12-2016 15:01
Cette visite aussi surprenante qu'inattendue soulève beaucoup d'interrogations.
Je ne soulèverai, pour ma part, que celle qui préoccupe nombre de Tunisiens à l'heure actuelle : le présumé retour des mercenaires-assassins.

A mon avis nos voisins et soutiens Algériens ne comprennent pas le discours de BCE au sujet des terroristes dont il envisage d'accepter le retour en dépit d'un fort courant hostile qui prend de l'ampleur jour après jour dans le pays.

Ils ont raison nos amis Algériens de s'inquiéter, nous partageons leurs craintes. Car, une fois rentrés en Tunisie ces anges de la mort seront une menace constante non seulement pour les deux pays, mais également pour toute la région. C'est dire l'énorme énergie qu'il faudra déployer pour les endiguer en plus du foyer de tension permanent Libyen qui requiert déjà beaucoup d'efforts.

Titanesque !

Je souhaite de tout c'ur que BCE se ravise afin de préserver la stabilité et la paix dans la région. Nous ne voulons pas que notre Tunisie ressemble à « Fallouja » ou à "Alep".

Il existe des institutions internationales dont des juridictions à compétence universelle pour ce genre de contentieux. Elles constituent le cadre idéal pour trancher ce casus belli. Nous n'avons ni le temps ni les moyens pour attaquer ce genre de problèmes.
N'ajoutons pas aux défis économiques et sociaux récurrents d'autres soucis. Basta ! Yezzi !